mercredi 14 juin 2023

RG 35A et 35B La Vie (Mai 1982)

 Richard Glenn (RG) :  La vie c'est quoi ? 

 

 

BdM : Il y a plusieurs sortes de vie, mais la façon la plus simple pour définir la vie, c'est de l'exprimer en fonction de la fréquence de l'énergie, de l'exprimer en fonction de la vibration de la matière, soit de la matière mentale, de la matière vitale, de la matière émotionnelle, de la matière mentale, de la matière supramentale, ainsi de suite. Plus l’Homme évolue, plus l’être évolue, plus il apprend à connaître ce qu’est la vie. 

 

 

RG : Pour l’évolution, est ce qu’il faut qu’il y ait de la vie ? Il n'y a pas d’évolution sans vie ?

 

 

BdM : L’évolution est en dehors de la vie, la vie est un état de conscience parce que sur le plan matériel, aussitôt qu’on parle de vie, on parle de conscience, mais dans le monde de l’intelligence, la vie n’existe pas telle que nous la connaissons.  Dans le monde de l’intelligence, la vie n’est pas un état de conscience, elle est une coïncidence parfaite entre l'énergie de l'intelligence et les éthers inférieurs des mondes qui constituent les Superunivers ou les univers locaux. C'est cette coïncidence parfaite qui crée ce qu'on appelle la vie. 

 

Mais aussitôt que l'Esprit de l'Homme s'exécute dans un corps matériel, c'est-à-dire dans une matière qui est extrêmement dense, et qui doit être supporté par un système de références qu'on appelle le système astral, la vie perd sa fonction réelle, c'est-à-dire que l'Homme ne vit plus, il existe. Et l'existence ne fait pas partie de la vie, l'existence est une condition de réactions chimiques, électromagnétiques, à certaines pulsions, qui proviennent des mondes de la vie et qui s’intériorisent dans les matières denses de l'Homme, qu'on appelle le vital, le physique, l'émotionnel et le mental inférieur pour lui donner l'illusion qu'il est en vie, et ça, on appelle ça l’existence. 

 

Aussitôt que l'Homme entre dans les mondes de l'intelligence, il n'a plus besoin de l'existence parce que son Esprit est libéré, c'est-à-dire que son Esprit n'a plus le pouvoir de s'interroger sur l'origine des choses, et aussitôt que l'Homme cesse de s'intéresser sur, ou de s'interroger sur l'origine des choses, il laisse de côté dans la mémoire de son âme, tous les mécanismes qui constituent pour lui les fondements mêmes de la vie, c'est-à-dire les aspects psychologiques de la vie au niveau de l'Homme, qui sont directement liés à son émotivité et à son intellect. 

 

S'il entre dans les mondes d’intelligence, la perpétuité de l'organisation énergétique est tellement grande, est tellement vaste, est tellement prépondérante dans la nature même de la nature de l'Homme... La nature de l'Homme, je parle de cette nature que l'Homme ne connaît pas aujourd'hui, mais que l'Homme connaîtra dans les siècles à venir, je parle de cette nature qui fait que l'Homme n'est plus près de son ego.

 

Dès que l'Homme n'est plus près de son ego, il n'est plus dans l'existence, il est de plus en plus dans les mondes de l'intelligence, alors il est de plus en plus dans la vie, alors il est capable de vivre simultanément sur les plans inférieurs, comme il est capable de vivre sur les plans supérieurs à ces mondes inférieurs, et de faire automatiquement, à cause de la conversion d'énergie du supramental au mental inférieur, supramental à l'émotionnel, supramental au vital et supramental au physique, il est capable de faire des conversions d'énergie qui lui permettent de comprendre les mécanismes de la vie, comme on connaît un peu sur le plan matériel les mécanismes de la matière. 

 

La vie, ce n'est pas un processus, nous pensons que la vie est un processus d'organisation biologique, ce n'est pas ça. Ce que nous connaissons comme le processus d'organisation biologique est la réflexion dans la matière dense, des mécanismes de vie qui existent dans les mondes de l'intelligence et qui sont conditionnés pour le bénéfice de l'Homme, pour le bénéfice de son système nerveux, afin de permettre à son ego, c'est-à-dire à cette partie de lui qui n'est pas encore complétée, de réaliser sur le plan matériel une sorte d'expérience qui permet à des êtres qui sont dans les mondes d'intelligence, de créer des modèles de vie future pour l'évolution future de l'Humanité.

 

De sorte que la vie telle que nous la connaissance sur le plan matériel, la vie biologique, n'est pas réellement de la vie, c'est simplement une condition ou un conditionnement des éthers mentaux supérieurs sur des éthers inférieurs, qui permettent à cause de la réflexion qui existe dans l'émotion de l'Homme et l'intellect de l'Homme, de lui permettre de préciser qu'en fonction de son expérience, il est capable de fonctionner pour la valeur de l'expérience. Et la valeur de l'expérience lui incite de développer d'autres mécanismes de plus en plus subtils au fur et à mesure qu’il évolue, qu'il passe du stage Lémurien au stage des Atlantes, au stage des races Indo-Européennes, de développer des points de référence subjectifs qui conviennent à sa nature d'Homme inférieur et qui lui permettent de développer une philosophie de vie. 

 

Autrement dit, la vie que vit l'Homme sur la Terre est une vie qui est proportionnelle à sa philosophie de vie, que ce soit une philosophie de vie personnelle ou que ce soit une philosophie de vie qui est imposée par une culture ou une civilisation. La vie, la valeur de la vie change pour toutes les races. La valeur de la vie pour un esquimau, ce n’est pas la valeur de la vie pour un type qui vit à New York. La valeur de la vie pour un soldat Japonais qui fait le kamikaze, n’est pas la valeur de la vie pour un type en France. 

 

Alors la valeur de la vie, elle est “coïncidentale” avec la perception physique, biochimique, électromagnétique, de l'Homme, en fonction de son émotion et de son mental intérieur et permet à cet être-là qui est incorporé pendant un certain nombre d'années dans une enveloppe matérielle, de créer des impressions dans les mondes de la mémoire pour que dans un temps quelconque, des Intelligences qui font partie des mondes de l'intelligence puissent se servir de ces mémoires pour créer une autre programmation, et élever ce que nous connaissons sur le plan matériel comme la vie biologique à un stage plus haut d'évolution, c'est-à-dire à un stage permettant à l'Homme de se désorganiser matériellement. 

 

Et lorsque l'Homme sera capable de se désorganiser matériellement, comme il aura été organisé planétairement par l'évolution, à ce moment là, l'Homme ne sera plus dans la vie qu’il connaît, c’est-à-dire qu’il ne sera plus existentiel. Il sera immortalisé et il pourra automatiquement concrétiser dans les matières supérieures plus subtiles du monde de l'intelligence, les différentes façons dont doit servir la vie dans le cadre de son expérience supérieure afin de créer des civilisations plus avancées. Ça, c'est le nouveau cycle de l’évolution de l'Humanité.

 

La vie telle que nous la connaissons nous apparaît comme étant la vie parce que nous avons, tant que nous vivons, la capacité d’émotiver ce que nous entendons par l’intelligence et de donner à notre intelligence une certaine capacité émotive qui nous permet de reconnaître en soi une valeur quelconque. Mais la valeur quelconque que nous reconnaissons est toujours en fonction de ce que nous avons appris, de sorte que la valeur que nous reconnaissons envers soi-même qui, éventuellement, crée la nécessité chez l'Homme de se développer une personnalité, coïncide avec une fausse vie, c'est l'existence. 

 

Lorsque l'Homme commence à entrer dans la vie, il commence à développer un éther mental, c'est-à-dire qu'il commence à pouvoir percevoir les mécanismes de la vie, c'est-à-dire les mécanismes du réel, c'est-à-dire les mécanismes des lois qui engendrent en lui suffisamment d'énergie vibratoire, lui permettant d'auto-orienter la discussion permanente qui existe sur les circuits universels entre lui-même et les Intelligences qui font partie des monde de la vie. 

 

Et à ce moment là, il est capable de commencer à comprendre les mécanismes de la vie, et il est capable à ce moment-là de commencer à auto-orienter sa destinée, à developper son avenir, au lieu de vivre du futur. Et lorsque l'Homme commence à créer son avenir, il n’est plus capable éventuellement de vivre du futur, et dès qu'il est capable de se scinder, c'est-à-dire de briser le lien entre le futur et l'avenir, il entre dans l'immortalité, c'est-à-dire qu’il entre dans le monde mental de la vie, c'est-à-dire qu'il se sert de l'éther mental pour conjuguer énergiquement tous les aspects de l'intelligence qui ont déjà formé, au cours de l'évolution, les différentes sortes de programmation pour l’élévation de la race future.

 

De sorte que l’Homme devient un Surhomme, c’est-à-dire qu’il est libéré des lois planétaires et qu’il commence à travailler avec ceux, dans le passé, comme dans l'avenir de l'évolution, qui ont déjà compris les lois de la vie, ce que vous appelez vous, “les extraterrestres”, et ce que l’on peut appeler aussi au-delà des extraterrestres, les êtres de lumière. Maintenant, c’est très important de comprendre la différence entre les extraterrestres et les êtres de lumière !

 

Les êtres de lumière sont des Intelligences qui vivent, qui évoluent dans les mondes de l’intelligence et qui se servent des êtres plus évolués comme les “extraterrestres” ou d'autres Hommes sur différentes planètes, qui ont compris les lois de la vie et qui se servent de ces Intelligences pour fracturer le temps, c'est-à-dire de donner au temps la dimension qu’il doit posséder en vertu du temps inférieur que connaît l'Homme, et c'est ce qui permet à ces êtres d'entrer en contact avec l'Homme, et de dépasser ou de passer dans le cosmos d'un point extrêmement loin d'années-lumière pour arriver sur la Terre en quelques semaines.

 

De sorte que ces êtres-là, ces “extraterrestres” ou ces êtres qui sont interplanétaires ont la capacité de comprendre les lois de la vie, et ils ont aussi la capacité de créer dans l'Homme certaines perturbations, lorsque le temps vient pour que l'Homme subisse une mutation. Et la perturbation qu'il crée est en fonction des Intelligences qui vivent dans les mondes de l'Intelligence Pure, des mondes de l'Éther Pur, et ils ne peuvent pas aller contre les lois de ces Intelligences parce qu'ils sont liés à ces Intelligences.

 

Et automatiquement, l'Homme est sain et sauf en relation avec eux, s'ils sont du côté de l'Homme, c'est-à-dire que s'ils ont déjà connu les mêmes souffrances qu’ont connues l'Homme, non pas dans le cadre de l'expérience planétaire, mais dans le cadre de l'ignorance. Et les “extraterrestres” qui ont connu la souffrance, qui ont connu la souffrance de la dualité, qui ont connu la souffrance de l'âme, qui ont connu la souffrance de la perception de l'Intelligence, et qui ont réalisé éventuellement qu’ils n'étaient pas intelligents, mais qu’il devaient éventuellement devenir intelligents, c’est-à-dire comprendre les lois de la vie pour se scinder complètement des lois planétaires, ces êtres-là sont des amis de l’Homme. 

 

Les autres qui n'ont pas vécu cette expérience au niveau de l'Intelligence et qui ne sont pas arrivés au cours de l'évolution à questionner l'Intelligence, et qui ont été infusés de l'intelligence par d'autres Intelligences qui ne font pas partie des mondes de l’Intelligence, mais qui font partie des mondes qu'on peut appeler les “mondes des ténèbres”, ces êtres-là sont très dangereux pour l’Homme et ont des capacités et des pouvoirs sur la conscience de l'Homme, très vastes parce que justement, ils sont les frères aînés de ce qu'on appelle “les morts”. 

 

L'Homme doit comprendre la vie, l'Homme doit comprendre la mort. Tu ne peux pas comprendre la vie si tu ne comprends pas la mort. Mais l'Homme croit qu'il est en vie, il croit que les morts sont morts, lorsqu’en en fait, l'Homme est un mort-vivant et que les morts sont des “morts-morts”, et que les Hommes de demain seront des êtres purement vivants, c’est-à-dire qu'ils n'auront pas accès ni à la vie biologique, ni à la vie astrale, c’est-à-dire ni à la vie morte des gens qui sont morts.

 

L'Homme doit comprendre ceci : il y a trois catégories de vie. Les deux premières sont en relation l’une avec l'autre. De la vie biologique on va à la mort, et de la mort on vient à la vie, de la vie on va à la mort. Et éventuellement, on doit cesser d’aller à la mort et de rester dans la vie, de passer du stage biologique de la vie au stage de la vie immortalisée, c’est-à-dire au stage où l'Homme, au lieu de mourir et de retourner au monde de la mort, il vit une mort de “translittération”, c’est-à-dire qu'à un certain moment, il crée lui-même de par sa Volonté la capacité à son corps matériel et à tous ses corps inférieurs plus subtils de pénétrer dans les mondes de l'Intelligence.

 

Et lorsque l'Homme peut amener son corps matériel et tous les autres corps avec lui dans le monde de l'Intelligence, il est immortel, et dans ces mondes là, il y a d'autres étapes d’évolution, jusqu'au moment où l'Homme entre dans l'étape de l'éternité où il devient un éternel. Ce qui nous rend la vie difficile sur le plan matériel, c’est que la vie que nous vivons qui est existentielle, c'est une vie qui n’est pas vécue en relation avec les lois de l'intelligence, elle est vécue en relation avec les lois de notre intellect et de notre émotion, et notre intellect et notre émotion sont conditionnés par les lois de la mort, parce que c'est de notre intellect et de notre émotion que vient tout ce que nous savons, et c'est du monde de la mort que s’instruit tout le futur de l'Homme.

 

De sorte que si demain matin, un scientiste arrive dans le monde et découvre une nouvelle formule, ou si un Einstein vient dans le monde et il découvre une nouvelle formule, cette formule a déjà été étudiée et développée dans le monde de la mort. De sorte qu'il se développe dans la science humaine une sorte de cercle vicieux, qui fait que le monde de la mort est celui qui nourrit le monde de la vie biologique et qui force le monde, dans le monde biologique, à être conditionné et asservi par le monde de la mort. 

 

Et un jour la science de l'Homme doit totalement être libérée du monde de la mort, c’est-à-dire que l'Homme ne doit plus éventuellement scientifiser l'intelligence comme il l'a fait par le passé. Par le passé, l’Homme a scientifisé l'intelligence, c’est-à-dire que du monde de la mort, il a reçu des instructions intuitives qu’il ne connaissait pas, par le biais de son intellect. Et il s'est servi de ces instructions pour créer et pour inventer sur le plan matériel des formules qui ont donné jusqu'aujourd'hui la science que nous connaissons, la science cartésienne. Mais cette science est dangereuse parce qu'elle est déjà morte, parce qu’elle fait et elle prend son origine dans le monde de la mort. 

 

Et un jour, l'Homme au lieu de créer une science sur le Globe qui vient du monde de la mort, il devra créer une science qui vient des mondes de l’Intelligence, autrement dit des mondes de la vie, et lorsque ceci commencera sur la Terre, la science que nous connaissons aujourd'hui, qui vient des mondes de la mort et qui est infusée dans l'Homme à son insu par le biais de son intellect, de son émotion, cette science sera totalement détruite et anéantie. Et lorsque cette science sera totalement détruite et anéantie, il y aura sur la Terre une nouvelle civilisation qui coïncidera avec les plus hauts paliers de l'évolution scientifique, que connaissent certaines Intelligences qui travaillent avec les Intelligences dans le monde de l'Intelligence. Et c'est à partir de ce moment là que la science sera proportionnelle à la vie et que la vie aura un regard total sur la science, et que la science pourra faire des merveilles dans le monde de la vie future. 

 

 

RG : Y a-t-il eu dans le passé un revirement de situation, puisqu'on dit qu'Adam et Ève vivaient au paradis terrestre, ils avaient l’immortalité, et lorsqu'ils ont été chassés du paradis terrestre, ils devaient mourir, souffrir, mourir etc. Alors y a-t-il eu un revirement de situation et, s'il y en a eu un, d’après les textes sacrés, qu'est-ce qui était avant et qu’est-ce qui est maintenant ? 

 

 

BdM : Il y a eu un revirement de situation pour des raisons très importantes parce qu'il devait y avoir sur la planète que nous appelons la planète Terre, il devait y avoir l'Homme, c’est-à-dire qu'il devait y avoir l'Homme racial parce qu'avant Adam et Ève, il y avait des Hommes sur la Terre, mais ce n'était pas des Hommes raciaux. Et c'est avec la venue d'Adam et d'Ève que l’Homme racial a commencé, que les races ont commencé. 

 

Avant ça, les types d'Hommes étaient extrêmement différents sur le plan racial, et lorsque Adam et Ève sont venus sur la planète, à ce moment là, il y a eu entre l'Homme, autrement dit l'Homme extrêmement ancien qui n'était pas un Homme, qui était une forme d'animal, il y a eu entre cet Homme, un contact entre un corps éthérique extrêmement évolué et ces formes-là. 

 

Et c’est le contact entre ces formes-là et ces corps éthériques qui ont créé l'Homme racial, et le contact entre ces formes ethériques et l'Homme racial a été institué sur le plan terrestre par des civilisations, des êtres que nous appelons des “extraterrestres”, autrement dit, des races extrêmement évoluées qui ont la capacité de projeter dans un corps matériel, dans une enveloppe matérielle, un corps subtil éthérique beaucoup plus avancé qui, par sa pénétration dans la matière dense, éventuellement crée une mutation, qui a donné naissance à l'Homme racial. 

 

Mais il devait y avoir avec Adam et Ève, un ralentissement, c’est-à-dire que l'Homme devait devenir ce qu'il est devenu aujourd'hui. L’involution devait prendre place parce que l'Homme devait développer ce que nous appelons un ego, c’est-à-dire l'Homme devait développer une conscience de soi ; une conscience de soi inférieure, plus civilisée avec le temps, comme nous connaissons aujourd'hui. Et maintenant que l'Homme aujourd'hui est parfaitement développé sur le plan physique, le plan vital, et que son corps émotionel est développé, que son corps mental est developpé, maintenant l'Homme est prêt à subir une nouvelle mutation.

 

Et lorsqu’il subira cette nouvelle mutation, son ego qui, aujourd'hui, est inconscient, c’est-à-dire que son ego qui n'est pas capable aujourd'hui de savoir par lui-même, c’est ça l’inconscience, sera muté, c’est-à-dire qu'en contact avec un Éther mental supérieur, avec une vibration supérieure, cet ego laissera de côté les formes qui auront créé dans le passé les conditions de son involution, et cet ego entrera dans une nouvelle phase d'évolution qui sera l'évolution réelle, et avec les siècles, l'Homme ira vers des stages de plus en plus avancés de la conscience et de la vie. Et éventuellement, l'Homme immortalisera son corps matériel, et éventuellement, l'Homme n'aura plus besoin d’un corps matériel, ce qui sera au cours de la septième race, ainsi de suite. 

 

 

RG : Il y a deux façons de passer de la vie à la mort, et on va prendre une pour commencer, la plus visible, c'est celle où la personne vit, et deux instants plus tard, elle est morte, sans rémission et sans retour à la vie. On a tous connu ça d’une façon ou d’une autre. Il y a des gens qui tombent sous l'eau glacée, on les réanime avec des appareils électriques, et puis finalement ils reprennent vie. À quoi tient la vie biologique, la vie de l'être qui, dans sa conscience, est vivant, et deux instants plus tard est inconscient, est mort ? 

 

 

BdM : C’est une question intéressante, d'ailleurs c’est une question intéressante dont la réponse ou la condition révolte l'Homme conscient. C'est que l'Homme n'a pas de pouvoir sur sa vie biologique. Il n'a pas de pouvoir sur sa vie biologique parce que sa vie biologique et tous les aspects de sa vie biologique, mentale, émotionnelle, vitale, et physique sont prédéterminés, c’est-à-dire qu’ils sont préconditionnés par son état d’âme, c’est-à-dire sa mémoire. 

 

Et tant que la mémoire a le pouvoir sur l’Homme, l'Homme la sert, c’est-à-dire que l'Homme, de par son expérience, rapporte de l'énergie dans les éthers subtils, et ces énergies-là servent à d'autres modèles d'évolution. Mais l'Homme un jour doit mourir quand ça lui plaît. Pour que l'Homme meurt quand ça lui plaît, il faut qu’il ne soit plus influencé par la mémoire de l'âme et qu'il ait remplacé la mémoire de l’âme, qu’il ait détruit complètement la mémoire de l’âme. 

 

Mais ceci veut dire détruire les formes dans son mental inférieur, dans sa nature inférieure, qui sont les réserves ou la réserve pour cette énergie, qu'il détruise complètement ces formes et qu'il vive simplement de l’énergie du mental, de l'Éther mental supérieur, et à ce moment là, l'Homme se servira de l'énergie de l’âme, et lorsqu’il se servira de l’énergie de l’âme à volonté, il pourra conserver sur le plan matériel et sur d'autres plans, la vie qui lui plaît. 

 

C'est pour ça que l'Homme doit comprendre un jour, et ceci ne se comprend pas par l'intellect, mais l'Homme doit comprendre un jour qu'il doit lui-même avoir soutiré à la mémoire de l'âme, l'énergie dont il a besoin pour se maintenir lui-même. Si l'Homme ne réussit pas au cours de l'évolution à détruire la mémoire de l’âme... Et la mémoire de l’âme ne se détruit pas parce que l’Homme veut la détruire, la mémoire de l’âme se détruit lorsque l’Éther mental supérieur fait conctat avec son éther mental inférieur, c’est ça qui détruit la mémoire de l’âme. 

 

Et lorsque le temps est venu pour cet Homme, à ce moment là, la mémoire de l’âme, elle est détruite, et éventuellement il ne peut plus mourir comme il mourait avant, c’est-à-dire qu'on ne peut plus lui enlever la vie. Lorsqu'il perd la vie, il ne la perd pas, c'est qu'il change de plan. Il est totalement conscient, et tout est sous son contrôle vibratoire. À ce moment là, on dit que l'Homme est libre. 

 

Avant ceci, l'Homme n'est pas libre, il a un libre arbitre qui est nécessaire parce qu'il a des émotions et il a un intellect. Et s’il n’avait pas de libre arbitre, il serait extrêmement décousu psychologiquement et il se suiciderait trop vite, et il retournerait trop vite dans le monde de la mort. Le libre arbitre a été donné à l’Homme pour l’empêcher de mourir, c'est un jeu. C'est un jeu qui est tellement parfait, qui est tellement puissant, que lorsqu'on le découvre, on s'aperçoit que tous les Hommes, jusqu'au stage de l'évolution, ont été informés d'une certaine façon, et ceci devait servir ; mais au cours de l'évolution, après l'involution, ces Hommes ne peuvent plus être informés de cette façon, c’est-à-dire qu'ils doivent eux-mêmes savoir.

 

C’est pour ça que je dis : l'Homme de demain ne peut plus se permettre d'être informé, c'est pour ça que je dis que demain, la tradition devra totalement cesser sur la Terre parce que l'Homme n'aura plus besoin de tradition, parce que l'Homme sera dans l’Éther mental. Mais tant que l'Homme n'est pas dans l’Éther mental, la tradition est extrêmement importante. 

 

 

RG : Passant de la vie à la mort, il y a un autre phénomène qu’on associe facilement à la science fiction, qui est celle où une balle dans la tête tue l'être humain de façon normale, et pourtant on sait en “science-fiction” l'exploit que des gens avec une balle dans la tête continuaient à survivre. Un type tout près de saint-Lin là, une ville des Laurentides, dans les Laurentides, avait, je pense, des balles dans le corps, et il continuait à être vivant. Il y a des gens dans des camps de concentration qui, à côté d'eux, voyaient d’autres mourir, et puis eux dans les mêmes conditions devraient mourir, devraient être morts, et ils ne mouraient pas.  Alors qui est ce souffle de vie en soi qu'on peut maintenir, conserver plutôt que de le voir partir dans des conditions absolument non viables, le maintenir en vie ? 

 

 

BdM : Ce n'est pas nous qui le maintenons, ce que vous appelez le souffle de vie, c'est la capacité à l’âme de s'enregistrer atomiquement dans le mental, l’émotionnel, le vital et le physique. L’âme peut très bien ne pas s'enregistrer atomiquement dans le mental, vous devenez un légume. Elle peut très bien ne pas s'enregistrer dans l'émotionnel et vous cessez d'avoir un plaisir de vie, elle peut très bien ne pas s'enregistrer dans certaines régions du corps vital, et à ce moment-là vous perdez certaines fonctions. Et elle peut très bien ne pas s'enregistrer dans le corps matériel en relation avec le corps vital parce que les deux vont ensemble, et à ce moment-là vous perdez certaines capacités, et la science ne peut pas l'expliquer. 

 

La vie dans l'Homme, elle est le produit, le résultat de l'enregistrement vibratoire de l’âme sur, ou dans des enveloppes inférieures. Mais pour certains individus, certaines expériences peuvent être fatales, et pour d'autres individus la même expérience ne l'est pas, ça dépend toujours de la relation entre l'âme et les principes de vie inférieurs. Ça dépend ce que doit vivre l'individu. Il y a un type aux États-Unis qui est tombé de quatre-vingts étages et il est tombé en bas, il s’est relevé. 

 

C’est l’âme qui contrôle, nous avons l'impression, c’est une impression extrêmement naturelle, extrêmement sensorielle, extrêmement biologique, nous avons l'impression que les réseaux qui constituent ce que nous appelons la matière solide, les organes, sont les principautés de la vie biologique, ce n’est pas vrai. 

 

La vie, ce que nous appelons la vie, la vibration de l'énergie alimente ces choses-là, et s’il est décidé sur des plans supérieurs de faire cesser tel organe qui est connu ou qui est reconnu par la science comme étant extrêmement important, pour créer dans l'Humanité un choc, pour faire réaliser aux scientistes qu’ils ne sont pas le nombril du monde, à ce moment-là on le fait. Et c'est ce qui se produit dans les journaux, souvent on entend parler de telles choses ou de telles choses, ou de telles choses qui semblent absolument anormales, et pourtant, du point de vue des forces de vie, c'est très normal. 

 

C'est du point de vue de l'intellect de l’Homme que c'est anormal parce que l'Homme s'imagine que la vie sur le plan de la vie biologique, c'est la vie. La vie elle est dans d’autres mondes, et l'Homme un jour contrôlera l'énergie en deçà de la source, ce qui est en bas de cette source constitue des plans, et que ces plans physique, vital, astral, mental, ces plans sont soumis à cette énergie, et que l’Homme dans ces plans, tant qu’il n’est pas sorti de ces plans, est soumis à cette énergie. 

 

Et pour se constituer une sorte de résonance, c’est-à-dire pour se constituer une sorte de conscience, c'est-à-dire pour avoir l'impression d'être, il doit penser qu’il est, et il doit sentir qu'il est, mais il pense qu’il est, et il sent qu’il est en fonction des formes qui font partie du lait caillé de la civilisation. De sorte que pendant des siècles, et des siècles, et des siècles, et des siècles, l’Homme se nourrit à une source qui n’est pas parfaite parce qu'elle est constituée, cette source, pour le bénéfice de l’involution, et elle est aussi maintenue en vie, cette source, par la mémoire raciale de l'Humanité. 

 

Et c’est la mémoire raciale de l'Humanité qui empêche l'Homme en tant qu’individu de détruire la caille dans le lait et de ne se nourrir que d'énergie, c'est-à-dire de ne prendre conscience que de ce qui est dans le monde mental supérieur. Et aussitôt qu'il le fait, le lait qui était caillé commence réellement à se cailler encore plus, mais petit à petit, il s’élaircit, il s’éclaircit, éventuellement il s’arrête, et éventuellement l'Homme ne se nourrit plus de lait, et éventuellement, l’Homme n’est plus intéressé à la connaissance. 

 

Alors à ce moment-là son mental inférieur, son émotif est totalement libéré de la forme et la réserve d'énergie qui faisait partie auparavant de la mémoire de l’âme est totalement transformée, parce que ne vivant plus maintenant de connaissance, n'étant plus intéressé intellectuellement ou émotivement à vivre la vie selon la prérogative de la mémoire ancestrale de l'Humanité, à l'intérieur de laquelle lui-même a certainement vécu des cycle d'évolution, cet Homme équilibre, c’est-à-dire qu' il n'a plus à répondre à personne dans la vie ! Et quand je dis à personne dans la vie, je dis : il n’a plus à repondre à personne dans la vie de la connaissance sur le plan matériel, ni sur le plan astral, ni sur le plan mental inférieur, il ne repond à personne. 

 

Et s’il va dans les Éthers supérieurs, dans les mondes de l’énergie de l’Intelligence, étant lui-même dans l’Éther mental, il converse avec grande facilité avec ces Intelligences, et il est automatiquement en harmonie avec les êtres qui dirigent l'évolution et qui se servent de différents parapluies, si vous voulez, de différents mensonges, pour permettre que sur une planète, il y ait évolution, et c’est ce que nous appelons la tradition. 

 

(Coupure enregistrement) (…) Des mensonges essentiels et très bons, mais qui un jour doivent cesser parce qu’ils n’ont plus leur place dans l’évolution. Mais l’Homme est tellement prisonnier du vrai et du faux qu'il passe sa vie à chercher le vrai, lorsque en réalité le vrai contient le faux et que la vérité n’existe pas parce que la vérité fait partie de l’émotion de l’intelligence. Et le vrai fait partie de l’émotion de l’intelligence et le faux fait partie de l’émotion de la vérité de l’intelligence. 

 

Et lorsque l’Homme commence à comprendre que le vrai et le faux sont les deux mêmes aspects du mensonge cosmique, et qu’il commence à réaliser que le mensonge cosmique est la limite intellectuelle imposée à l’Homme pour raccorder en lui constamment l'énergie des mondes de vie sur ses principes inférieurs, qui sont encore trop trop trop immatures pour se tenir seul, à ce moment-là, l'Homme doit vivre du lait caillé. Autrement dit, l'Homme doit être soumis aux lois du mensonge cosmique, qu’il soit dans la vie biologique ou qu'il soit dans le monde de la mort. Les morts ne sont pas plus intelligents que nous autres.

 

 

RG : Est ce que ça ne ferait pas partie du mensonge cosmique que de croire que justement, on est victime de la vie ou de la mort parce que la vie, on nous l’impose, elle nous tombe du ciel sans qu’on le veuille, et la mort nous arrive par accident et on meurt, et il y a des lois qu’on ne connaît pas tellement. Mais il semblerait qu’il y a quelque chose qui commence à changer, c’est qu'en science, il y a des gens qui réussissent à vivre dans des conditions non viables en disant : “je ne voulais pas mourir”. 

 

D’autres, les médecins doivent dire : “avec le cancer, il te reste tant de temps à vivre”...  “Ah ! Ben, je ne mourrai pas avant que ma fille soit mariée”. Et puis la femme réussit à vivre six mois, huit mois plus longtemps que tout le raisonnement scientifique possible. Ça, c’est un côté des choses, mais la même volonté de la personne, une fois morte, devient inefficace parce que les médecins après quinze minutes ou une demi-heure, le type arrive à l’hôpital Notre-Dame, on lui met des électrochocs sur le corps et on le ramène du monde des morts !

 

Et la personne dit : “j’étais si bien où j’étais, je sais pas pourquoi vous m’avez raméné vivant, et puis je ne veux pas revivre”. Alors la volonté, dans un cas, fonctionne, dans l’autre cas ne fonctionne pas. Mais la science dans les deux cas, commence à changer les lois là, que vous nous dites, être intouchables par l'Homme, ça ne fait pas partie du mensonge cosmique ? Puis les pharaons d’Égypte qui se faisaient embaumés en croyant qu’ils ressusciteraient dans leur corps, il y a des lois derrière tout ça qui sont encore dans le mensonge, mais qui ne sont pas encore révélées complètement, et Bernard est en train actuellement de continuer ce mensonge cosmique ?

 

 

BdM : Vous n'avez aucune idée ce qu'est le mensonge cosmique. Le mensonge cosmique, c'est la perpétuité de l'intellect. Tant que l’Homme sera dans l’intellect, il sera dans le mensonge cosmique. Le mensonge cosmique, c’est une condition essentielle à l’involution, c’est nécessaire. Moi je peux perpétuer n’importe quoi parce que je ne suis attaché à rien. Si c’est bon qu’un Homme, pour des raisons émotives ou pour des raisons psychologiques, vive le mensonge cosmique pendant un certain nombre d’années, c’est bon qu’il le vive. 

 

Le mensonge cosmique, c’est une condition imposée à l’Homme pour l’empêcher de se détruire parce que l’Homme ne peut pas rentrer dans l’intelligence, dans le monde de l’intelligence sans qu’il n'y ait eu mutation. Lorsqu’il y a eu mutation, il n'y a plus possibilité pour l'Homme d'autodestruction parce qu'il est trop avancé dans la vibration de cette intelligence et la fusion entre cette intelligence et ses principes inférieurs est trop grande. 

 

Mais tant que l'Homme n'est pas suffisamment avancé dans cette fusion, il y a danger s'il souffre trop de ce réajustement des formes dans le mental et de son état émotif. Alors le mensonge cosmique, c'est une condition permanente de l'histoire de l'Homme. Mais à un certain moment au cours de l'évolution de la sixième race, le mensonge cosmique va certainement disparaître lentement de l'Humanité, mais ça ne va pas disparaître tout d'un coup parce que l'évolution future de l'Homme se fera individuellement, ça ne se fera pas collectivement. Il n'y aura pas une nouvelle tradition demain, il n y aura pas une nouvelle tradition demain !

 

 

RG : Voulez-vous nous laisser entendre qu’actuellement vous perpétuez aussi le mensonge cosmique parce que c'est peut-être encore bon que le mensonge cosmique soit perpétué ? 

 

 

BdM : Quand je dis : “je perpétue le mensonge cosmique”, c'est que je dis en public ce que je veux, je ne dis pas en public ce que je peux. Si je disais en public ce que je peux, je créerais trop de désarroi, ce ne serait pas bon, ce ne serait pas bon ! Il ne s'agit pas de créer dans le public une dislocation, il s'agit de faire avancer le public lentement.

 

Quand vous éduquez un enfant à l'école, vous le faites progresser lentement au cours des années, c'est la même chose au niveau du public, vous ne pouvez pas choquer le public, c'est un manque d'intelligence, c’est un manque de discernement. Le public doit être amené, et je trouve que le public Québecois avance, et avance, et avance d’une façon extrêmement progressive et extrêmement rapide. On ne peut pas se leurrer sur le fait qu'il y a dans la province de Québec un accroissement de consciences intelligentes, mais ceci doit être fait avec intelligence, c’est-à-dire non pas avec l’ego ou le corps de désir, mais selon les lois vibratoires de l'Intelligence supramentale. 

 

Et à ce moment là, je dis que l'Homme est obligé, qu'il soit conscient ou qu'il ne soit pas conscient, il est obligé de maintenir le statu quo, de maintenir le mensonge cosmique et de dévoiler des choses petit à petit, petit à petit, et il y a une responsabilité dans la parole de l'Homme qui parle. Et cette responsabilité fait partie de la loi vibratoire de l'Intelligence, ce n'est pas une responsabilité psychologique, ça fait partie de l'ordre dans l'Esprit. Et si un Homme a de l'ordre dans son Esprit, il ne doit pas créer de désordre dans l'Esprit du public. Il doit créer petit à petit un nouvel ordre dans l'intention de l'Intelligence qui est en rapport parfait avec l’intelligence du public à travers les individus. 

 

 

RG : Parce qu'au moment où on se parle présentement, il semblerait que vous nous laissez entendre que la vie fait partie d’un ordre qui est au-délà de la main de l’Homme ?

 

 

BdM : La vie est au-délà de la main de l’Homme parce que l’Homme n’a pas la main dans la vie, l’Homme a la main dans les poches. L’Homme n’a pas contrôle sur sa vie parce que l’Homme n’est pas dans son Éther mental. 

 

 

RG : Et il y a des Hommes qui l’ont le contrôle ?

 


BdM :
 Oui. Ceux qui ont eu contrôle sur la vie, on les connaît. Ce sont les initiés.

 

 

RG : Alors, comment se fait il qu'eux en étaient capables, et pourtant ce sont des Hommes ?

 

 

BdM : Oui. Ce n’était pas des Hommes, c’était des initiés. Les initiés ne sont pas des Hommes. Les initiés ne sont pas des Hommes ! Les initiés sont des Hommes complets. Alors un Homme complet, ce n'est pas un Homme puisque l’Homme est incomplet. Le Nazaréen, ce n'était pas un Homme, c’était un Homme complet, c’était un Surhomme, c’était un initié. 

 

 

RG : Il y a un saint aussi qui a redonné vie à un enfant dans la Bible, on voit l’histoire. Et puis, on pourra parler aussi de cet ami de Jesus de Nazareth ? 

 

 

BdM : Oui, oui, oui, ce n'est pas parce que c’est “Vendredi Saint” aujourd’hui qu’on va parler de Jesus de Nazareth, parlons de la vie un peu ! (rires du public).

 

 

RG : Mais celui qui l’a ressuscité d'entre les morts, ce n'est pas le Christ qui a été le premier qui est revenu du monde des morts ?

 

 

BdM : Vous m’avez invoqué pour parler de la vie, il faut parler de la vie parce qu'il y a beaucoup de choses à dire sur la vie. 

 

 

RG : Lazare était mort depuis sept jours... 

 

 

BdM : Oui, je suis d’accord ! 

 

 

RG : Il puait, il est revenu à la vie. Pourquoi et comment ? Pourquoi Lazare a été... 

 

 

BdM : Vous voulez parler de la vie ou de Lazare, ou de la vie ou de Lazare ? (rires du public).

 

 

RG : Ça me paraît évident qu'à ce moment-ci, Bernard a compris qu'on ne parle plus de ces choses-là en public ?

 

 

BdM : Vous savez, c’est une perte de temps pour l’Homme de parler du passé. Nous devons parler de l’avenir parce que le passé, il a été vecu et il sera compris lorsque nous serons dans l’avenir. Alors si nous ne parlons pas de l’avenir, nous ne comprendrons pas les lois de l’avenir de sorte que nous ne comprendrons pas les lois de la vie, de sorte que nous ne comprendrons pas pourquoi Lazare il est revenu (rires du public).

 

 

RG : Parfait. Alors, parlons de ce que d'autres ont appelé, ce que Wilhelm Reich a appelé lui-même, l’orgone ?

 

 

BdM : Il ne faut jamais parler de ce que les autres ont appelé ou de ce que les autres ont parlé parce que ce que les autres ont parlé a été déjà dit. Il faut toujours parler dans l’avenir. Il faut toujours parler de choses qui n’ont jamais été dites. Et à ce moment-là, on commence à parler de quelque chose de neuf. Si nous parlons de quelque chose qui a été dit, nous répétons, ou nous colorons ou nous rentrons dans ce qui a été dit. Et l’intelligence n’a pas besoin d’aller dans le passé de ce qui a été dit parce que l’intelligence, elle est toujours dans le présent de l’avenir. 

 

Si nous parlons de l’avenir, nous comprendrons ce qui a été dit dans le passé parce que l’intelligence, elle est synthétique, l’intelligence touche à tout, l’intelligence elle est parfaite, elle n’appartient pas à l’Homme. Et si nous parlons dans l’intelligence et si nous sommes dans l’intelligence, et que nous regardons le phénomène de la vie, nous comprendrons pourquoi le phénomène de l’orgone, nous comprendrons pourquoi Lazare. Nous comprendrons toutes sortes de choses parce que l’intelligence, elle est synthétique, c’est-à-dire que l’intelligence est parfaitement consciente du lien qu’il y a entre l’émotion de l’Homme et l’intellect de l’Homme. 

 

Alors elle est consciente, l’intelligence, de tout ce que l’Homme doit savoir pour augmenter son point de vue, pour agrandir son champ de vision ; c'est pour ça que si nous allons parler de la vie, nous devons parler de la vie. Vous m’interrogez sur la vie, et ensuite vous tombez sur Wilhelm Reich. Je comprends qu'on peut parler de Wilhelm Reich pour comprendre, pour expliquer le phénomène de l’orgone, mais même Wilhelm Reich ne comprenait pas le phénomène de l’orgone. 

 

 

RG : Alors pour ça, je demande une question du futur à Bernard de Montreal, puisque lui-même dans le passé, il n'avait pas la réponse. Bernard, dans le futur, qu’est ce que c’est l’orgone ? 

 

 

BdM : L’orgone, ça n’existera pas dans le futur. Parce que l’orgone est un concept qui a été developpé par Reich pour satisfaire la curiosité psychologique de Reich en tant que scientifique. Alors William Reich devait avoir un concept, le concept lui a été donné du monde de l’astral pour se convaincre qu’il avait découvert quelque chose. Et effectivement, il n'avait rien découvert, c’est qu’il avait mis au point quelque chose pour se permettre d'observer quelque chose qui déjà existait. Si Reich avait été dans l’intelligence, il aurait automatiquement réalisé que son phénomène de l’orgone est simplement un fluide qui appartient à l’éther vital. 

 

Et ayant reconnu que c’est un fluide appartenant à l’éther vital, il n’aurait pas eu la curiosité de continuer dans sa recherche, puisque quand tu es dans l’intelligence, tu n’es pas intéressé à la recherche. Et automatiquement, il aurait capitulé dans la recherche, il aurait commencé à faire autre chose, mais il ne pouvait pas commencer à faire autre chose parce qu'il serait rentré dans une autre science, et ce n’était pas le temps. Alors à ce moment-là, il devait mourir. 

 

C’est pour ça que je dis, quand un scientiste a fini de badiner avec la vie et badiner avec la mort, de badiner avec la science, ou badiner avec la science, il meurt. Quand un Homme a fini de faire ce qu’il y a à faire pour faire avancer un petit peu quelque chose, il meurt. 

 

Prenons Einstein. Einstein developpe sa théorie de relativité, comme ils disent en anglais “E equals MC square”. Qu'est-ce que c’est la masse ? Qu’est ce que c’est la lumière ? Qu'est ce que c'est l'énergie ? Einstein ne pouvait pas comprendre la relation entre la masse et la vitesse double de la lumière, sans être lui-même obligé de recevoir des impressions venant de la mémoire astrale. Et automatiquement, il était obligé de créer sur le plan matériel des conditions d’investigations philosophiques et mathématiques pour éventuellement que vivent dans le monde, que soient connues dans le monde, des conditions de vie permettant l’explosion du karma mondial à la fin du siècle.

 

Si Einstein avait su dans le temps ce que créerait ce qu’il developpait, il aurait totalement cessé son activité. C’est pour ça que le mensonge cosmique doit être maintenu même au dessus de la tête des scientistes. 

 

Si les scientistes connaissaient l'avenir au lieu de connaître le futur, ils comprendraient que dans l'avenir il y a la science, et que dans le futur il n'y a que de la mort. Et automatiquement ils cesseraient leurs activités. Mais Einstein ne devait pas cesser ses activités, il devait vivre sous le couvert du mensonge cosmique, et le couvert du mensonge cosmique pour un scientiste, c'est la beauté mathématique et physique de la découverte existentielle des principes mécaniques des relations de vie avec la matière. 

 

C’est pour ça que j'essaie de faire comprendre que tout ce que les scientistes font, que tout ce que les scientistes découvrent, ça fait partie des relations entre la vie biologique et la vie astrale. Et que lorsque cette relation sera terminée, l'Homme, la science réelle viendra sur la Terre. Mais elle viendra dans des conditions qui seront totalement libres des liens entre la vie biologique ou la mémoire de l'Homme et la vie astrale. C'est ça qu'on appelle l’Éther mental. C'est ça qu'on appelle l’éthérique, c'est ça qu'on appelle le paradis terrestre, c’est ça qu'on appelle la venue des fils de la lumière. 

 

Alors de parler de Reich, de parler d'Einstein, de parler de ci, de parler de Fermi, de parler du passé, ça ne sert à rien parce que dans le passé, les conditions du futur sont déjà là, et c’est la mort. L'Homme doit parler de l'avenir pour comprendre les lois du présent afin de se prévenir, de se prémunir contre les lois du futur qui sont totalement astrales et qui coïncident avec le karma de l'Humanité et le karma de l’individu. 

 

 

RG : Ça pourrait être encore une question de l'histoire dans le temps, mais c’est une question de l’histoire qui remonte au mois d’avril 1982. Puis ça me rapelle encore l’histoire d'Einstein que vous relatez ; c’est qu'à chaque fois que l’être humain découvre par la science une solution à un problème qui traîne depuis des siècles, au moment où il pense contrôler son destin, ça part en fumée parce que ça vient en même temps de lui créer un problème supplémentaire. Alors j’aimerais avoir votre opinion, puis évidement, vous allez me dire : ça, c’est pour l’avenir, c’est pas... 

 

 

BdM : C’est toujours la même chose. Chaque fois que l’Homme fait quelque chose de bien, il crée de la “merde”. C’est normal parce que ça fait partie des lois de la dualité. L’Homme... Vous devez comprendre que ce que l’Homme... Bon ! Je prends un verre d’eau avant... L’Homme comprendra, découvrira un jour que ce n'est pas lui qui pense. Alors si ce n'est pas lui qui pense, qui est-ce qui pense ? C’est toujours bien quelqu’un qui pense ?! 

 

Alors il y a quelqu’un qui pense, puis lui il dépense ! (rires du public). Et celui qui pense est dans les plans autres que les plans biologiques, ce qu’on appelle “le monde de l’astral”. Et l’Homme doit en arriver un jour à reconnaître que ce n'est pas lui qui pense et qu’il y a des Intelligences dans ces plans qui sont à l’origine de sa pensée, et qu’il y a en dehors de ces mondes d’autres Intelligences qui sont parfaites et qui coincident avec sa conscience créative. Et lorsque l’Homme recanalise sa relation avec ces êtres-là, qui sont des êtres de lumière, il ne peut plus agir sur le plan matériel, qu’il soit médecin, qu’il soit avocat, qu’il soit scientiste, qu’il soit quoi que ce soit, il ne peut plus agir comme il a agi dans le passé, même dans le domaine de la recherche, parce que les lois astrales ne s’imposent plus sur le plan matériel.

 

 

RG : Les êtres de lumière l’ont illuminé, et puis là ils deviennent illuminés ?

 

 

BdM : Non. Les illuminés font partie de ces êtres qui sont encore liés au mensonge cosmique et qui sont en relation avec des êtres dans le haut astral. Un Homme illuminé est un Homme qui est allumé par ces forces-là. 

 

 

RG : Alors qu’est-ce qu'il fait ? 

 

 

BdM : Il se fait bombarder par des vibrations qui l’allument, il est toujours dans la lumière, le nirvana des Hindous, c’est un exemple. Il ne s’agit pas pour l’Homme d'être illuminé, il s’agit pour l’Homme d’être intelligent. C’est pas pareil. Tu peux pas te proméner avec “Westinghouse” dans ta tête toute ta vie, puis assis sur un trône (rires du public). Il s’agit pour l’Homme d’être intelligent et de créer une civilisation qui est conforme aux lois de l’intelligence. 

 

Mais l'Homme est sujet à un mensonge cosmique tellement vaste que même ceux qui sont illuminés et qui illuminent tout le monde, eux autres s’éteignent éventuellement. Et quand, ils s’éteignent, qu’est-ce qui arrive ? Tout le monde s’éteint. Cette intelligence... L'Homme doit vivre de l’intelligence parce que l’intelligence c’est un principe cosmique, l’illumination de “Westinghouse”, c’est pas un principe cosmique, c’est un état spirituel. Et tant que l’Homme ne sortira pas de cette recherche ou l’illumination, tant que l’Homme ne cherchera pas à avoir des parts dans “Westinghouse”, il va être sur le cul. 

 

Et regardez l’évolution de l’ésoterisme, de l’occultisme, regardez le mystiscime, regardez toutes les recherches de l’Homme depuis des siècles, ça a mené où ? Ça l'a mené à la mort. Pourquoi ? Parce que l’Homme était en relation avec l’astral. Et qu’est ce que c’est l’âme ? C’est la totalité de la mémoire qui est contenue dans l’astral. L’Homme doit un jour fracturer cette mémoire-là, et elle se fracture lorsque l’Éther mental supérieur communique ou entre en relation vibratoire avec l’Homme, et à ce moment-là, la vie de l’Homme change. Mais à ce moment-là, l’Homme n’est plus intéressé à être dans le nirvana ou à être au ciel. L’Homme est intéressé à être dans l’intelligence et à passer sur un autre plan de vie qui est l’Éther. 

 

 

RG : Y a-t-il des Hommes qui sont en contact avec ces êtres de lumière, avec ces êtres d’en haut... En haut ? 

 

 

BdM : Il y a beaucoup d’Hommes qui sont en conctact, tous les gens dans la salle sont en conctat avec ces êtres-là, mais ils n’en sont pas conscients. Alors automatiquement, il y a une couche d’énergie qui les sépare, c'est ça l’inconscience. Ces êtres-là ne peuvent pas communiquer avec eux parce que les Hommes sont trop pris dans l'émotion de la pensée et la pensée de l'émotion.

 

Alors il y a une couche d’énergie qui empêche ces êtres de communiquer avec eux. Mais lorsque il y en a un qui vit cette expérience, il sait le choc que ça crée, il le sait parce que cette couche-là, ce que j’appelle le “perisprit” si vous voulez, cette énergie autour de l’Homme, lorsqu’elle se fracture, l’Homme n’a plus la sécurité psychologique qu'il avait avant. Il n’a plus la même sécurité psychologique qu'il avait avant parce que la sécurité psychologique qu'il avait avant, elle était fondée sur ses émotions et sur son intellect. Et lorsque ce rayonnement entre dans cette couche d’énergie, et qu’elle fait vibrer les principes inférieurs de l’Homme, l'Homme change, il n'a pas de le choix. 

 

 

RG : Il devient conférencier, mais ils ne peuvent pas tous devenir conférenciers ?

 

 

BdM : Il ne s’agit pas de devenir conférencier, il s’agir de devenir intelligent. Il y a beaucoup de monde dans le monde qui devient intelligent. Que tu sois boulanger, si tu es intelligent, tu es intelligent. Il ne s’agit pas pour nous de voir l’intelligence en fonction d’une comparaison. 

 

 

RG : Mais tantôt, vous nous dites, il ne pourra plus être un scientifique, il ne pourra plus être un médecin, il ne pourra plus être ci, il ne pourra plus être ça ?

 

 

BdM : Non, je ne dis pas ça dans ce sens-là. Je dis que l’Homme qui entre dans l’intelligence supramentale ou qui entre dans l’Éther mental ne vivra pas sa médecine ou sa science ou sa prêtrise ou... Je ne sais pas moi... Sa vie matérielle, son expérience matérielle, comme il le vivait avant, il ne peut pas, il ne peut pas ! 

 

 

RG : Mais il continuera quand même... 

 

 

BdM : Regardez, je vais vous donner un exemple. Regardez les scientistes qui font, qui travaillent, extrêmement avancés en science, et qui sont en relation avec la fondation Pace, prenez Puharich, prenez Gordon Cooper l’astronaute, prenez Armstrong, prenez De Beauregard en France, prenez Puharich pour en nommer quelque uns sur les trente-mille, regardez l’état psychologique de ces hommes, et regardez leurs relations psychologiques vis-à-vis la science d’aujourd’hui, elle est totalement rompue ! Ces gens-là trouvent leur force aujourd’hui parce qu'ils sont une extrêmement vaste communauté qui peut et qui a le pouvoir aujourd’hui de communiquer en France, en Angleterre, en Russie, en Chine, ils ont ce réseau qu’ils ont formé, et c’est ça qui leur donne la substenance, la force de continuer leur travail. Reich, c’est un autre exemple, Stetter, c’est un autre exemple, Moss aux États-Unis, c’est la même chose. 

 

Il y a en combien de ces scientistes qui sont totalement marginaux à la communauté scientifique et qui travaillent marginalement, et qui font un bloc totalement à part avec la communauté scientifique, pourquoi ? Parce que leur mental est tellement supérieur au niveau vibratoire avec le mental de la communauté scientifique qu'ils ne peuvent pas se “superimposer”, ils ne peuvent pas troquer ensemble, ils ne peuvent pas parler ensemble, parce que c’est “too far out” (trop loin)

 

Et quand tu commences... Et la première réaction d’un scientiste lorsqu’il vit ou qu’on l’approche avec quelque chose qui est trop “far out”, pour lui, c’est pas scientifique, et c’est pour ça qu'il se fait un écart entre la science ou ces scientistes extrêmement brillants que je nomme, et d’autres, et la communauté. Il ne peut pas y avoir de dialogue. 

 

 

 

LA VIE (35B)

 

 

 

BdM : (…) Et une de ces raisons, c'était pour permettre d'abord à la science de prendre connaissance de ses pouvoirs d'analyse et d’aller au bout de ses analyses, et de vérifier avec ses méthodes un phénomène qui n'est pas explicable en dehors du fait qu'on est obligé éventuellement d'admettre qu’il n’y a pas eu de tâtonnage avec ça, pour créer dans l'esprit scientifique comme pour créer dans l'esprit spirituel des masses une conscience que, possiblement, la vie est une condition d'énergie qui n’a rien à faire avec le biologisme ni la mort, que la vie est transcendante, je n'aime pas le mot transcendant, mais que la vie est une expression de l'intelligence en dehors des lois de la mort et en dehors des lois du biologisme matériel. 

 

Et pour le scientiste, pour le scientifique, c'est important dans un sens  d'approcher le phénomène du Suaire et d’arriver à certaines conclusions qui, intérieurement... Parce que le scientiste c’est un Homme qui peut vivre des expériences comme ça à deux niveaux : il y a une partie de lui intérieure qui est spirituelle, qui est chrétienne ou quoi que ce soit, ou qui est spirituelle en général, et il y a une partie de lui qui est totalement cartésienne.

 

Et l'expérience pour un scientiste qui est dédié à l'application de la méthode scientifique, mais aussi qui est un Homme qui a des sentiments internes et qui a une philosophie interne, ça permet un rapprochement de la méthode scientifique pragmatique cartésienne avec son sentiment d’Homme. Et ceci permet au scientiste de, peut-être, reconnaître selon le pouvoir de sa méthode sur son esprit, de peut-être reconnaître qu'il y a effectivement là quelque chose qui n'est pas explicable et qui est à la fois explicable, si on tombe au niveau de l'explication de la radiation, mais qui n'est pas explicable en terme de phénomène normal chez l’Homme, et c’est la fonction du Suaire de Turin.

 

Alors, c’est un évènement pour l'Humanité qui est heureux, non pas parce que c'est un évènement spirituel, il peut être heureux en tant qu'évènement spirituel pour des millions de personnes, et ça c'est très bon aussi, mais c'est un évènement qui est heureux sur le plan cosmique, sur le plan planétaire, parce qu'il découd, il découd la vision froide de la science qui essaie d'observer un phénomène qu'elle ne peut pas reléguer, remettre aux archives.

 

Elle est obligée de le contempler le phénomène, elle est obligée de se demander des questions précises et de tirer des conclusions qui sont diplomatiques, qui sont justes, mais qui laissent à l'esprit scientifique mondial, la chance, l'ouverture, la porte que peut-être le Suaire, c'est un phénomène réel qui s'est produit et qui n'a jamais été le résultat d'une activité charlatanesque. Et je trouve que l'Église a été extrêmement diplomatique, délicate, intelligente dans la façon dont elle a présenté à la communauté scientifique, ce Suaire. 

 

Alors déjà, l'Église, dans son fond interne intérieur, est satisfaite, la communauté scientifique est extrêmement intéressée, et l'Humanité aussi, rapprochée un peu du fait que, peut-être dans le passé... Pour nous-autres, c’est difficile aujourd’hui d’assumer que telle chose s’est produite comme ça, que telle chose s’est produite parce que c'est rendu qu’on a l’esprit critique. Ça, c'est très bon, mais au moins, ça donne une chance à l'Humanité, à des millions d'Hommes de réaliser que peut-être, effectivement, il y a eu dans le passé un initié qui a réussi à dépasser les lois du biologisme, autrement dit de l'existence et aussi à dépasser les lois de la mort.

 

Alors ça, ça nous nous rapporte à la fin du vingtième siècle, ça nous ramène dans un temps où déjà des gens dans le monde commencent à expliquer la différence entre le biologisme purement matériel, la mort qui est purement l'extension du biologisme dans une autre dimension par suite de son arrêt, et la vie qui est une condition totalement neuve, totalement non explorée par l'Humanité, et totalement inconnue de la plupart des Hommes qui vivent sur ce Globe terrestre. Lorsqu'en fait, il y a des Hommes dans d'autres parties de la galaxie, qui la connaissent.

 

 

RG : Une chose que je me rappelle, c’est qu’après la résurrection du Christ, il a rencontré une des saintes femmes, je pense que c’est Marie-Madeleine, elle l’a vu, elle est allée rencontrer les apôtres en disant : “je l’ai vu, mais je ne l’ai pas touché parce qu'il m'a dit qu'il ne fallait pas que je le touche”. Et ça, ça me rappelle les témoignages d'êtres qui se manifestent à des Hommes et qui leur disent : “approche-moi pas, touche-moi pas”, donc cette vie qui survit à la vie biologique humaine…

 

 

BdM : Les êtres qui sont dans la vie ne veulent pas être touchés parce que leur corps est un corps éthérique, il a la forme parfaite du corps physique, mais c'est un corps qui, si tu passes ta main à travers, il est totalement vide. C’est pas un corps solide, c’est un corps éthérique, c’est un corps de vie. C'est ça la vie. Alors en restant, en demeurant un peu à distance des êtres, ça permet à ces êtres-là d'être convaincus de la vie sans en comprendre tous les aspects que l'Homme devait connaître au fur et à mesure que l’évolution se fait. 

 

C’est pour ça que je dis : la vie ça n'est pas biologique, ce n'est pas nécessairement solide et c'est la condition qui dépasse les lois de la mort, comme les lois du biologisme. Mais on est tellement attaché au biologisme qu’on a de la difficulté à comprendre que la vie ne peut être vécue que lorsque l’Homme a fait connexion éventuellement avec l’Éther mental et l’Éther des mondes de l'intelligence ou la vie EST.

 

 

RG : Est-ce que l'Église a fait une erreur lorsqu’en voyant le Christ souffrir et mourir pour nous, et finalement arriver à la résurrection des corps, nous faire croire qu'il faut absolument souffrir pour évoluer ?

 

 

BdM : Écoutez, on ne peut pas en demander trop à l'Église, l’Église c'est un corps d'hommes qui viennent des plans de la mort et qui viennent dans le plan de la vie pour une expérience, et qui retournent au plan de la mort, ainsi de suite. Alors l'Église, les hommes de l’Église sont soumis aux mêmes lois planétaires que les hommes dans la rue. On ne peut pas demander aux hommes de l'Église d’être plus dans l'intelligence qu’ils le sont. 

 

Alors les hommes de l’Église, ce n'est pas parce que ce sont des hommes de l'Église qu’ils sont dans le secret des dieux, ce n'est pas parce que ce sont des hommes de l’Église qu'ils sont dans l’intelligence, ce sont des hommes qui expérientiellement ont une vibration qui leur permet de faire un travail comme celui-ci, au lieu de travailler chez General Motors !

 

Alors on ne peut pas demander à l'Église trop, l’Église fait ce qu’elle peut et elle fait en plus ce qu'elle doit, sans le savoir. L’Église fait ce qu'elle peut en relation avec l'expérience humaine, en relation avec l'inconscience de l'Homme, mais elle fait ce qu'elle doit parce que le plan de l’Église fait partie du plan de vie de la planète Terre. Et un jour, l'Église telle que nous la connaissons aujourd'hui n'existera plus, parce que ce qu'elle a fait dans le passé qui coïncidait avec l'involution et qui servait énormément à la création en Europe, éventuellement en Amérique, ainsi de suite, mais en Europe au début, de forces qui devaient créer le ciment pour mettre, lier ensemble différentes Nations pour créer le continentalisme européen, c'était essentiel pour l'évolution de la civilisation terrestre. 

 

Mais vient un jour où lorsque l'Homme entrera dans l’Éther mental, l'Église perdra sa puissance, et l’Église aujourd'hui perd sa puissance et c'est normal, et ça fait partie de l'involution, et ça fait partie de la fin du cycle, et ce n'est pas parce que l’Église perd sa puissance que l'Église n'est pas bonne. L'Église sera bonne jusqu'à la fin des temps, autrement dit jusqu'à la fin du cycle parce qu’elle aura servi, mais l'Homme doit être suffisamment intelligent éventuellement pour comprendre que ce qui a été bon dans le passé n'est plus assez dans l'avenir. 

 

L'Homme s'en va vers l'Intelligence universelle, l'Homme s'en va vers un stage de compréhension qui est tellement différent du stage ancien que toutes les conditions de la civilisation que nous connaissons seront dépassées par le fait même que les Hommes seront dans cette nouvelle mutation. Tu ne peux pas demander à l'Église de fermer ses portes, comme tu ne peux pas demander à l'Église d’être plus puissante qu’elle l’était avant, les conditions changent. Et l’Homme, l’individu, d'ailleurs c’est l'individu qui ferme petit à petit les portes de l’Église ; un individu est sorti, ensuite un autre, puis ensuite un autre, ça se fait individuellement, ça !

 

Ce n’est pas quelqu’un qui est arrivé dans le monde, qui a créé un mouvement dans le monde qui a dit : “c'est assez les gars, on sort”, ce n'est pas de même que ça se fait, ça s’est fait individuellement. Peut-être qu’un jour le curé était écoeuré, ça fait qu’il est sorti, puis un autre c’est une autre affaire, puis un autre c’est une autre affaire. 

 

Ça fait que c’est tout en relation avec l’expérience subliminale de chaque individu, et à la fin du cycle, l'Église aura fait le mieux, elle aura fait ce qu'elle devait faire, et elle aura servi de canal pour maintenir dans le monde occidental des vibrations astrales spirituelles qui sont différentes des vibrations astrales spirituelles que l'on retrouve dans l’Orient, et qui sont différentes des vibrations spirituelles astrales que l'on retrouve dans le monde Mahometan, ainsi de suite, dans les autres régions, afin de permettre que les peuples soit divisés en régions monolithiques pour créer dans le monde une balance vibratoire entre les différentes Nations et aussi entre le caractère des peuples.

 

Tu ne peux pas demander à un Japonais d’être catholique comme un catholique de Shawinigan peut l’être, tu ne peux pas demander à un type au Tibet d’être catholique comme un gars d’Amérique du Sud. Alors la religion, les religions, leurs facettes, leurs caractéristiques, leur nature, conviennent au peuple, aux Nations, aux régions, et c’est de même que ça marche.

 

 

RG : Si on demande à Bernard : est-ce qu’il faut souffrir pour évoluer ?

 

 

BdM : Ça, c'est une question intéressante, je l’aime celle-là, puis les gens ne l'aiment jamais celle-là, les gens n'aiment jamais mes réponses à celle-là ! Il y a deux sortes de souffrances sur la Terre. L'Homme souffre inconsciemment, ce qu'on appelle les souffrances qu’on connaît quand on est inconscient, ça c’est des souffrances, ce sont des souffrances expérientielles, puis on les souffre ces souffrances-là, puis ça sert à l’âme, ça ne sert pas à l’individu, ça sert à l’âme.

 

Quand l'Homme commence à entrer dans l'Éther mental puis qu’il commence à vivre la fusion avec l’Éther mental, à ce moment-là il vit une autre souffrance qui ne sert pas l’âme, mais qui sert à raccorder ses principes avec l’Éther mental, et cette souffrance consciente là, elle est pénible, elle est grande. Mais la différence avec l'autre, c’est quand tu commences à la souffrir, cette souffrance-là, tu sais pourquoi tu la souffres, tu réalises qu’elle est nécessaire, et tu vois qu'au fur et à mesure que tu la souffres, que toi-même tu avances.

 

Tandis que dans la souffrance inconsciente de l'individu par rapport à des mémoires de l’âme, il peut souffrir toute sa vie, puis il va “crever” à quatre-vingt ans, puis il va recommencer comme un yoyo encore.

 

Tandis que dans la souffrance consciente, l'Homme va jusqu'à la fin de sa souffrance, quand il est arrivé à la fin de sa souffrance, son niveau de conscience est supérieur, sa fusion est plus avancée et automatiquement il ne vit plus la vie comme il la vivait avant, et sa souffrance a servi, et à un certain moment il ne souffre plus de ça parce qu’à un certain moment, l'Homme ne peut plus souffrir parce qu'il connaît et il comprend les conditions de l'Intelligence et son rapport à cette Intelligence avec sa vie matérielle. Puis éventuellement quand il change de plan, ben là, naturellement il n'y a plus de souffrance parce qu’il vit dans des conditions de perfection, c’est-à-dire qu'il vit dans des conditions où l'intelligence règne tout partout, dans tous les domaines de la vie. 

 

Est-ce que l’Église a raison lorsqu’elle dit qu’il faut souffrir ? Elle a raison partiellement, dans le sens que la vie indique que la souffrance sert à l'évolution de l’âme, et elle a raison que la souffrance sert à l’évolution de l’âme. Mais c’est la souffrance de l’individu qui sert à l’évolution de l’âme. Ce que l’Église ne comprend pas, puis ce que l’Église ne comprendra pas “anyway”, excepté ceux qui la comprennent, puis ceux qui sont dans l’Église puis qui vont comprendre quelque chose, il vont trouver ça stérile “anyway”.

 

Ça fait que tu ne peux pas rester dans l’Église puis comprendre quelque chose. Si tu restes dans l’Église, il faut que tu comprennes juste ce que tu as à comprendre, à ce moment-là tu es “safe”(sûr), là tu peux faire du bien, mais si tu comprends tout, tu es obligé de sortir, tu n'as pas le choix. Tu peux pas vivre deux vies à la fois, tu ne peux pas servir l’Intelligence supramentale puis l’intellect philosophique de l’Homme, tu ne peux pas servir la tradition puis servir l’avenir. 

 

Alors si tu es dans l’Église, tu en comprends trop, tu en sais trop, tu vas muter, tu mutes, automatiquement tu vas sortir de l’Église. Ce que l’Église comprend, elle le comprend intuitivement, elle le comprend par rapport aux paraboles, elle le comprend par rapport à l'expérience de l'Église, elle le comprend par rapport à la relation entre la souffrance et l’évolution de l'Homme qui, pour l’Église, c'est le salut de l’Homme. Mais le salut de l’Homme qui est vu par l’Église, ce n’est pas le salut de l’Homme. 

 

Le retour au monde de la mort pour sauver ton âme, ce n'est pas le salut de l’Homme, c'est le retour de l'Homme sur la Terre. C’est ça que l’Église ne comprend pas. Mais pourquoi est-ce qu'elle ne comprend pas ça, l’Église ? Parce que l’Église a perdu contact avec l’ésotérisme chrétien, il n'y en a plus d’ésotérisme chrétien dans l’Église. Si l’Église aujourd’hui ouvrait ses portes à l'ésotérisme chrétien, l'exotérisme théologique de l'Église tomberait complètement en panne, et les masses seraient attirées par l’ésotérisme chrétien de l’Église, et ce que l’Église dit ou qu'elle a dit dans le passé serait totalement remâché, revu, ressenti, recompris, par la vision nouvelle de l'Homme à travers l’ésotérisme chrétien. 

 

Alors l’Église aujourd’hui vit l'exotérisme chrétien, l'exotérisme chrétien a une vitalité de deux-mille ans. Là, il commence à tirer à sa fin, l’exotérisme chrétien. L’ésotérisme chrétien de l’Église est trop avancé pour l'Église, non pas parce qu’il n'y a pas de gens dans l’Église qui ne le comprennent pas, l’ésotérisme chrétien, mais ceux qui sont dans l’Église et qui connaissent et qui le comprennent, l’ésotérisme chrétien, sont obligés de rester dans leurs cellules. S’il sortent de leur cellule, à ce moment-là ils vont être pris dans une avalanche, ça fait qu'ils sont obligés de rester dans leur cellule pour faire leur méditation tout seul. 

 

L'ésotérisme chrétien qui était exposé à l'Homme par des gens comme Rudolph Steiner, par exemple, cet ésotérisme chrétien là ne peut pas rentrer dans l’Église parce que c'est une pensée qui est fondamentalement opposée au conditionnement spirituel de l’Humanité. C’est une pensée qui enlève à l'Homme la responsabilité de son karma pour lui donner la vision de son avenir. C’est évident que l’Église qui base toute sa psychologie et toute sa confessionnalité sur l'exigence de l'Homme de porter ses propres centres sur ses épaules jusqu'aux portes de Thèbes, c'est évident que l'Église ne peut pas renier les fondements qui ont été établis depuis deux-mille ans, les lois d’impressions sont trop fortes.

 

Ça fait que l’Église est obligée de continuer à jouer sa partie de cartes comme elle l'a toujours jouée avec l'espérance, avec l'espérance spirituelle qu’elle va gagner la partie de poker ! Mais il se produit bien quelque chose dans l’Église aujourd’hui, c'est qu'aujourd’hui il transpire dans le monde des prophéties, les prophéties de Malachie, les prophéties de Nostradamus, ainsi de suite. Quand un gars,  d'ailleurs qui a fait partie de l’Église, puis qui a commencé à parler de l’avenir dans les siècles et qui commence à dire : “tel Pape, il va crever en telle année, l’autre Pape il va se faire tirer une balle, l’autre Pape il va se trouver avec une guidoune, l’autre Pape il va”… T'sé, il va arriver toutes sortes d'affaires, puis tout d'un coup, Woop... Tu regardes les nouvelles, puis ça se produit !

 

Là, les gens commencent à se dire : “qu’est-ce qui se passe”... Puis là, l’Église elle n'est pas folle, l'Église elle “checke” ça : “regarde donc ça, c'est intéressant, regarde donc ça, c'est intéressant”...Ça fait que quand les types dans l’Église commencent à regarder ça, là ils prennent leur soutane puis ils la mettent sur la tête, ils s’en vont dans leur cellule, puis là ils “checkent” ça, puis ils lisent ça tout seuls, puis ils trouvent ça intéressant. Puis là, ils s’ésotérisent ! Puis quand ils s’ésotérisent trop là, c’est parce que c’est la fin d’un cycle. Alors il y a une mutation dans l’Église, pas une mutation, c’est une transformation, c’est un élargissement de l'Église... L’Église c’est une organisation d’êtres extrêmement particuliers, l’Église c’est une formation d'intelligence, de sentiment spirituel extrêmement puissant, l’Église c’est une belle force sur la planète Terre, mais l’Église, ce n'est pas la fin du monde.

 

 

RG : Monseigneur Franck Schaffner qui est ici justement ce soir, aime beaucoup faire des jeux de mots...

 

 

BdM : Bon, on va parler de Mgr Franck Schaffner, moi je ne le connais pas Mgr Franck Schaffner, mais on va parler de lui pareil ! Mgr Franck Schaffner, c'est un Monseigneur, alors c’est un type qui est à l’intérieur de la forme de l’Église et qui a réussi à ésotériser sa pensée ecclésiastique, de sorte qu'en tant qu’individu dans un public, il est capable de transposer pour le peuple des aspects de la pensée ecclésiastique formalisée de l’Église et de lui donner une vie, un souffle ! Et en faisant ceci, il fait pour la masse, pour le peuple, un effort de conscience extraordinaire parce que ce sont des Hommes comme ça qui vont éventuellement permettre à ce que d’autres Hommes dans le monde puissent concevoir.

 

T'sé, quand t'es un boulanger, t'es un boulanger, t'es bien fin ; quand t'es un taxi driver, t'es un taxi driver, t'es bien fin, t'es un taxi driver. Mais quand t'es un Monseigneur, puis t’es un médecin, puis t'es un scientiste, puis t'es un archevêque, peut-être que... Woop... Il y a quelque chose là !

 

Alors, la personnalité parce que ce n'est pas une “flouc” qu'on l'appelle Mgr Schaffner, ce n'est pas une “flouc”, le fait d'abord qu'on l'appelle Mgr Franck Schaffner, que ce soit un Monseigneur Schaffner, déjà l’impression elle est bonne, parce que la forme permet aux gens de réaliser que ce n'est pas n’importe quel gars, que ce n'est pas n’importe quel niaiseux, ça fait que s'il a quelque chose à dire cet Homme-là, ce qu’il dit doit certainement avoir une connotation avec un aspect du réel en lui, qu'il convient de comprendre selon sa propre intelligence. 

 

Moi si j'étais avec Mgr Schaffner chez nous, on pourrait parler, on pourrait voir puis développer, puis développer, mais moi je ne le connais pas Mgr Schaffner, je le connais dans ma tête de même, je parle de lui de même, mais je sais et je suis obligé de dire que des Hommes tels que lui sont des Hommes qui ne sont pas sur le plan matériel pour rien. Il y a des raisons, et ça convient dans notre temps, surtout dans la Province de Québec, que des types tels que lui, puissent venir dans un public et ésotériser ce qui a été exotérique trop longtemps, pour permettre, une fois pour toutes, que du monde : des boulangers, des taxis driver, des professeurs d’école, des avocats, puissent comprendre que, peut-être, il y a quelque chose d'extraordinaire dans une pensée qui, par le passé, était cachée et était voilée dans les temples. Parce que c’est le temps aujourd’hui que ça sorte.

 

Mgr Schaffner, je ne le connais pas, mais je sais par vibration que c'est un type qui a un travail à faire dans le monde et qui le fait bien, jusqu'ici en tout cas, il n'a pas fait de gaffe... Et que ce travail-là, il est essentiel, et tant que cet Homme-là sera dans la conscience de son intelligence, et qu’il prendra conscience de l'importance de l'intelligence dans sa vision des choses et qu'il ne laissera pas son ego faire interférences avec sa présence, à ce moment-là cet Homme-là ne peut pas ne pas faire du bien, ne peut pas ne pas apporter à l'Homme quelque chose, il ne peut pas travailler dans le même sens que je travaille, c’est impossible (Applaudissements).

 

 

RG : Il y a juste une petite nuance avec le travail de Bernard, c’est que Mgr Franck Schaffner nous dit qu’il fait partie d’une école ésotérique dont les chefs sont des guides de lumière, des êtres de lumière, dont l'un des grands représentants est venu du Canada, avec une étiquette du Canada sur lui. Ce n'est pas dans le sens de Bernard qui nous dit : ça ne passe pas par des écoles maintenant, ça va venir direct dans la tête de chacun, l'intelligence passe directement. Il n’y a pas un piège dans lequel lui ou d’autres peuvent tomber en étant dans une école ?

 

 

BdM : Il faut comprendre le mot école. D’abord, le mot “école”... Dans l'univers il y a des écoles, sur les autres plans il y a des écoles. Là où les écoles cessent d'exister, c’est dans le monde de l’intelligence. Dans les mondes de l'intelligence, il n’y a pas d’école mais dans les mondes de l’évolution il y a des écoles, et dans ces écoles-là il y a des êtres qui sont très évolués et qui servent à représenter pour l’Homme, à travers son écran mental ou à travers son expérience astrale, des aspects d’un réel que lui doit vivre selon sa relation vibratoire avec ces êtres-là.

 

Alors ce sont des écoles, il y a des écoles visibles, il y a des écoles invisibles. Ce que je dis, c'est que quand l'Homme sera dans son Éther mental, l'Homme ne sera plus, n'appartiendra plus à des écoles, mais il créera des écoles nouvelles pour les Hommes qui viennent après. Il y aura toujours des écoles, il y aura des écoles sur la Terre tant que l'Homme ne sera pas arrivé au stage de “l’Homme-Esprit”. 

 

A ce moment-là, il n’y aura plus d'école parce que l'Homme sera dans le mental, alors il n'y a pas d’école, mais tant que l'Homme servira sur une planète, que ce soit sur la planète Terre ou que ce soit sur d’autres planètes dans la galaxie, tant que l’Homme servira à indiquer aux Hommes les lois de l'évolution, à ce moment-là il y aura des écoles, parce que les écoles servent à former dans l'esprit des entités ascendantes de l'échelle de l'évolution, des aspects de la perfection qu'ils peuvent voir simplement par le biais de leur spiritualité et de leur force astrale ascendante. 

 

Lorsque les Hommes seront sortis de cette de cette condition d'évolution là, que les êtres auront finalement dépassé le stage de l'âme, qu’ils auront détruit la mémoire de l'âme, et qu’ils deviendront des êtres descendants au lieu d’être des êtres ascendants, il n’y aura plus d'école pour eux autres, mais il y aura des écoles pour ceux qui ascendent, il y aura toujours des écoles pour ceux qui ascendent parce que ceux qui ascendent, doit leur être indiqué le chemin, et le chemin leur est indiqué de toutes sortes de façons, et cette école dont Mgr Franck Schaffner parle, ça fait partie de ça. 

 

Mais un jour, probablement, Mgr Schaffner, au lieu d'être en conversion avec des Intelligences qui se servent du plan astral pour lui communiquer de l'information, Mgr Schaffner sera en communication vibratoire avec l'Intelligence supramentale, et il n'y aura plus entre lui et les mondes de l’intelligence, d’intermédiaires qu'on appelle les guides de lumière. Quand il n’y aura plus de guides de lumière, à ce moment-là, Mgr Schaffner comprendra que les guides de lumière font partie des forces dans l’astral spirituel et que dans le monde mental, dans l’Éther mental, il n’y a pas de guides de lumière, il y a simplement de la lumière et tous les Hommes sont des atomes.  

 

(..) Je vous explique quelque chose, c'est comme ça que les gens de bonne volonté font des erreurs, les Hommes de bonne volonté font des erreurs parce qu'on a tendance à chercher, et en cherchant, puis en essayant de chercher, on a tendance à se servir de tous les outils qui sont à notre disposition. Et le plus puissant c'est l'association, et c'est très dangereux l'association, parce que l'association fait partie des mécanismes de l'intelligence humaine qui sont conditionnés par l'émotion de l'Homme pour lui donner la certitude ou un brin de certitude que quelque chose peut possiblement exister afin de “renforcir” sa foi. L'association, ça mène toujours à la foi. 

 

L'Homme doit sortir totalement de la foi, c'est-à-dire que l'Homme doit rentrer dans l'intelligence, quand tu es dans l’intelligence, tu n’as plus besoin de foi, ça ne veut pas dire que c'est pas bon la foi, c'est comme les écoles de Mgr Schaffner, puis les guides de lumière de Mgr Schaffner. Tous les Hommes... Il y a bien du monde dans le monde qui ont des guides de lumière, ce n'est pas que ces guides de lumière-là ne sont pas réels, ils sont réels ! Ce que je dis, c’est que l’Homme, l’individu, éventuellement, doit en arriver à développer son identité et lorsqu’il a développé son identité, il n’a plus besoin de guides de lumière parce que leur job est fini !

 

Quand leur job est fini aux guides de lumière, l’individu, l'Homme, est automatiquement rendu au point où il est capable d'assumer la tâche de son intelligence. Alors il n'a plus besoin, à ce moment-là, de guides de lumière pour le guider, il est dans la maturité de son mental, et il va là où il veut, et là où il doit parce que tout ce qu'il fait est en relation vibratoire avec l'intelligence. Et que cette intelligence elle est... (coupure enregistrement) (reprise en cours) (…) Pas plus que l'Intelligence et la Volonté cosmique. La Volonté cosmique, l'Intelligence et l’Amour sont des principes universels qui font partie de l'autre dimension de l'Homme, ça fait partie du Surhomme dans l'Homme. 

 

Et ça, ça sera compris de l'Homme lorsque l'Homme, de par sa Volonté et son Intelligence, aura détruit la mémoire de l'âme et qu’il sera entré dans l’Éther, et à ce moment-là, il se servira de l’Amour qui est un principe d’énergie pour construire les formes d'un univers nouveau, d’une nouvelle civilisation. L'Amour, ça ne sera jamais vécu sur la planète Terre, ce n'est pas fait pour la planète Terre, l'Amour. Le sentiment de l'amour est fait pour la planète Terre, l’intellect est fait pour la planète Terre, la volonté subjective est faite pour la planète Terre, mais pas la Volonté cosmique !

 

La Volonté cosmique, l'Intelligence cosmique puis l’Amour cosmique, ça ne fait pas partie de ce qu'on appelle : la volonté, l’amour et l’intelligence, de nous-autres. C’est une dégradation de cette énergie-là qu'on vit, nous autres, au niveau du mental et de l’émotionnel. Quand l'Homme sera en fusion avec l'énergie de ces plans-là, là, à ce moment-là, il vivra d'Amour cosmique, ça ne sera pas l'amour humain sentimental, il vivra d'Intelligence cosmique, ça ne sera pas l’intellect de l’Homme, il vivra de la Volonté cosmique, ça ne sera pas la petite volonté qui est basée sur son corps de désir (inaudible)...

 

L’Amour que le Christ a parlé, c'était pour créer dans l'Humanité occidentale une philosophie de vie qui coïncide avec le tempérament des Occidentaux, comme en Orient une autre philosophie qui coïncide avec le tempérament des Orientaux, et comme dans les pays d'Arabie une autre mentalité qui coïncide avec un autre peuple. Alors l’Amour, ça a été pour l’Occident, puis en Orient c’était d’autres choses, puis en Arabie c’était d’autres choses. Mais le principe cosmique de l’Amour et la Volonté et l'Intelligence cosmique, ça sera connu dans l'éthérique, en attendant, buvez du “Coke”(coca) puis attendez !

 

 

RG : Puis c’est au Québec, c'est au Québec qu’on a un gars comme Bernard de Montréal qui parle d’une nouvelle façon de toutes ces choses-là.

 

 

BdM : Je ne parle pas d’une nouvelle façon de toutes ces choses-là parce que ces choses n’ont jamais été expliquées à personne. C’est évident que si ça n'a jamais été expliqué à personne et que ça commence à l’être, ça fait nouveau, mais ce n'est pas nouveau, c’est du vieux. Parce que tout est su, puis tout est connu, tout est là.

 

 

RG : C’est une nouvelle façon seulement, mais de toutes ces choses-là ?

 

 

BdM : C'est expliqué d'une façon différente, c’est expliqué sans émotion et sans intellect, alors automatiquement, ça a l’air neuf puis ça chambranle tout le monde, mais il n’y a rien là, c’est bien normal.

 

 

RG : Vous parlez souvent de la fin du cycle, de la fin du cycle pour bientôt ? 

 

 

BdM : Non, non, ce n'est pas moi qui parle pour “bientôt, c’est vous autres qui mettez du “bientôtlà-dedans, ce n'est pas moi. Moi je n'en mets pas du “bientôt”, puis je ne mets pas de date.

 

 

RG : Alors si on a parlé de la fin de l’Église...

 

 

BdM : La fin du cycle.

 

 

RG : Bon, ne donnons pas de date, puis il n'est pas question de vous demander de date, mais ça me fait penser que le Christ qui est ressuscité d'entre les morts avec une énergie de lumière, me rappelle l'énergie de lumière des bombes atomiques, il y a un parallèle qui me paraît assez simpliste là, mais assez facile à faire.

 

 

BdM : Tu en fais de toutes sortes, de parallèles, tu es né en fonction de parallèles ! (rires du public). Tu fonctionnes en parallèle ! Tu ne peux pas fonctionner en parallèle ! Voyons !

 

 

RG : Les Orientaux disent que tout est cyclique, il y a peut-être une pensée orientale qui voit que les choses ne sont qu’un perpétuel recommencement ?

 

 

BdM : Oui, ils ont raison les Orientaux quand ils disent que tout est cyclique, ça c’est vrai que tout est cyclique. Mais le cycle, la nature du cycle change, mais tout est cyclique et tout va être cyclique tant que l’Homme ne sera pas rendu en Esprit. Ensuite, les cycles aussi limités qu’on a connus, il n'y en aura plus, il y en aura d’autres plus long, mais effectivement, les choses sont cycliques, ils ont raison. 

 

 

RG : Quand vous nous rappelez qu’Albert Einstein a découvert une formule qui venait de la science et la science qui est une science des morts, si on veut, de la mort, finalement, si on veut ramener l'Humanité à la fin du cycle, comme vous nous l'avez dit dans la première cassette, tantôt dans la première heure, donc il me paraît évident qu'il y a un jeu qui se prépare, un jeu qui... Dans lequel même Albert Einstein a amené l'Homme à réaliser l'explosion atomique, donc tout ça, ça serait lié encore une fois ?

 

 

BdM : Ça se tient tout ! Ça se tient tout ! Ça se tient tout ! C’est pour ça que je dis aux gens... Les gens parlent des prophéties... Patati patata... Puis les gens s’énervent des prophéties. Les gens ne devraient pas s’énerver des prophéties parce que ce dont il s’agit, ce que l’Homme a besoin, c’est d’être conscient, autrement dit d’être dans son Intelligence. Quand l’Homme sera dans son Intelligence, il sera guidé par l'Intelligence. L’Intelligence, ça éclaire. Ça fait qu'automatiquement, il sera automatiquement protégé, il sera amené où il devra être amené dans le temps. 

 

Alors les prophéties, puis ce qui coïncide avec la fin du cycle, d'abord les Hommes ne sauront jamais comment ça va se produire parce qu'en haut, laisse-moi te dire qu’ils sont “au boutte”, hein ! L’Homme ne saura jamais comment ça se produit parce que les secrets, autrement dit ce qui doit être voilé à l'Homme doit être voilé à l'Homme parce que ça fait partie son expérience, ça fait partie de l’expérience de l'involution.  L'Homme doit passer par ça, l'Homme doit vivre le karma mondial, puis il va le vivre. 

 

Ceux qui ne vivront pas le karma mondial, ceux qui passeront à travers le karma mondial sont ceux qui seront conscientisés, ils ne passeront pas à travers le karma mondial parce qu’ils n’auront plus de karma, alors automatiquement, ils seront amenés là où ils doivent, et automatiquement ces gens-là seront amenés dans des conditions de vibration et de vie qui les soutireront à cette condition de mort. C’est de même que ça marche. 

 

Mais nous autres les Hommes, on doit comprendre que l'Intelligence on ne sait pas qu'est-ce que c'est, je n'en ai pas parlé encore de l'Intelligence, il faudra que j'explique ça un jour. L’Intelligence, ce n'est pas ce qu’on pense, nous autres on pense que l'Intelligence c’est de l’intelligence ! Je l'ai déjà dit, l'Intelligence c'est pas de l’intelligence. L’intellect c’est de l’intelligence, mais l’Intelligence c’est pas de l’intelligence. L’Intelligence c’est de l'énergie qui se manifeste, puis quand elle se manifeste ça devient de la connaissance, puis nous autres on appelle ça de l’intelligence ! C’est simplement de l’énergie, de l’Intelligence. 

 

Alors un Homme qui fonctionne en relation avec l'énergie de l'Intelligence, il est automatiquement amené à vivre sur le plan matériel, vital, émotionnel, et mental, au taux vibratoire de cette énergie-là.  Quand cette énergie-là décide de changer les vibrations de l'Homme, il change. Alors l'Homme passe d’un plan biologique de vie à un autre plan de vie. Il n’y a absolument rien là. En attendant, c’est à nous autres d’essayer petit à petit de comprendre que la vie est là, puis le futur est là, puis que les choses vont se développer comme elles doivent, et que tous les Hommes ont en eux de l'intelligence. Tous les Hommes ont en eux de l’intelligence.

 

Ce qui bloque l’Intelligence dans l'Homme, c'est son intellect et c’est son émotion. Enlève l’émotivité subjective et l’intellect subjectif d'un Homme et il est automatiquement dans l’Intelligence, mais quand l’Intelligence commence à pénétrer dans un Homme, puis que l’intellect est là, puis que l'émotion est là, le gars il souffre, c'est évident qu'il souffre parce que ses corps ne sont pas capables de prendre la vibration, c'est pour ça qu'il souffre ! La souffrance c’est un changement vibratoire. 

 

Quand les Hommes auront suffisamment développé leur résistance, une capacité d'absorber cette énergie-là, il n'y aura absolument plus rien à l’Intelligence, il n'y a rien là, à l’Intelligence. Tout le monde fait une grosse patente de l’Intelligence, l'Intelligence c’est de l'énergie, puis ça a toujours été, puis ça va toujours être ! Puis ce qui vient en deçà de cette énergie-là c’est le passage de cette énergie-là sur des plans qui s’en servent pour constituer, soit du matériel ou du vital, ou du biologique, ou n’importe quoi. Et nous autres, on appelle ça de la vie, c’est pas de la vie, c’est de l’existence. Puis après ça, si tu ne comprends rien, ben, tu retournes au monde de la mort. 

 

Nous autres, on est prisonniers de l'espace jusqu'à tant qu’on se réveille, puis les morts sont prisonniers du temps jusqu’à tant qu'ils descendent ici, c’est de même ça que ça marche. Parle à des morts, il y en a qui parlent avec les morts ? Parlez donc avec les morts, demandez-leur si c’est vrai ce que je dis, ils vont vous le dire, ils ne peuvent pas se soustraire, moi j'ai toujours raison ! L'Intelligence a toujours raison, ce n'est pas moi Bernard de Montréal qui ai toujours raison, moi je suis une enveloppe, je suis un canal. 

 

L’Intelligence a toujours raison, mais on ne sait pas qu’est-ce que c’est de l’Intelligence parce que les erreurs... Les gens font l’erreur de penser que c’est moi qui dit que j’ai toujours raison, ce n'est pas moi qui dit que j’ai toujours raison. Moi, je n'existe pas moi, ça fait que le moi là… Quand les gens comprendront ça, ben, ils comprendront qu'est-ce que c'est de l’Intelligence. Puis tous les Hommes en ont !

 

 

RG : Pourquoi la fin du cycle doit être provoquée par des êtres intelligents ?

 

 

BdM : La fin du cycle n’est pas provoquée par des êtres intelligents, la fin du cycle, elle est sue parfaitement, mais ce sont les conditions de l’involution qui créent la fin du cycle, le karma, ce qu’on appelle la mémoire expérientielle de l'Humanité, qui crée la fin du cycle... Parce qu'écoute bien ça, tu vas rire !

 

Nous autres là, on a tendance à mettre de l’importance sur la vie biologique parce qu’on est des Hommes, on est dans l’inconscience de la vie, automatiquement on met de l’importance à la vie biologique. Mais dans les mondes de l’Intelligence, un de plus, un de moins, ça ne change rien pour eux autres. Le seul problème, c’est que quand il y a des guerres, ça fait bien du travail de l’autre bord, eux autres sont occupés de l’autre bord. Mais que la planète disparaisse à l’unité près, ça ne dérange rien parce que ça va continuer l'évolution, “anyway”, ça va continuer.

 

Dans le passé, c’était la même chose, il y a eu Noé là, puis il y en a eu d’autres. Quand il y en avait quelques-uns qui pouvaient être un peu plus conscients, ils pouvaient charrier tout le reste de la “gang”, ils s’en vont dans le monde des morts “anyway”, ils vont revenir “anyway”. Ça fait que tu ne perds rien ! Le corps matériel, ce n'est pas grave parce que le corps matériel, il est construit à partir des autres plans : le corps matériel, le corps vital c’est tout construit à  partir des autres plans ! On pense, nous, que c’est construit ici, ce n'est pas construit ici. 

 

Essaie donc de mettre de la vie dans une tomate quand il n'y a pas de vie dedans ! Si elle vient de l'autre bord, elle ne vient pas d'ci, ça fait qu'inquiète-toi pas pour les mortels, il y en aura toujours assez de mortels ! Seulement, il vient un temps à la fin d’un cycle où c’est le temps qu’il y ait un changement dans l’évolution, c’est le temps où l’Intelligence doit primer sur l’absence d’Intelligence, même si elle est bien indiquée l’absence d’Intelligence, c'est l’absence d’Intelligence pareil, quand bien même t'aurais quatre doctorats, si t'es un niaiseux, t'es un niaiseux ! Comprends-tu ?

 

L'Intelligence cosmique doit primer sur l'intelligence planétaire, ça c’est la fin d’un cycle. Les Lémuriens ont passé, les Atlantes ont passé, les races Indo-Européennes ont passé, nous autres on est la fin de ça, la sous-race, la cinquième sous-race, puis là il y en a une sixième qui s’en vient, puis elle aussi elle va passer, puis ensuite il va y en avoir une septième, puis elle aussi elle va passer. Puis ça, c’est les lois cosmiques. 

 

Seulement, quand t’es plus “pogné” dans ton biologisme puis que tu es conscient, tu sais ce qui se passe, tu comprends ce qui ce passe, à ce moment-là tu ne vis plus d’anxiété existentielle, tu vis dans ton Intelligence, dans l’Intelligence issue de cette énergie-là, et elle te soutient mentalement, émotivement, vitalement et physiquement. Puis si un jour ça chauffe trop entre les Russes puis les Américains, ben, à ce moment-là l’énergie de l’Intelligence va t’amener à reconnaître des aspects de ta vie future, et à ce moment-là, ben, tu rentres dans un autre champ de force, puis automatiquement tu continues ta vie, la vie elle continue.

 

Ceux qui se font “pogner” les culottes à terre c'est leur problème, si tu commences à pleurer parce qu'ils se promènent, parce qu'ils se font fait “pogner” les culottes à terre, tu vas en avoir en maudit des culottes à ramasser dans le monde (rires du public). Mais ça, c'est parce qu’on est sentimental, on est spirituel, puis on est bon, on est des bonbons, on n'est pas bon, on est “bonbon”. On n'est pas bon, on ne sait pas qu'est-ce que c'est “être bon”, on est “bonbon”. Mais ça, c’est parce qu’on a des émotions, puis ça c’est normal, ça fait partie de l’involution. 

 

Un jour on va se raffiner puis on va se raffiner, puis quand on va être raffiné, on va être raffiné. Puis tant qu’on ne sera pas raffiné, on va être comme on est, puis quand on est comme on est, on a le choix de rester comme on est ou d’apprendre d’autres choses... (Coupure enregistrement)... 

 

(…) BdM répond à Richard : Des gaffes, t’en fais tout le temps des gaffes, seulement elles sont fines, des gaffes t’en fais tout le temps, mais ça, ça fait partie de ton travail “faire des gaffes”, c’est pas de ta fautes de faire des gaffes. C’est pas parce que t’es pas fin (rires du public)... Tu fais des gaffes parce que ça fait partie… Tes gaffes là, si tu ne faisais pas de gaffes là, tu ne serais pas comme t’es. Tu fais des gaffes, tu fais des gaffes, tu en fais des maudites, des fois (rires du public), seulement c’est des bonnes gaffes, ça fait rire le monde !

 

Éventuellement les gens te connaissent, les gens te comprennent aujourd’hui, ça fait trois, quatre ans que tu fais le job là, les gens commencent à te comprendre, puis ils commencent à réaliser que tes gaffes, t'en fais des gaffes... Nostra… Nazareth, la Nasa, ça c’est des gaffes rudimentaires. Si tu étais dans l’intelligence, tu ne pourrais pas parler de même, mais c’est des gaffes qui font rire le monde, c’est le fun (rires du public).

 

Puis si les gens te prennent au sérieux et qu’ils pensent que le Nazaréen il travaillait pour la Nasa, ben là, eux autres sont dans la gaffe (rires du public). Il faut que tu fasses attention quand tu fais des gaffes de même, mais ça, ça vient avec le temps, tu ne peux pas être plus réceptif à ton intelligence que dans le temps, ça vient graduellement, ça. Tu as changé depuis trois, quatre ans. T'es pas comme tu étais avant. Tu changes, on change, moi je change, tout le monde change. Dans deux ans tu vas être différent. La gaffe que tu fais aujourd’hui, dans deux ans tu ne pouras pas la faire parce que la vibration va être ajustée, puis elle s’ajuste, elle s’ajuste, c'est comme ça. En attendant, la gaffe que tu fais est importante. Qu’est-ce que tu veux que je te dise…

 

 

RG : Alors je la répète, ils se rendent pas compte de ce qu’ils font et on doit leur pardonner parce que…

 

 

BdM : Le Christ, quand il est mort puis qu'il a dit : “pardonnez-leur, parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font”, c’était des paroles qui devaient continuer leur écho dans le temps. Ça servait pour l’Homme. Mais si un jour la Russie puis les États-Unis ils se lancent une balle, laisse-moi te dire que même pas moi, moi je vais même pas leur dire : “pardonnez-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font”… Je vais dire : “qu’ils mangent d'la marde” (qu'ils aillent se faire foutre) (rires du public). C'est ça que j'essaie de faire comprendre. 

 

Les paroles du Christ, les paroles du Christ ça servait, on ne comprend pas que l'histoire... Comprends-tu ce que je veux dire ? Ce qui a été dit dans le passé servait dans le présent... (rires de BdM, Richard et du public)... Ce qui a été dit dans le passé servait dans le présent, mais nous autres, on est dans un autre temps. 

 

Tu ne peux pas, tu ne peux pas faire face à une situation politique mondiale aujourd'hui, puis dire : “pardonnez-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font”. Comprends-tu ? (rires du public). Parce que quand tu es dans l’Intelligence, tu ne peux pas fonctionner de même. Ce que le Christ a dit, ça servait, ça faisait partie de l’énergie de l’intelligence canalisée à travers sa personne pour le temps qui vient, pour les Hommes. Mais nous autres, notre job ce n'est pas ça, on a un autre job, les Hommes ont d’autres jobs. 

 

Alors nos réactions, je sais bien que la mienne, moi, quand ça se passera, ça sera pas ça, ça va être d’autres choses. Il faut qu’on déspiritualise notre intelligence. Moi j’ai rien contre la spiritualité, il y a des gens qui pensent des fois que je suis contre la spiritualité. Ma belle-mère, elle pense que je suis un athée. Si elle savait que je ne suis pas un athée... C'est pas que je suis un athée, c’est que je ne vois pas les choses comme elle voit, alors automatiquement elle pense que je suis un athée. Je ne suis pas un athée, s'il y a un homme qui n'est pas un athée c’est bien moi ! 

 

Mais quand tu déspiritualises ton intelligence, tu enlèves l’émotivité dans ton intelligence, automatiquement tu rentres dans une autre intelligence. Mais à ce moment-là il faut que tu ais les reins forts parce que tu n'as plus le support psychologique de ton ancienne intelligence, tu n'as plus de support psychologique de tes anciennes émotions. Tu es obligé de faire face à la musique. Cette musique-là, ben, elle est froide, elle est de l'Intelligence, puis quand tu… Soit tu leur parles par télépathie ou que tu parles, ce que tu dis... Moi quand je parle des fois, je suis obligé de subir le poids de mes paroles, moi je les parle, d'accord je les écoute, j’entends ça, puis je dis : “ ouais, c'est intéressant”.

 

Ils me parlent en haut et je dis : “oui, oui, c’est bien intéressant”, mais c'est moi qui ai le poids de tout ça. Quand tu ouvres ta gueule en public, tu as le poids de ce que tu dis. Aujourd’hui je suis habitué, ça ne me dérange pas trop, mais au début c’était pas facile parce que quand tu détruis des formes, tu es obligé de dire à l’Homme : “il est temps là, les gars, que vous arrêtiez de spiritualiser votre intelligence pour rentrer dans l’intelligence pure”... Au début, c’était pas facile, parce qu’on est lié à un passé, on a une mémoire. C’est ça que l’on doit petit à petit apprendre à faire, puis plus on va apprendre à faire ça, plus on va rentrer dans l’Intelligence. 

 

 

RG : Il y avait une face dans tout ça, parce que même avec “pardonnez leur car ils ne savent ce qu’ils font”, effectivement, les êtres humains sont le jeu des force du dessus et même si, avec toute la bonne volonté du monde, les êtres humains voulaient tout faire pour faire la paix, même si avec l’organisme, comme vous l’avez mentionné, de scientifiques qui font le tour de la terre et qui essaient de conscientiser la science, tout ça, c’est détruit à la base par des êtres extérieurs, pour ne pas dire “extraterrestres” qui viennent faire sauter ça... Qui viennent faire le déluge, qui viennent faire ce qu’ils veulent avec les êtres humains. Puis c’est ce que les scientifiques au début du mois d'avril 1982 ont découvert au Nevada, aux États-Unis, c'est qu'il y a un jeu de théâtre qui est joué. Bernard de Montréal, on ne se rend pas compte qu’on est des marionnettes, puis qu’on fait le plaisir de ce que d'autres, appelaient autrefois les “dieux”.

 

 

BdM : Eh oui, c’est ça que je chante depuis des années de temps. On est des “yoyos”, puis les autres ils tiennent la corde, puis nous autres on monte, puis on descend, puis on monte, puis on descend. Quand tu montes, tu t'en vas quand tu meurs, puis quand tu descends tu reviens sur la Terre, puis tu meurs, puis tu reviens sur la Terre. Moi j’essaye de faire comprendre comment couper la corde, puis personne ne veut se servir des ciseaux ! 

 

On est des “yoyos” mais c’était nécessaire qu’on devienne des “yoyos”, mais là, il y a “yoyo” puis “yoyo” ! Là, on est rendu tellement “yoyo” qu’on n'est plus capable de le voir qu'on est “yoyo”. Il est temps qu'on commence à voir ; c’est correct un “yoyo”, mais quand un “yoyo” devient intelligent, ben là, il change de forme. 

 

Puis il faut que les Hommes commencent à réaliser qu’ils ont été des “yoyos”, puis que c’était des bons “yoyos”, c’était des beaux “yoyos”, puis c’était nécessaire qu’ils montent puis qu’ils descendent ! Mais là, c'est temps que l'Homme commence à comprendre qu'il doit changer de peau, il doit cesser d'être un “yoyo”, puis c'est ça la nouvelle évolution, c'est ça que j'essaie d’expliquer de toutes sortes de façons... C'est ça que j'essaie d’expliquer de toutes sortes de façons !

 

 

RG : Mais qu’est ce qui nous dit qu’on n'est pas le produit tout simplement d’une science avancée extraterrestre ?

 

 

BdM : Oh ! Ben, quand j’explique qu'est-ce que c'est l’origine de l’Homme, pourquoi l’Homme est sur la Terre, là c’est une autre paire de manches. Il ne faut pas rentrer là-dedans parce que si je commence à expliquer l’origine de l’Homme et la raison cosmique de l’évolution de l’Homme et la descente de l’Homme dans la matière, à ce moment-là, ça crée trop de matériel, ça crée trop de formes pour rien, les gens sont “pognés” dans les formes. 

 

C’est pas les “extraterrestres”, lâche-moi donc avec les “extraterrestres”, penses-tu que les “extraterrestres” peuvent faire ce qu’ils veulent sur la planète Terre ?! Les “extraterrestres” sont régis par l’Intelligence, ils ne peuvent pas faire ce qu’ils veulent, ce sont les forces astrales qui dominent l’Homme, ce ne sont pas les “extraterrestres”. Moi, je n'ai rien contre les “extraterrestres”. Ce sont les forces astrales qui sont dangereuses pour l’Homme, pas les “extraterrestres” !

 

Il y a des “extraterrestres” qui sont dangereux pour l’évolution future de l’Humanité, mais ce n'est pas le même danger. Le plus grand danger de l’Homme il est dans l’Homme, il n'est pas à l’extérieur de l’Homme. Le plus grand danger de l’Homme il est dans l’Homme, il est dans sa conscience astrale, il est là le danger de l’Homme, il est dans ses pensées puis dans ses émotions. Il est là le danger de l’Homme. Et les Intelligences qui manipulent ça, ce sont ces Intelligences-là que l’Homme éventuellement doit neutraliser.

 

Quand il aura neutralisé ça, l’Homme sera dans la conscience supramentale, quand l’Homme sera dans la conscience supramentale, il est automatiquement en relation vibratoire avec les êtres qui viennent d’autres planètes parce qu’il sera dans l’Intelligence, comme eux autres le sont. Il n'y a plus de problème à ce moment-là. Le danger il est dans l’Homme, nos pensées, puis nos émotions.

 

 

RG : Parce que dans la science-fiction, on parle aussi de la téléportation qui est une manifestation d'une vie à un endroit, et la même vie à un autre endroit presque simultanément. Puis dans les clés

 

 

BdM : La téléportation, l’Homme n’est pas préparé. La téléportation ça va venir sur la Terre quand la science universelle va être implantée sur la Terre. La téléportation, le système, les moyens de téléportation ça va être un des premiers systèmes qui va être créé pour l'Homme, par l'Homme en relation avec l'aide extraterrestre. Ça va être donné à toutes les nations du Globe, il n’y aura pas de conflit. 

 

Mais l’Homme n'est pas prêt à travailler avec la science cosmique parce que l'Homme, à cause de son attitude psychologique, à cause du fait qu'il ne voit pas à l'extérieur de lui-même, à cause du fait qu’il n'est pas conscient qu'il y a des mondes invisibles, des mondes parallèles, qu'il y a des gouvernements invisibles qu’il y a des gouvernements parallèles, l'Homme automatiquement se sert, se servirait de ces choses-là pour sa puissance nationale. Les Russes en premier, puis les Américains en deuxième, puis les Chinois en troisième, puis les Français...

 

Ça marcherait de même, les Hommes sont assoiffés de pouvoir, c'est normal parce qu'ils ne voient pas d'autres choses, alors quand la fin du cycle viendra, que l'Homme entrera en contact avec des Intelligences supérieures, puis quand l'Homme sera... Je ne peux pas en parler trop là, mais quand l'Homme sera au niveau des gouvernements, en présence permanente avec des Hommes planétaires, terrestres immortalisés, faisant partie du gouvernement invisible, à ce moment-là, c’est à ce moment-là que les gouvernements ne pourront plus faire ce qu’ils veulent !

 

Parce qu'éventuellement les gouvernements ne pourront plus faire ce qu’ils veulent, parce qu'éventuellement les Hommes qui font partie du Collège, pas du Collège invisible, mais qui font partie de l’invisible, qui font partie de cette conscience supramentale, et qui viennent d’une autre planète, et qui ont une Régence sur la Terre, ce sont ces gens-là, ces Hommes-là qui sont dans un autre Éther, qui contrôleront et qui dirigeront l’évolution de la sixième race. Et ces Hommes-là seront en contact permanent et à volonté avec les chefs des gouvernements. 

 

Alors les Nations ne pourront plus aller en guerre, les Nations ne vont pas cesser d’aller en guerre après la fin du cycle parce qu’ils auront eu de la bonne volonté, ils vont cesser d’aller en guerre après la fin du cycle parce qu’il y aura des êtres qui pourront se matérialiser dans leur bureau, puis dans les Chambres corporatives pour leur dire : “écoute, c’est de même que ça marche et si ça ne marche pas de même, on te zigouille”. C’est de même que ça va marcher !

 

Puis quand je parle de “zigouillage”, je parle de “zigouillage” parce que l’Homme aura le pouvoir sur la matière, puis quand l’Homme a le pouvoir sur la matière, il a le pouvoir de dématérialiser la matière, et quand l’Homme dématérialise un corps matériel, il peut changer la vibration de ce corps-là et envoyer l’Homme qui est en esprit là-dedans de l’autre bord, ça veut dire : encore dans le plan astral. 

 

C’est pour ça qu'après la fin du cycle, il n'y aura plus de guerre sur la Terre, pas parce que les Hommes auront une bonne volonté, mais parce qu’il y aura sur la Terre la présence de la Lumière, la présence de l’Intelligence, et pour la première fois, depuis le début de l'évolution humaine jusqu'à aujourd'hui, à l'échelle mondiale, il sera donné à l’Homme, à qui veut voir, et laisse-moi te dire qu’il va avoir les yeux grands, à qui veut voir, il sera donné à l'Homme la capacité de reconnaître une fois pour toutes, sans faille et sans doute et sans ambiguïté, qu'il y a effectivement sur la Terre un Gouvernement invisible, puis c’est une grande chose, seulement qu’avant, ça n'était pas fait à l'échelle mondiale, ça a été fait... C'était fait en retrait parce que l'Homme devait évoluer.

 

Mais maintenant que l’Homme doit évoluer et que le Gouvernement invisible et la Hiérarchie ne permettront plus que l'évolution de la Terre soit retardée par des conditions planétaires émanant d’une conscience humaine inférieure et totalement égocentrique, à ce moment-là ça va être final... FINAL ! 

 

 

RG : Êtes-vous leur porte-parole Bernard ?

 

 

BdM : Voyons ! Mêle-toi de tes affaires, pourquoi est-ce que tu me demandes des affaires de même ? Tu sais que je ne réponds pas à des questions comme ça ! J’essaie de faire comprendre des affaires, mais je ne répondrai pas à des questions comme ça. Puis à part de tout ça, c’est pas de tes affaires, puis à part de tout ça, à part ça, c’est pas tes affaires. 

 

Moi j'ai du fun à vous parler là, je vous parle comme un “chum” là, mais c’est des choses... Ça ne passe pas ça, ça ne passe pas ça, tu ne dis pas ce que tu veux, puis tu ne dis pas ce que tu veux, tu dis ce que tu dois. Quand tu dis ce que tu veux, ça vient de l’ego, quand tu dis ce que tu dois, ça veut dire que tu n'as pas de contrôle sur ça, c’est ça de l’intelligence. Sans ça, tu fais des erreurs psychologiques, puis tu parles du Nazaréen qui est à la Nasa (rires du public, à propos d'une blague de Richard Glenn). FIN.

 

 

 

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