samedi 17 juin 2023

RG 51A et 51B L’éducation de la sixième race (juillet 1983 Dialogue futuriste entre BdM et RG se projetant en l'an 2023... depuis juillet 1983).

 Richard Glenn (RG) Bernard de Montréal, comment se fait-il que le monde de l'éducation de l'an 1983 avait pris la tournure que nous connaissons, que nous avons connue, et comment se fait-il qu'un type comme Bernard de Montréal ou comme tous les autres en fusion, ont joué le rôle de la façon dont ils l'ont joué dans le domaine et vis-à-vis de la jeunesse et l'éducation, et les moyens de transmettre l'information ?

 

 

Bernard de Montréal (BdM) : Parce qu'en 1983 l'Humanité était à un stage de déformation de conscience. En 1983, l'Humanité n'avait pas la capacité de réorganiser d'une façon suffisamment rapide, le matériel psychologique de sa conscience inférieure. L'Homme était incapable, dans ce temps-là, de pouvoir comprendre analytiquement les paramètres incroyablement complexes d'une civilisation qui n'avait pas atteint l'âge de sa maturité psychologique ; une civilisation qui avait réussi à découvrir des lois de la matière et qui avait donné à l'Humanité une fondation matérielle d'abondance mal répartie, mais une civilisation qui n'avait pas atteint la maturité parce que l'Homme n'avait pas encore découvert le pouvoir de la pensée créative. 

 

L'Homme vivait d'une pensée subjective, il vivait d'une pensée rationaliste, il avait l'impression, dans la majorité de la population, que le monde de la Terre, le monde de la conscience planétaire, était un monde qui était encastré dans un corps matériel ou dans une substance matérielle. D'ailleurs la science était mécaniste, rationaliste, et l'Homme avait perdu le sens profond des valeurs oubliées des anciens Atlantes, des anciens Rishis, des anciens initiés ou des anciennes connaissances de l'Humanité. Donc l'Homme vivait d'une conscience totalement expérimentale, sa science était totalement expérimentale, et sur le plan de l'éducation, sur le plan de la philosophie, sur le plan psychologique tout était expérimental. 

 

Et comme l'Homme n'avait pas encore dégusté, n'avait pas encore senti, perçu, reçu d'informations à partir d'un autre plan, il n'avait pas conscience que le monde de la Terre est un monde composé de différents éthers qui contiennent chacun, selon leurs vibrations, différentes Intelligences qui pouvaient communiquer avec l'Homme, mais qui ne pouvaient pas en ce temps-là communiquer avec l'Homme parce que l'Homme n'était pas suffisamment réceptif. Il n'était pas réceptif parce qu'il avait trop d'ego, son ego était une conscience inférieure colorée par ses émotions et son intellect, donc son ego ou son cerveau en tant qu'organisme biologique radiophonique ne pouvait pas recevoir d'ondes suffisamment subtiles pour percer, transpercer la couche très très épaisse de l'inconscience raciale de ce temps-là.

 

 

RG Qui et comment pouvait-on modifier le modus operandi ?

 

 

BdM : La modification de la conscience sociale de l'Humanité à ce moment-là commençait. Elle avait commencé il y a quelques années, elle avait commencé en douce parce que l'Humanité devait être protégée d'une conflagration sociale, d'une débâcle psychologique. Donc les Intelligences qui œuvrent, si vous voulez, dans les mondes parallèles, travaillaient directement avec l'Homme au début par intuition.

 

Donc pendant cette période finale, si vous voulez, de l'Humanité, il y avait beaucoup d'Hommes sur la Terre qui devenaient de plus en plus intuitifs parce qu'ils enregistraient de plus en plus certaines vibrations dans leur cerveau, qui leur permettaient de comprendre d'une façon plus ou moins ambiguë des réalités personnelles ou transpersonnelles qui leur servaient à pouvoir s'ajuster psychologiquement au contexte social de leur temps. 

 

Mais ce que ces gens-là, qu'on appelait dans le temps : des voyants, des psychiques ou des médiums, ainsi de suite, ce que ces gens-là ne savaient pas, c'est qu'ils étaient dans leur intelligence, couverts, c'est-à-dire que les forces, les Intelligences qui faisaient partie des plans subtils étaient obligées de couvrir ce qu'ils leur disaient parce que ces Hommes-là dans ce temps-là avaient encore la faculté de penser. 

 

Et comme ils avaient la faculté de penser, cette faculté de penser qui était personnelle ne pouvait pas facilement trafiquer ou échanger, ou utiliser du matériel qui était transpersonnel. Sinon, ça aurait causé une débâcle psychologique chez les individus et ça aurait amené les individus à une sorte d'aliénation mentale parce que l'ego n'aurait pas été capable de réellement comprendre ce qui ne se comprend pas par l'intellect, mais qui se comprenait, à ce moment-là, directement soit par l'intuition ouverte ou soit par correspondance mentale télépathique directe.

 

 

RG : Y avait-il des systèmes et des réseaux organisés, déjà, qui préparaient l'Humanité à atteindre ce qu'on connaît maintenant en l'an 2025 ?

 

 

BdM : Oui, il y avait dans tous les pays du monde des organismes plus ou moins développés, plus ou moins définis, et il y avait d'ailleurs un grand nombre d'organismes qui étaient plus ou moins infects, plus ou moins contaminés, plus ou moins intuitifs, plus ou moins intelligents, autrement dit ce que nous appelons aujourd'hui en l'an 2023, plus ou moins “en contact direct avec l'invisible”. Et ceci faisait justement partie de l'expérience collective de ces organismes, comme ça faisait partie de l'expérience subjective et personnelle des individus. 

 

Il fallut un très grand nombre d'années pour que ces organismes soient amenés à reconnaître d'autres niveaux d'Intelligence à l'intérieur de leur organisation, et il fallut aussi que les individus durent reconnaître pendant un certain nombre d'années, pendant une période que nous appelions à ce moment-là “l'initiation solaire”, ils durent reconnaître qu'inévitablement, pour que l'Homme de ce temps-là puisse accéder à une identité totale, c'est-à-dire à un raccord parfait entre l'Intelligence qu'ils appelaient dans ce temps-là “Intelligence cosmique”, qui en fait n'a rien à faire avec l'Intelligence cosmique, mais ils durent reconnaître qu'il y avait effectivement un but dans l'évolution qui était directement lié à leur expérience personnelle, soit subjectivement ou au niveau de leur propre identité, ou en fonction de ces organismes. 

 

Mais il y eut un phénomène absolument particulier qui fut reconnu vers l'an 1994, ce fut un phénomène où suffisamment d'informations avaient été disséminées dans le monde pour faire reconnaître aux individus les plus avancés, les plus évolués, les plus intuitifs, que tout ce qui était organismes, tout ce qui était collectif en conscience, n'avaient servi qu'un but, c'était le but de certaines forces qui voulaient entraîner non pas la chute de l'Humanité sur le plan matériel, mais la chute de l'Humanité sur le plan psychologique.

 

Et à partir de ce temps-là il y eut des forces dans le monde qui se sont manifestées en puissance visible, matérialisées à partir de l'Éther, qui ont contraint ces forces, ces organismes, à reculer et à ne plus pouvoir influencer sur le plan matériel de la Terre les consciences prêtes, les consciences suffisamment avancées de l'Humanité. 

 

Et à ce moment-là, nous pouvons enregistrer dans les anecdotes ou dans les histoires de l'Humanité qu'il y eut comme une rupture, la rupture d'un voile, la brisure, si vous voulez, de ce qui dans ce temps-là était appelé : “Les forces astrales”, et qui permit ensuite que d'autres forces qui dans ce temps-là étaient appelées “les forces de la Lumière”, que nous n'appelons pas aujourd'hui “les forces de la Lumière”, et la rupture de ces forces permit à l'Homme une fois pour toutes de commencer à pénétrer dans les secrets de l'organisation invisible sur la Terre, et de petit à petit commencer à réaliser qu'il y avait des êtres sur la Terre qui avaient le pouvoir de l'invisibilité et qui faisaient partie du Gouvernement invisible qui, dans le passé, avait toujours été caché à l'Humanité, mais qui avait été enregistré dans l'expérience personnelle ou enregistré dans les archives de la race.

 

 

RG Comment cette Humanité était-elle préparée et comment a-t-elle réagi lorsqu'elle a découvert, effectivement, derrière ce voile, ce Gouvernement  invisible, et comment ce Gouvernement invisible s'est-il graduellement ou subitement manifesté à cette Humanité de 1983, ou par après ?

 

 

BdM : Lorsque le voile fut rompu entre la conscience planétaire de l'Homme et la conscience plus avancée de l'Homme, il y eut des forces dans le cosmos qui se matérialisèrent, c'est-à-dire qui vinrent vers l'Homme pour le soutirer complètement de l'influence astrale qu'il avait connu au début. Ces forces faisaient partie de ce que l'Homme appelait dans le temps “la Conscience Christique”. C'était des forces, autrement dit c'était des Intelligences qui avaient le pouvoir de dématérialisation, des Intelligences qui avaient le pouvoir de se servir d'un corps ou d'un autre corps. 

 

Autrement dit, des Intelligences qui étaient totalement capables de subtiliser les sens de l'Homme, et ce sont ces Intelligences qui se sont déplacées un peu partout dans le monde, dans différents pays du monde, en Europe, en Afrique, en Amérique du sud, et qui ont individuellement, morceau par morceau, pièce par pièce, subtilisé des Hommes qui étaient sur le plan matériel. Ils sont montés dans leur vaisseau pour transmuter leur corps physique, pour permettre que leur cerveau soit ajusté vibratoirement à une onde supérieure afin qu'ils puissent maintenir une conscience télépathique avec ces êtres.

 

Et ces êtres, en revenant, furent donnés des pouvoirs, les pouvoirs étant ceux-ci :  le pouvoir de la commande mentale sur la matière, non pas le pouvoir de dématérialisation, très peu avaient le pouvoir de dématérialisation, le pouvoir de la science infuse, c'est-à-dire la science de l'autre, le pouvoir de ne pas être menti, ainsi de suite, pouvoir voir à travers les voiles, ainsi de suite. Et avec ces pouvoirs-là, l'Homme a commencé à se réorganiser sur le plan social, mais il se produisit quelque chose d'assez étrange, c'est que vers l'an 1998, un autre coup, on pourrait appeler ça une autre pénétration, si vous voulez, de l'éther planétaire, fut fait par un homme... Un homme !

 

Et cet homme fut connu à travers la planète, à travers le monde parce qu'à ce moment-là les systèmes de communication étaient très développés. Et cet homme était effectivement, mais voilé toujours, il était effectivement ce que les Juifs avaient conçu comme étant “le deuxième messie”, ce que les spiritualistes, les ésotéristes avaient conçu comme étant “le deuxième messie”, mais ce n'était pas réellement le deuxième messie. 

 

C'était un homme qui venait pour remplacer ce que le premier messie avait fait, autrement dit, c'était un homme qui venait pour ajuster les valeurs qui avaient été implantées à l'Humanité il y a des milliers d'années, pour permettre à l'Homme d'évoluer sur le plan psychologique, sur le plan moral, afin qu'il puisse émotivement et intellectuellement développer un ego sage, un ego solide, ainsi de suite. Et cet homme qui fait partie justement de nos forces, cet homme était représentatif sur la Terre de ce que nous sommes aujourd'hui. Donc cet homme était “prototypique”, il était parfait dans sa conscience, et il avait la capacité d'intégrer instantanément dans le monde, en relation avec les différents paliers d'organisations sociales, les forces nécessaires à la reconstruction d'une nouvelle civilisation. 

 

C'est pour ça aujourd'hui, si vous regardez dans le monde, vous voyez que nous avons par exemple des vaisseaux qui se déplacent dans les airs. Alors pour que l'Humanité puisse bénéficier de ces vaisseaux qui sont aujourd'hui antimagnétiques, il fallut qu'il y ait des lois. Pour que l'Humanité puisse bénéficier des systèmes de téléportation que nous possédons aujourd'hui pour nous téléporter dans le monde, il fallut qu'il y ait des lois ; des lois qui nécessitaient un changement radical dans les structures dans les conventions des Nations Unies parce que les Nations unies à ce moment-là existaient, mais elles étaient très très faibles. L'organisation sociale était très faible parce que l'Homme était encore trop trop inconscient, mais elle représentait en tant qu'organisme International le meilleur bien fondé des intentions de bonne volonté de l'Humanité de ce temps-là. 

 

 

RG : Comment se fait-il qu'il y eut toujours des oppositions à ce nouvel ordre de choses que nous connaissons aujourd'hui en l'an 2023 ?

 

 

BdM : Il y eut beaucoup d'oppositions parce que l'Homme - même s'il ne le connaissait pas, même s'il ne le réalisait pas dans ce temps-là - l'Homme devait reconnaître éventuellement que ce qu'il appelait, dans ce temps-là, “le monde de la mort”, était un monde qui était habité par les mêmes entités qui avaient peuplé ou qui avaient habité des corps physiques. 

 

Donc l'Homme en ce temps-là ne connaissant pas les lois de l'invisible, donc ne connaissant pas les lois du monde de la mort, donc ne pouvant pas reconnaître le pouvoir du monde de la mort sur la conscience humaine planétaire, l'Homme était incapable de se créer une condition de vie planétaire qui concordait avec son Intelligence parce que le monde de la mort était trop puissant. Ce que nous appelions dans ce temps-là : “le monde de l'astral”. 

 

Donc à un certain moment, il fallut que le monde de la mort soit arrêté dans son activité contre l'Humanité. Et pour que le monde de la mort arrête son activité contre l'Humanité, il nous fallut à nous, dans ce temps-là, travailler incessamment et amener le monde ou les entités dans le monde de la mort à changer de terrain, à changer d'espace, à être déplacées. Nous devions travailler à un déplacement.

 

Je ne peux pas dire un déplacement géophysique, mais réellement un déplacement physique dans leur monde, pour que ces êtres-la puissent être libérés et ensuite reconnaître l'importance que l'Humanité dut être laissée d'évoluer en paix. Et à partir de ce moment, lorsqu'il y eut un grand travail fait par les initiés de ce temps-là, il se fit une ouverture dans l'Esprit de l'Homme et les Hommes purent commencer lentement à comprendre les lois de la vie et les lois de la mort. Et en comprenant les lois de la vie et les lois de la mort, c'est à partir de ce moment-là qu'il nous fut de plus en plus facile de raccorder ce que nous appelions dans ce temps-là “le principe éthérique” avec le principe matériel. 

 

 

RG : A-t-on utilisé à cette époque des méthodes spectaculaires pour aider à l'établissement du nouvel ordre de choses que nous connaissons aujourd'hui ?

 

 

BdM : Non, les méthodes étaient très très très simples, très voilées très occultes, si vous voulez. Très peu d'Hommes sur la Terre pouvaient connaître ces méthodes parce que pour connaître ces méthodes, il fallait que ceux qui travaillaient dans ce temps-là soient en communication mentale avec nous, et il fallut aussi que ceux qui travaillaient dans ce temps-là ne puissent pas, à cause de leur émotivité, de leur raison, faire interférence avec notre travail. Donc nous étions obligés de voiler tout ce que nous faisions. 

 

Et ceci était très difficile parce que l'Homme tout de même avait à comprendre, l'Homme voulait comprendre, l'Homme avait une très grande volonté d'évolution, ainsi de suite. Mais ce que l'Homme ne savait pas, c'est comment lui, sur le plan psychologique, sur le plan émotionnel, sur le plan vital, sur le plan physique, il était construit. Et comme il ne savait pas comment il était construit, il ne pouvait pas comprendre nos méthodes. Donc nos méthodes durent demeurées secrètes pendant à peu près cinquante années. 

 

 

RG : Y a-t-il dans ce secret, des évènements orchestrés, des scénarios écrits par nous, de l'an 2023, ou des gens semblables à nous, qui ont été imposés à l'Humanité de 1983 et après ?

 

 

BdM : Oui, il y eut des œuvres écrites, des œuvres de très grande importance, des œuvres qui ont créé une dislocation énorme à l'Humanité afin d'ouvrir les centres psychiques. Il y eut des œuvres qui, d'ailleurs, ne sont même pas terminées dans leurs conséquences. Il y eut des œuvres qui eurent la fonction, dans le fond, de réellement déchirer le voile de l'âme de l'Homme afin d'amener l'Homme à une conscience totale de son Esprit, c'est-à-dire à une reconnaissance parfaite du lien mécanique psychique vibratoire entre son cerveau et notre énergie.

 

 

RG : Pouvez-vous nous rappeler certains noms ou certains évènements qui ont été justement orchestrés par nous ?

 

 

BdM : Il y eut beaucoup de livres, je n'ai pas pour le moment la mémoire (rires du public), mais il y eut beaucoup de livres qui furent écrits, et à ce moment-là, dans ce temps-là, ceux qui étaient les plus sensibles vibratoirement, intuitivement, pouvaient reconnaître essentiellement la qualité d'Intelligence supramentale de ces œuvres. Et ces œuvres leur servaient à comprendre des aspects personnels, comme ça leur servait à comprendre des aspects sociaux de l'évolution.

 

 

RG : Pouvez-vous nous expliquer un peu, puisque nous sommes dans la province de Québec, le rôle joué par un certain Bernard Montréal qui est décédé depuis ? (rires de BdM et du public).

 

 

BdM : Ce Bernard de Montréal était un homme très simple, un homme qui avait une certaine convenance sociale, apparemment il s'habillait bien (rires du public), il était plaisant, ainsi de suite. C'était un homme qui avait une certaine formation. Nous ne connaissons pas tellement ses antécédents parce qu'à un certain moment, il dut se retirer, donc lorsqu'il s'est retiré, ce qu'il était, ce qu'il convenait de lui-même demeurait avec un certain nombre de personnes. Mais il fit un certain travail dans une certaine région qui, dans ce temps-là, était appelé le Québec. Et ce travail faisait partie de toute l'activité coordonnée à l'échelle mondiale. C'était un travail important, mais un travail qui n'était pas plus important que ce que nous faisions ailleurs dans le monde.

 

 

RG : On s'est laissé dire que derrière le voile, Bernard de Montréal est devenu conseiller pour des organismes politiques, économiques, sociaux à travers le monde, un peu comme un prince noir dans l'ombre, il a aidé à l'établissement d'un notre nouvel ordre de choses ?

 

 

BdM : Oui, ça faisait partie de ses activités d'entrer en liaison personnelle, si vous voulez, fermée, avec des gens qui faisaient partie de l'ordre social, afin de souvent les éclairer dans leur propre Intelligence parce qu'il connaissait des gens particulièrement intelligents, sensibles, des gens qui avaient un poste-clé dans différents organismes, et il parlait avec ces gens et il ouvrait petit à petit leur esprit à des idées qui pouvaient servir éventuellement à la stabilisation des forces sociales sur le plan matériel.

 

 

RG : Il a été pendant quelques années, l'ami, dirons-nous, intime, de Richard Gleen. Et lui aussi qui est décédé aujourd'hui, a laissé un grand nombre de cassettes de ses conférences avec Bernard de Montréal, des vidéos sur l'ésotérisme, de films, et tout le reste. Est-ce qu'on pourrait mettre cette forme d'activités dans le lot de ce qui a été organisé par nous ?

 

 

BdM : Oui, parce que ce Bernard de Montréal que vous mentionnez, ce n'était pas un homme à perdre son temps. Donc il savait avec qui il travaillait. Il avait même instruit Gleen du fait qu'il devait travailler avec lui. Et Gleen, à cause de sa très grande sensibilité, apparemment c'était un homme très sensible, reconnaissait avec grande facilité ce lien qui existait entre lui et ce bonhomme et ils travaillèrent ensemble pendant un certain nombre d'années. Et l'harmonie qui régnait entre ces deux bonhommes, c'était une harmonie qui était gentille, simple, calme. Il n'y avait pas d'opposition. Il y avait une liberté totale. Gleen travaillait de son côté et l'autre travaillait du sien. Mais c'était un travail important, c'était un travail qui faisait partie de toute cette énergie qui était lentement amenée vers l'Humanité pour la conscientisation de la race. 

 

 

RG Y a-t-il eu d'autres personnes mises en place, aidées, dirons-nous, psychiquement, pour parler le langage de 1983, comme nous, dans les plans politiques mondiaux, de façon à provoquer l'évolution de la conscience, soit des êtres comme un certain Khomeini qui ont choqué l'Humanité de façon à ce qu'à travers le choc, jaillisse la lumière ?

 

 

BdM : Bon, il y eut des êtres naturellement comme vous nommez, comme ce fameux Khomeini, d'autres êtres, Hitler, ainsi de suite ; des bonshommes qui eurent une emprise globale sur leur région ou qui ont une influence politique à l'échelle mondiale. Il y avait une raison pour ces hommes. C'est que ces hommes, à cause de leur lien vibratoire inconscient avec des plans de vie astraux, créaient dans le monde une très grande intensité de souffrance. 

 

Et à cause de leur ignorance occulte, autrement dit à cause de leur manque de compréhension de leur rôle à partir du plan invisible, ils étaient des outils très très bien utilisés par ces forces que nous appelions dans ce temps-là “les forces de l'astral”. Il y avait dans ce temps-là, un autre pays, la Russie, qui aussi faisait partie de ces forces. Donc il y avait dans le monde une polarité. Et c'était très important que les forces d'un camp ou de l'autre puissent dans ce temps-là se confronter parce que la confrontation amenait l'Homme à faire la synthèse du bien et du mal. 

 

Ce que nous avons eu de plus difficile dans l'extinction, si vous voulez, des anciennes habitudes de l'Humanité, c'était de faire comprendre à l'Homme qu'à un certain moment donné, il devait en arriver à être libéré de la conception du bien et du mal, libéré de la polarité du bien et du mal. Parce que le bien et le mal faisaient partie de la condition psychologique de l'Humanité vis-à-vis l'énergie qui venait du plan astral, ce qu'ils appelaient “le plan de l'astral”, “le plan de la mort”. Donc les hautes vibrations qui venaient du plan de la mort étaient le bien ; les basses vibrations qui venaient du plan de la mort étaient le mal. 

 

Et ce travail incessant servait à créé pour l'Homme de ce temps-là une certaine expérience, mais aussi une certaine souffrance, et cette souffrance devait être éventuellement neutralisée par ce que nous appelions dans ce temps-là “l'initiation solaire”, c'est-à-dire le dépassement, la synthèse psychologique de l'Homme, la réunion entre le principe de l'Esprit, de l'âme, du corps, toute la capacité interne de l'Homme de créer sur le plan matériel ou de créer sur d'autres plans. 

 

Mais c'est simplement plus tard que l'Homme put aller sur les autres plans, donc la tension qui existait dans le monde, qui était canalisée à travers ces bonshommes que vous appelez... Dont vous m'avez donné le nom, était essentielle. Mais l'Homme dans ce temps-là était particulièrement primitif. Il était très avancé dans la pensée, il était très avancé dans l'analyse, dans la faculté analytique, mais là où il manquait d'Intelligence, c'était dans sa capacité de voir instantanément sans aucune réflexion où il se situait vis-à-vis de ces forces. 

 

Donc certains Hommes allaient fanatiquement vers l'une et certains Hommes allaient fanatiquement vers l'autre. Et le fanatisme dans les deux camps créait le feu, et il suffisait qu'une étincelle fasse surface dans le monde à travers des incidents politiques ou quoi que ce soit, et vous voyiez dans ce temps-là la température, l'inquiétude, la psychologie, trembler, de l'Homme. Et ceci faisait partie des souffrances de l'Humanité. Et de cette terrible condition qui est devenue de plus en plus évidente vers la fin du vingtième siècle, de cette terrible condition, un certain nombre (de gens) ont réussi à faire la synthèse et n'ont jamais souffert des conséquences de cette polarité. Et ceux qui ont réussi à sortir de cette conflagration de cette dualité, ce sont des gens comme nous.

 

 

RG : Justement, ne pourions-nous pas nous faire un reproche de n'avoir pas aidé directement ces êtres primitifs, sachant que leur inconscience les amènerait inévitablement à se mettre la main dans le feu ?

 

 

BdM : Non, parce que les Hommes de ce temps-là - la population en majorité de la Terre - les Hommes dans ce temps-là étaient contrôlés par les forces de l'âme, donc ils vivaient au niveau de leur mémoire, ils vivaient de leur mémoire ancestrale. Donc la vibration, l'énergie de leur mémoire ancestrale était canalisée dans leur tempérament, dans leur caractère, à la naissance. Et ce n'est que par une certaine initiation, par un certain travail, une certaine souffrance faite chez eux, qu'ils purent dépasser ce conditionnement de la mémoire de l'âme (mini-coupure)...

 

(Reprise en cours) (…) Nous avons aujourd'hui des systèmes scientifiques qui nous permettent de voir dans le monde de la mort, mais dans ce temps-là, ça n'existait pas. Vous ne pouviez pas dans ce temps-là arriver à une console et voir sur un écran votre père qui était décédé ou votre mère ou les conditions de vie parce que la science n'était pas suffisamment avancée. On n'avait pas commencé encore à travailler d'une façon intelligente avec ce qu'ils appelaient dans ce temps-là “les énergies atomiques du laser”. Donc “le laser” était extrêmement primitif, c'était une énergie qui était totalement concentrée et qui demandait énormément d'énergie pour être maintenue en stabilité, tandis qu'aujourd'hui nous avons des lumières qui ne sont pas des “lasers” dans le sens que ces gens connaissaient, mais ce sont des lumières qui ont la capacité de pénétrer d'un monde à l'autre et d'éclairer ces mondes. 

 

Donc l'Homme, dans ce temps-là, vivait encapsulé dans une expérience psychologique sur le plan matériel, il n'avait aucune expérience du monde de la mort, excepté au niveau de l'intuition ou au niveau de la crainte, et il ne pouvait pas voir, concevoir que le monde de la mort était un monde aussi réel que leur monde à eux, mais dans des conditions totalement différentes parce que sur ce plan, le plasma est différent. 

 

Donc l'Homme ne pouvait pas comprendre certaines choses, et comme il ne pouvait pas comprendre certaines choses, nous étions limités. Et comme il était très primitif, à cause de ses émotions... Si l'Homme n'avait pas eu d'émotivité, il n'aurait pas été dans la situation où il était, comme il avait de l'émotivité, nous ne pouvions pas manifester dans le monde notre pouvoir parce que si nous avions manifesté dans le monde notre pouvoir, l'Homme aurait fait de nous des “dieux”. Et comme il avait de l'émotivité dans son Intelligence, il aurait fait ce qui a été fait durant les anciennes périodes. 

 

D'ailleurs, c'est pourquoi nous devions attendre à la fin terminale de ce cycle pour nous présenter à l'Homme parce que déjà, un certain entraînement avait été donné, et justement, ce fameux Bernard de Montréal disait souvent: “apprenez à ne pas croire, apprenez à savoir par vous-mêmes, mais ne pas croire”. Mais c'était très difficile aux Hommes de ce temps-là de comprendre l'importance de ne pas croire parce que croire faisait partie de leur psychologie. Donc pour eux, de se libérer de leur psychologie c'était impossible. 

 

Pour qu'ils puissent se libérer de leur psychologie, il fallut que nous puissions entrer en contact télépathique mental avec eux et leur parler. À ce moment-là, ils étaient libérés de leur psychologie, ils avaient accès à notre plan, ils pouvaient communiquer avec nous tout en demeurant dans le matériel. Et c'est pourquoi ce fut très difficile pour nous d'aller plus vite, plus rapidement, mais nous avions parfaitement compris le sens de l'évolution de la Terre. Nous comprenions l'Homme parfaitement parce que nous avions envoyé sur la Terre pendant des siècles des éclaireurs. Alors, il y eut de ces éclaireurs : le Nazaréen qu'ils appelaient dans leur Bible, dans leur grand livre, était un de ces éclaireurs.

 

Il y avait des Hommes... D'ailleurs, nous avons toujours envoyé sur la Terre des Hommes pour préparer, ainsi de suite, jusqu'au jour où l'Homme put, à la fin de ce cycle, entrer dans notre Lumière, c'est-à-dire dans notre monde et communiquer avec nous, travailler avec nous, et comprendre les mystères de la vie, les mystères de la religion qui devaient être compris. Parce que sans la compréhension des mystères de la religion, l'Homme était damné à demeurer lié à l'âme.

 

 

RG : Comme ça, l'Homme de la fin du vingtième siècle, vivait dans une espèce de solitude psychologique ?

 

 

BdM : Il ne vivait pas dans une solitude psychologique, il vivait dans une angoisse psychologique, il vivait dans une tension psychologique. Il ne pouvait pas se comprendre, il ne pouvait pas se connaître lui-même, il avait des doutes et il croyait qu'il pensait, et en plus du fait... Ça, c'est extraordinaire... Pour nous aujourd'hui, c'est normal de voir que nous ne pensons pas, c'est une illusion psychologique donnée à l'Humanité pour son évolution, mais dans ce temps-là, l'Homme croyait qu'il pensait. 

 

Alors dire à l'Homme que ce n'était pas lui qui pense, c'était réellement éventrer d'une façon radicale sa conscience psychologique, c'était mettre son ego sur la balance. Et certains Hommes qui ont réalisé qu'effectivement ils ne pensaient pas, dans le début de cette réalisation, ont réellement été amenés à des états de déséquilibre mental. Il nous fallut les aider, ainsi de suite, donc ce n'était pas facile. 

 

 

RG : Mais derrière tout ça, il y a eu des interventions maladroites bien souvent, d'êtres d'outre-espace qui étaient eux aussi sur un plan physique, plus évolués scientifiquement, qui nous ont peut-être échappé sous notre contrôle à l'occasion et qui sont allés sur cette civilisation de fin du vingtième siècle, qu'eux appelaient des “soucoupes volantes”, des OVNIs, des “extraterrestres”. Comment pouvions-nous rétablir l'équilibre à des êtres qui avaient vu ou étaient entrés en communication avec des “extraterrestres” de bas étage, puisque confinés encore dans la matière ? Comment intervenions-nous, ou bien laissions-nous toujours les pauvres victimes avec leurs problèmes ?

 

 

BdM : Le phénomène que vous appelez “extraterrestre”, c'était un phénomène qui était mondial. Ce phénomène se manifestait un peu partout, surtout dans les endroits tranquilles, les endroits calmes. À certains moments, il y avait des investigations dans des endroits un peu plus stratégiques. Mais ce que l'Homme de ce temps-là ne savait pas, c'est que ce qu'il appelait les “extraterrestres” étaient des êtres envoyés par nous pour tester leur résistance psychologique. Et les Hommes pensaient en ce temps-là que les “extraterrestres” étaient nous !

 

Et comme ils ne comprenaient pas, comme ils ne connaissaient pas la Hiérarchie, comme ils ne comprenaient pas les lois des Gouvernements invisibles, aussitôt qu'ils voyaient des “extraterrestres”, pour eux ils avaient finalisé leur expérience. Et comme c'était des êtres très aimants, c'était des êtres qui voulaient se sortir de la condition humaine, ils voulaient réellement entrer dans ces vaisseaux, ils voulaient entrer en contact. 

 

Et de temps à autre, ce que nous faisions, c'est que nous permettions que les “extraterrestres” attirent ces êtres non pas physiquement, mais qu'ils attirent leur corps astral dans le vaisseau. Et comme le corps astral avait une mémoire parfaite de la conscience contemporaine ou historique de l'individu, lorsque le corps astral  entrait dans le vaisseau, lorsqu'ils allaient en astral dans le vaisseau, ils voyaient le vaisseau, ainsi de suite, mais eux croyaient qu'ils étaient entrés dans le vaisseau de façon physique. Et nous devions maintenir ce voile parce que nos lois ne permettent pas qu'un être humain entre dans un vaisseau et revienne à la Terre. 

 

Donc nous avons envoyé, nous avons permis que ces êtres aillent sur la Terre, qu'ils visitent, qu'ils préparent, qu'ils créent un peu un choc de recognition. Mais nous étions très très avertis par nos supérieurs de ne pas mettre l'Humanité en danger, c'est-à-dire de ne pas forcer les gouvernements qui étaient suffisamment avancés en Russie, aux États-Unis, en France, de ne pas mettre le gouvernement de la Terre ou les gouvernements de la Terre en danger. Parce que si l'un de ces vaisseaux avait été détruit par leur “rocketterie”, automatiquement la presse se serait empressée de rendre compte de ces choses, et automatiquement, il y aurait eu une dislocation psychologique. 

 

C'est pourquoi les interventions entre ce qu'ils appelaient les “extraterrestres” et le monde étaient toujours faites d'une façon suffisamment voilée ou très objective, mais là où il n'y avait pas trop de population.

 

 

RG : Depuis combien de temps la quarantaine de la planète Terre est levée, et il y a communication avec les autres mondes ?

 

 

BdM : Elle n'est pas encore levée, elle sera levée en l'an 2070. Elle n'est pas levée. Il y a aujourd'hui beaucoup de paix sur la Terre. Il n'y a plus de conflit entre les gouvernements, mais le problème qui reste à résoudre, d'ailleurs c'est un problème qui demeurera pendant des siècles, c'est le problème des différentes races. Parce que les différentes races sont régies par des êtres qui, comme nous, ont beaucoup d'amour pour ces races. Mais ces races ont un taux de vibration différente. 

 

Le Chinois par exemple, le Noir, ou l'Indien ou le Blanc, ainsi de suite, ils ont des taux de vibration différente. Donc ils ne sont pas capables d'absorber l'Intelligence Pure au même rythme. Donc la race aujourd'hui qui est la plus apte à absorber ce genre d'énergie, c'est la race blanche, et ensuite viendront les autres lentement. Mais sur le plan individuel, il y a parmi la race noire, des individus qui peuvent absorber ce taux d'énergie, les Chinois, ainsi de suite, la race jaune...

 

Mais sur le plan racial c'est au cours des siècles qu'il y aura une stabilisation, parce que le phénomène de la race... D'ailleurs dans ce temps-là, le phénomène de la race n'était pas compris. Il nous aurait été impossible dans ce temps-là de réellement expliquer le phénomène de la race à l'Humanité. Nous aurions été considérés comme racistes. Et s'il y avait des êtres qui n'étaient pas racistes, c'était bien nous, puisque nous étions les premiers à pouvoir commencer à rassembler les Hommes de la Terre.

 

 

RG : Quel aurait été le conseil qu'on aurait pu leur donner de façon très directe ? Quand les on voit de loin après tant d'années, on s'aperçoit qu'ils étaient vraiment dans une espèce de marasme devant l'euthanasie, l'avortement, le clonage, les expériences vis-à-vis du cancer, la façon primitive de soigner le corps humain. Quel aurait été le conseil qu'on aurait pu aller leur donner ? Évidemment, ça aurait bouleversé leur évolution graduelle et naturelle, mais d'après vous, aujourd'hui ?

 

 

BdM : Nous ne pouvions pas leur parler trop au-delà de leur Intelligence. Nous pouvions les aider. Le problème fondamental, ce n'était pas leur science ; leur problème fondamental c'était leur psychologie. Ce qu'ils avaient besoin le plus, c'était la psychologie. S'ils avaient eu, les Hommes de ce temps-là, une psychologie stabilisée, et aussi une psychologie qui aurait automatiquement mené à une relation équilibrée entre les différentes nations, nous aurions commencé notre travail beaucoup plus qu'auparavant. Et nous ne pouvions pas.

 

Donc nous ne pouvions pas altérer leur psychologie parce qu'ils devaient vivre leur expérience. C'est par la compréhension. La seule fonction que nous avions c'était de parler, donc nous parlions. Nous parlions à voie couverte ou nous parlions à voie ouverte selon le cas. Nous avions des conversations privées qui étaient plus ouvertes, mais il y avait toujours un voile. Et ceux qui ont bénéficié de conversations ouvertes sans voile étaient très très rares. 

 

Et l'Humanité, à ce moment-là, devait être parlée à son niveau, mais toujours amenée petit à petit à réaliser de plus en plus à travers l'expérience parce que ce que nous disions, nous ne pouvions pas l'affirmer parce que nous étions en train de détruire la philosophie, nous étions en train de changer la psychologie, nous étions en train d'altérer la théologie. Donc nous étions en train... Et aussi nous étions en train de changer profondément l'ésotérisme qui était pour eux, dans ce temps-là, une science très importante parce que c'était une science marginale. 

 

Et comme c'était une science marginale, les êtres les plus intuitifs, les plus spirituels, adhéraient à cette science, donc nous devions automatiquement créer un changement vibratoire dans toutes les sciences de l'Humanité. Mais nous devions le faire avec Intelligence, c'est-à-dire avec patience, parce que le temps était sur notre côté, mais pour eux, le temps était difficile, et les Hommes se sentaient très très impatients de connaître. 

 

 

RG : L'évènement majeur dont tout le monde se souvient aujourd'hui en en frémissant, n'a-t-il pas mis l'Humanité dans un état de soumission totale, bien entendu a permis à l'Humanité enfin de réaliser sa vocation, en relation avec nous, mais cette série d'évènements malheureux dont on se souvient encore avec angoisse ou avec frisson, n'aurait-elle pas pu être amoindrie si nous étions intervenus directement ? 

 

 

BdM : Elle aurait été amoindrie sur le plan technique, autrement dit nous aurions pu empêcher certaines choses, mais l'Homme lui, aurait fait de nous des “dieux”. Notre problème en tant qu'Intelligences organisationnelles, c'était que nous devions faire quelque chose d'extraordinaire pour l'Homme, l'amener à une nouvelle évolution, créer ce que nous devions créer, mais sans que l'Homme nous prenne pour des “dieux”. Parce que dans le passé, ce qui a créé l'involution... Rappelez vous ces grands êtres comme Moïse... Tous ceux qui ont vu une partie de notre projet, mais qui n'ont pas compris notre projet, donc ces êtres ont fait de nous des “dieux”, Moïse quand il a vu, c'est Dieu qu'il a vu. Eli, c'est Dieu... Alors tous voyaient Dieu. 

 

Et le concept de Dieu était essentiel, il faisait partie de l'arbitrage que nous  imposions à l'Humanité pour que l'Homme puisse évoluer avec émotion et intelligence inférieure, suffisamment rapidement pour qu'il ne se détruise pas, parce que n'oubliez pas que l'Homme dans ce temps-là avait une nature animale très profonde. D'ailleurs il avait été donné à l'Homme un corps animal, l'Homme avait un corps animal. Et la jonction entre notre Esprit et son corps animal devait être faite à travers son cerveau, c'est-à-dire à travers son propre ego. Mais son ego devait être transmuté, changé, altéré, c'est-à-dire que l'Homme devait prendre conscience d'une partie supérieure en lui-même que nous appelions dans ce temps-là “son double”. Son double étant le siège de notre Intelligence. 

 

Donc l'Homme, si nous avions travaillé avec lui sur le plan technique pour empêcher certaines choses, automatiquement aurait fait de nous des “dieux”, et ceci aurait continué l'involution. Et nous ne pouvions pas faire ça, nous avions des ordres sévères, terribles. Et si nous avions fait interférence à ce stage, à ce point, avec l'évolution de l'Homme, nous-mêmes nous aurions été amenés à vivre dans des univers qui sont inhabités aujourd'hui et notre travail aurait été très ardu, et nous aurions non pas travaillé à la sueur de notre front, mais nous aurions travaillé à la sueur de notre Intelligence.

 

 

RG : Vous venez de dire le mot cerveau. Le cerveau animal de cet Homme de la fin du vingtième siècle était la centrale de connexion de tous ses neurones. Avec la science que nous avons, et que nous avions déjà à l'époque, n'aurions-nous pas pas pu très simplement altérer son processus énergétique de façon à lui permettre de procréer des enfants qui auraient pu atteindre notre stade de développement cérébral de façon quasi naturelle à leurs yeux ? 

 

 

BdM : Non, parce que la science du cerveau était très tès limitée. Ce que les Hommes avaient... Où la science du cerveau était avancée, c'était dans la science de la dissection. La science de la reconnaissance des différents endroits géographiques visant les espaces ou les régions fonctionnelles du cerveau. On avait identifié ces régions fonctionnelles, on avait développé ce qu'ils appelaient dans ce temps-là, des “cerveaux électroniques” pour faire un “scanning” (balayage) de cette région. 

 

Mais l'Homme n'avait aucune idée de ce qu'était le cerveau. Et la preuve, c'est qu'en 1975, lorsque beaucoup de travaux furent faits dans ce domaine, il fallut encore attendre jusqu'à l'an 2027 pour que... Quand je dis 2027, je parle de certaines inventions qui seront données à l'Humanité bientôt, des inventions telles que celle-ci : il sera possible à l'Homme, par exemple, de reconnaître sur le plan de la science que le cerveau est en fait un plan d'énergie unidimensionnelle. 

 

Il y a des scientistes aujourd'hui qui travaillent et qui ont, non pas découvert, mais amené vers la Terre des instruments qui permettent de donner à un cerveau matériel une unidimensionnalité en éliminant complètement la fonction lombaire des yeux. Donc ceci permet à l'Homme d'absorber instantanément toute l'énergie de la mémoire qu'il possède dans son cerveau éthérique. Alors, dans ce temps-là, le cerveau c'était un organisme, c'était une fonction, c'était une capacité dont l'Homme, le scientifique, ne connaissait pas tous les secrets. 

 

C'est avec la venue de la science, de notre science, que le cerveau fut parfaitement expliqué à l'Homme, et que le cerveau fut amené à un niveau d'investigation qui déroutait totalement sa science. Dans le domaine de l'astronomie, les Hommes dans ce temps-là avaient des radiotélescopes, ils avaient différentes façons de vérifier la relation entre la lumière et la matière ou les espaces compacts, mais l'Homme n'était pas capable de se servir d'un télescope et de voir directement à travers l'univers.

 

Il était impossible à un Homme de voir à travers l'univers parce que la lumière n'était pas... Il y eut dans ce temps-là un Homme qu'on appelait Einstein, il avait développé une théorie sur l'énergie, la matière, la masse, qui était très intéressante parce que c'est une théorie qui faisait partie de la mémoire de l'Humanité, c'est-à-dire qu'on avait imprimé dans son cerveau l'importance de l'énergie et de sa relation avec la masse et l'opposition de déplacement de la lumière, mais ce que ce bonhomme ne savait pas, c'est que la lumière n'est pas une énergie. 

 

Les Hommes ont toujours cru que la lumière était une énergie parce que les Hommes ne pouvaient pas dissocier l'énergie de la lumière, puisque l'énergie lorsqu'elle est en mouvement, elle pulse et elle créée une luminosité. Donc Einstein ne travaillait pas avec la lumière, il travaillait avec la luminosité. Et la relation entre l'énergie, la masse et la luminosité, permettait à sa science cartésienne, mathématique, d'interpréter et d'explorer les différents domaines psychologiques de la mathématique pour donner à l'Homme une substance psychologique suffisamment avancée qui put lui permettre de développer et de comprendre les lois de la matière. Parce que là, la matière est lumineuse. 

 

Donc puisque la matière était lumineuse, les lois de la luminosité interprétées dans cette équation et dans ses aspects différentiels, pouvaient permettre à l'Homme de comprendre les lois de la matière. Mais aussitôt que l'Homme commençait à travailler réellement avec la lumière, il ne travaillait plus avec la luminosité, donc à ce moment là, la relation d'énergie masse et vitesse ou déplacement de la lumière n'existait plus parce que son équation était réelle, fondamentale pour la physique moderne tant que l'Homme travaillait avec la luminosité.

 

Mais aussitôt que l'Homme commença à travailler avec la lumière, qui fait partie de la science que nous lui avons apportée, à ce moment là l'équation ne servait plus. Il devait à ce moment-là y avoir une autre science, et c'était la même chose au niveau du cerveau. 

 

 

RG : À quelle époque l'Homme est-il arrivé à entrer en relation avec l'atome, l'intérieur de l'atome, la manipulation atomique ?

 

 

BdM : La manipulation de l'atome, la conscientisation de l'atome, la pénétration, si vous voulez, de l'Homme avec son double dans la conscience de l'atome, se fit d'une façon suffisamment généralisée dans un certain petit groupe à l'échelle mondiale, vers l'an 2003. À ce moment-là, les Hommes commençaient à travailler avec l'atome parce qu'ils devaient commencer à manipuler son taux vibratoire afin de pouvoir établir des liaisons entre le plan atomique, le plan électronique qu'ils appelaient électronique qui, en fait, n'est qu'un plan “entilaire” à l'énergie réelle, ainsi de suite.

 

Donc le travail commençait à se faire sur le plan éthérique, et petit à petit les Hommes ont commencé à apprendre à manipuler cette énergie afin de pouvoir commencer à, non pas matérialiser les objets, mais à pouvoir créer dans l'Éther les formes de ces objets qui devaient dans le temps être utilisés et manifestés, ou matérialisés par d'autres Hommes qui avaient un taux de puissance plus élevé que le leur. Parce que les Hommes ne pouvaient pas à volonté matérialiser les objets dans le monde parce que s'ils avaient manifesté ce pouvoir, ils auraient créé une surabondance de choses.

 

Et l'Homme ne devait pas avoir une surabondance de cette nouvelle technologie, il aurait créé le désarroi et le désaccord complet sur le plan politique, social, économique. Donc les grands... Bon, prenez par exemple le téléporteur, le téléporteur qui est donné à l'Homme en l'an 2010, et ce téléporteur, lorsqu'il a été donné à l'Homme, il a été matérialisé à partir de l'Éther, et une seule copie lui fut donnée, et cette copie fut donnée aux Américains.  

 

 

RG : À quelle époque l'Homme a-t-il commencé à jouer avec le son de l'atome ?

 

 

BdM : L'Homme a commencé à jouer avec le son de l'atome à partir de cette période. Lorsque l'Homme jouait avec les sons ou s'amusait avec les sons auparavant, c'était en fonction de ses activités astrales. Mais c'est lorsque l'Homme entra dans l'éthérique qu'il commença à investiguer la nature de l'atome, à en reconnaître sa liaison avec la lumière, et à en voir et en manipuler la luminosité.

 

 

RG : À quelle époque l'Homme a-t-il percé le secret de ce qu'il a appelé pendant très longtemps, la vie, mais qui n'est finalement que la substance énergétique vitale de son corps physique ? 

 

 

BdM : La vie était connue d'un certain nombre d'Hommes, elle était expérimentée à différents niveaux par un certain nombre d'Hommes, très peu d'Hommes, mais les Hommes en général ont commencé à connaître la vie lentement. Ça faisait partie d'un petit acheminement lentement, ce qui s'appelait dans ce temps-là, la “race-racine”, c'est-à-dire cette nouvelle race supramentale qui avait été donnée en conjonction avec ce fameux bonhomme que je vous disais, qui est venue à la fin du cycle, à qui avait été donné le pouvoir de rentrer avec facilité dans l'Éther et de faire le raccord entre l'Éther puis le plan matériel. 

 

Donc ces Hommes, petit à petit, comprirent la vie. Ils commencèrent à expérimenter avec la vie. Mais il y eut très peu de ces Hommes, un petit nombre si nous considérons le nombre très vaste de la population de la Terre.

 

 

RG : Grâce à tout ça, l'Homme qui ne vivait que soixante, soixante-dix ans, aujourd'hui peut vivre beaucoup plus longtemps ?

 

 

BdM : Oui, l'Homme aujourd'hui peut vivre jusqu'à cent-cinquante années, cent-soixante années, oui.

 

 

RG : Et derrière les infiltrations de la strie antédiluvienne, comment l'Homme a-t-il percé ces mystères de la Grande Pyramide, du Sphinx, des Secrets du Tibet ?

 

 

BdM : C'est très intéressant ça. Pendant cette période de l'Humanité, il y avait un très très grand intérêt pour le Tibet, pour les pyramides, pour ce que nous pouvons appeler le matériel artefact historique de l'Humanité. Il y avait un grand intérêt parce que c'est normal, les Hommes regardaient dans leur passé et voyaient que dans le passé, de grandes choses avaient été faites, et ils se voyaient aujourd'hui dans une période qui était plus ou moins plaisante, ainsi de suite.

 

Donc les Hommes regardaient dans le passé. Et lorsque les Hommes ont commencé à entrer dans la vie, ce que nous connaissons, nous, de la vie, lorsqu'ils sont entrés dans la vie, ils se sont aperçus que ce qui avait été fait dans le passé, c'était un jeu d'enfant, c'était absolument inutile pour eux, donc ils se sont détournés complètement de ceci et ils ont commencé à travailler au niveau d'une nouvelle science. Mais c'était très difficile pour les Hommes de se dissocier psychologiquement du passé parce que le passé fascinait l'Humanité. Et nous savons aujourd'hui que la fascination est un manque de maturité, la fascination est un manque d'Intelligence. 

 

Un Homme qui est dans son Intelligence ne peut pas être fasciné parce qu'il n'y a pas de miroir. C'est le miroitement de l'âme, dans l'âme, qui crée la fascination. Mais les Hommes de ce temps-là prenaient la fascination comme quelque chose de positif, c'était normal, c'était bon parce que ça leur permettait de vivre, ça leur donnait un certain plaisir de vivre, ça leur permettait de développer leur mental, de développer leur personnalité. Les Hommes dans ce temps-là étudiaient beaucoup. 

 

 

RG : Mais derrière tous ces artefacts il y a eu des sciences qui existaient à l'époque de l'Atlantide, et plusieurs d'entre eux avaient déjà mis le doigt sur des réalités à travers des sciences comme l'acupuncture, le Yi King, ou les influences de la forme pyramidale ?

 

 

BdM :  Oui, mais ces sciences avaient été amenées, données à l'Homme petit à petit par diffusion au cours des siècles. Il y avait eu des Hommes qui avaient fait certaines expériences. La sortie du corps astral, par exemple, faisait partie des archives ésotériques de l'Humanité, ce n'était absolument rien de neuf. Donc l'Homme pouvait facilement investiguer la nature magnétique du corps matériel et découvrir qu'il y avait des points de lumière sur ce corps-là, qu'ils pouvaient relier les uns aux autres par des petits objets pointus qu'ils appelaient “des aiguilles”.

 

Mais le phénomène humain, le phénomène de la mémoire était très puissant. D'ailleurs c'est justement le phénomène de la mémoire de l'Humanité qui a permis à l'Homme de se nourrir du passé. Et si l'Homme n'avait pas eu ça, s'il n'avait pas eu de mémoire, il n'aurait pas pu construire parce qu'il a développé constamment les formes de sa civilisation pendant des siècles. 

 

D'ailleurs au vingtième siècle, la civilisation était très belle, on avait des choses qui étaient très très bien construites, ainsi de suite, mais ce n'était rien avec ce que nous avons aujourd'hui parce que l'Homme de ce temps-là ne pouvait pas comprendre le pouvoir de la Lumière. Il ne savait pas ce qu'était la Lumière. La Lumière pour lui était un phénomène de luminosité, tandis que la Lumière pour nous c'est la vie en mouvement, mais sur un autre plan en fonction d'un temps inférieur, ainsi de suite.

 

 

RG : Qui êtes-vous, dont on entendait la voix depuis une heure, situé en 2023 ? Vous vous êtes situé au rôle de qui ? 

 

 

BdM : En 2023, je ne suis plus le plan matériel, je suis dans ce que nous appelons l'Éther. Je fais partie de la Terre, je travaille avec l'Homme. Je suis en charge de certaines activités importantes, je suis un scientifique et j'aime mon travail, et je demeurerai ici tant que je n'aurai pas fini mon travail.

 

 

RG : Celui dont on entend la voix depuis une heure qui est sur le plan éthérique, reconnaît-il qu'il y a encore des humains semblables, très semblables à ceux dont on a parlé pendant une heure, qui existaient en l'an 1983, 1985 ?

 

 

BdM : Oui, effectivement. D'ailleurs il y a très peu encore de la sixième race. Nous avons... Si vous regardez en dehors de nos cités, de nos villes, nous voyons des êtres qui sont seuls, des pays qui sont en pleine reconstruction. Mais au moins aujourd'hui, nous pouvons, avec le temps, tout ramener à l'ordre. Mais l'Humanité sera seule, l'Humanité sera sans guerre, mais l'Humanité ne sera pas complètement sans souffrance, parce que les Hommes doivent en arriver un jour à, non pas seulement être conscients de nous, mais les Hommes un jour doivent être conscients comme nous.

 

 

 

 

L’ÉDUCATION DE LA SIXIÈME RACE (51B)

 

 

 

BdM : (Enregistrement en cours) (…) Bon, là vous commencez à vous fâcher un peu, c'est bon parce que quand on commence à se fâcher un peu, même à l'intérieur d'un espace dramatique pour créer une énergie, on commence à avoir droit à des réponses. Se fâcher un peu plus ! (rires du public). 

 

 

RG : C'est drôle que ça me rappelle le très ancien film : Le Retour du Jedi où on voulait bien que la haine entre dans le cœur de celui qui était opprimé. Malheureusement ça ne marche pas et ça ne marchera plus avec l'Humanité consciente, ce n'est pas avec des bombes qu'on va faire la paix !

 

 

BdM : Ce n'est pas avec l'Humanité consciente que nous traitons, nous traitons avec l'Humanité inconsciente qui...

 

 

RG : Qui est plus facile à manipuler ?

 

 

BdM : Qui est plus facile à manipuler, mais qui, à cause de sa conscience nouvelle peut commencer à comprendre le principe de la haine. Nous ferons le dialogue dans cette voie, oui... Vous savez, les Hommes, il leur a été donné de vivre et de comprendre ce que nous appelons le principe de l'Amour, mais les Hommes ne vivent pas le principe de l'Amour, ils vivent une conversion de l'énergie de l'Amour au niveau astral.

 

Donc en vivant la conversion du principe cosmique de l'Amour au niveau astral, ils vivent automatiquement la polarité de ce principe qui est l'Amour, et la haine. Si un Homme veut revenir à la conscience du principe de l'Amour qui est un principe cosmique, qui unifie au principe de l'Intelligence, qui est unifié au principe de la Volonté, ce que vous appelez la Trinité, ou le trois dans UN, cet Homme est obligé par l'évolution de ses principes inférieurs, il est obligé de bien comprendre les deux principes inférieurs de sa conscience cosmique qui sont planétaires, c'est-à-dire l'amour humain et la haine humaine. 

 

Donc pour que l'Homme puisse arracher aux forces, qu'il puisse arracher aux forces l'énergie nécessaire pour reconstruire sa vie personnelle et ensuite reconstruire sa civilisation, il faut qu'il puisse comprendre que l'amour humain est l'envers de la haine, et que la haine est l'envers de l'amour, et que les deux font partie d'une énergie qui est totalement libre. 

 

Donc un Homme qui aime, planétairement parlant, doit aimer d'une façon totalement neutre, et ça c'est facile, suffisamment facile, mais l'Homme n'est pas capable de haïr d'une façon neutre. Il aime d'une façon neutre, il n'a pas de mauvais sentiment parce que l'amour c'est positif, mais s'il hait d'une façon neutre, automatiquement il développe des sentiments parce qu'il sait très bien que haïr ne fait pas partie de la nature normale de son comportement social, tandis qu'aimer fait partie de la nature normale élevée de sa conscience sociale. 

 

Donc pour que l'Homme réussisse à nous arracher des forces parce que nous ne pouvons pas donner à l'Homme librement, l'Homme doit atteindre un niveau d'évolution, c'est-à-dire un niveau de sensiblité, c'est-à-dire un niveau de vibration qui puisse nous permettre à nous de transférer en lui sur ses plans inférieurs l'énergie dont il a besoin pour travailler dans la vie, pour créer, mais si l'Homme n'apprend pas à haïr ce qui est cosmique, il sera englobé par le cosmique parce que le cosmique est trop puissant pour lui, il est trop puissant pour qu'il l'aime. 

 

Un Homme qui aime le cosmique spiritualise sa nature, un Homme qui hait le cosmique rend sa nature à lui-même, c'est-à-dire qu'il reprend ce qui lui a été enlevé pendant l'involution. Donc les Hommes qui réaliseront dans la vie, sur le plan de la transmutation des corps, réaliseront qu'ils sont obligés à un certain moment de nous confronter, c'est-à-dire de confronter en eux une énergie et confronter l'énergie avec le pouvoir de la haine, après avoir confronté l'énergie avec le pouvoir de l'amour. 

 

Donc les Hommes peuvent au début nous aimer parce qu'il y a beaucoup de voiles entre eux et nous, il y a beaucoup d'illusions maintenues, ainsi de suite, pour des raisons qui font partie de leur sécurité psychologique. Lorsqu'ils sont suffisamment avancés dans la découverte de la subtilité des formes qui créent leur amour, lorsqu'ils commencent à vivre de notre énergie, donc à souffrir de notre présence, donc à vivre ce que nous appelons pour eux “l'initiation solaire”, à ce moment-là ils passent de l'amour à la haine. Et en pouvant nous haïr, ils détruisent finalement les dernières fibres de l'illusion astrale. 

 

Ils détruisent finalement les dernières fibres de l'amour passionnément enregistrées dans la mémoire d'âme, et ils sont capables à partir de ce moment-là de commencer à bénéficier de notre Intelligence, c'est-à-dire du concours étroit, volontaire, de notre présence dans leur domaine, c'est-à-dire dans leur planète ou sur leur planète, à travers leur corps matériel. 

 

Donc nous pouvons affirmer d'une façon suffisamment forte que l'Homme de demain ne bâtira plus sa vie sur l'amour du cosmique, mais bâtira sa vie en fonction de la haine du cosmique, et lorsqu'il aura pu haïr le cosmique, il commencera à prendre ses droits, il commencera à découvrir son identité, donc il commencera à fusionner avec nous, parce que la fusion avec nous est tellement puissante, elle est tellement présente, elle est tellement réelle que l'Homme dans son enveloppe chétive ne peut pas l'absorber sans pénitence, c'est-à-dire sans souffrance. 

 

Et lorsque l'Homme souffre, il se rebelle, et lorsque l'Homme se rebelle, il devient de plus en plus puissant, et lorsqu'il se rebelle d'une façon très puissante, il devient lui-même, c'est-à-dire que nous sommes obligés, à cause de notre rapport avec lui sur le plan de l'énergie, de lui accorder ce dont il a besoin pour bien vivre sur le plan matériel, pour bien vivre sur les autres plans, autrement dit pour être totalement raccordé avec nous.

 

Donc pour que l'Homme évolue, pour que l'Homme passe de l'involution à l'évolution, pour que l'Homme brise le bambou de son esclavage, pour que l'Homme reprenne comme vous dites, ses droits, il faut qu'il ait la Force, la Puissance, l'Intelligence, la Volonté, de renier ce qui, auparavant, était pour lui un amour spirituel pour nous, pour créer une haine véritable pour nous, afin que nous puissions descendre en lui et lui donner TOUT. C'est le concordat qui existera entre les Hommes de la Terre et les êtres qui font partie des mondes parallèles et qui s'occupent de l'évolution de la Terre.

 

 

RG : Si je vais avec une perception ésotérique, la haine n'est pas opposée à l'amour, mais complémentaire ?

 

 

BdM : La haine, elle est complémentaire à l'amour, elle est opposée dans sa manifestation psychologique. Sur le plan de l'énergie, il n'y a pas de différence entre la haine et l'amour puisque les deux font partie d'une même énergie. C'est dans le comportement psychologique de l'Homme qu'il y a une variation entre la haine et l'amour, qu'il y a une couleur différente, qu'il y a une relation différente entre le principe ajusté à la personne humaine dans un cas, et le principe ajusté à la personne humaine dans un autre cas. Et vous avez, par exemple, des gens qui vont se fâcher et qui vont réaliser ensuite qu'ils ne sont plus fâchés, il n'y a plus de résidus dans “leur fâché”. Bon, alors c'est la même chose. 

 

Ce n'est pas entre les Hommes que la haine doit être utilisée, l'amour a été donné à l'Homme pour qu'il s'en serve sur la planète pour coaguler sa société, pour établir des relations harmonieuses avec les autres Hommes. La haine ne doit jamais être utilisée entre les Hommes, elle doit être utilisée entre l'Homme et nous.

 

La fonction de la haine est une fonction créative dans le cosmos lorsque l'Homme comprend les lois de l'énergie, elle est une fonction destructive dans le comsos lorsque l'Homme ne connaît pas les lois de l'énergie et qu'il ne s'applique à vivre de cette polarité sentimentale ou astrale qu'au niveau de son Humanité. Donc l'Homme doit aimer l'Homme, il doit haïr les forces qui ont depuis longtemps dominé son évolution, pour reprendre pour lui-même notre énergie afin que nous puissions fusionner avec lui.

 

Sinon l'Homme ferait de nous un “Dieu”, des “dieux”, l'Homme reviendrait à l'impuissance psychologique de son involution, l'Homme perdrait toute volonté, l'Homme n'aurait accès à aucune Intelligence et l'Homme ne comprendrait jamais le principe cosmique de l'Amour qui est la capacité dans un seul être de parfaitement utiliser l'amour astral et la haine astrale. Je vous donne un exemple.

 

Le cas du Nazaréen, le Nazaréen qui va dans le Temple et qui se sert d'un fouet pour faire sortir les vendeurs, ainsi de suite, ce n'est pas une haine subjective qu'il véhicule, c'est une énergie cosmique qui lui permet de rendre compte à l'Humanité que le pouvoir cosmique est au-dessus de l'organisation sociale et psychologique des activités humaines. Donc la haine de l'Homme manifestée d'une façon observationnelle sur le plan psychologique est rendue à un domaine qui est totalement occulte, c'est-à-dire la conscience du Nazaréen à ce moment-là, comme l'Amour qu'il avait pour ses amis était rendu à une conscience occulte chez l'Homme de ce moment-là.

 

Donc pour que l'Homme travaille avec nous, pour que l'Homme soit infusé, pour que l'Homme soit relié, pour que l'Homme soit fusionné avec nous, il devra un jour apprendre à utiliser l'amour pour les Hommes, à utiliser la haine contre nous, afin que nous puissions faire descendre en lui l'Intelligence, l'Amour et la Volonté cosmique, qui deviendra son patrimoine, qui fera partie du concordat entre l'invisible et le temporel, et qui permettra à l'Homme une fois pour toutes de commencer à reprendre ses droits.

 

Sinon l'Homme, s'il n'est pas capable d'utiliser, de comprendre la rébellion de son Esprit contre nous, sera toujours hypnotisé par nous et sera toujours assujetti à nous parce que notre puissance est trop grande. Donc sa sécurité psychologique, le pouvoir de sa Volonté, le pouvoir de son Intelligence vient avant le pouvoir de l'Amour. L'Homme connaîtra l'Amour après avoir développé l'Intelligence et la Volonté. 

 

Il devra prendre l'Intelligence lorsqu'il aura pu apprendre et comprendre la nécessité de détruire les formes astrales de son amour subjectif, puéril, primitif, pour nous, pour l'amener à raccorder nos énergies avec les siennes afin qu'ensuite l'Intelligence rentre en lui, que la Volonté se réorganise pour son bien-être personnel, et ensuite pour le bien-être de la société. Et ensuite plus tard, lorsqu'il sera sur un autre plan, il se servira du principe de l'Amour pour raccorder tous les aspects de la conscience atomique et permettre que cette conscience, formulée dans une forme qui fait partie de nos mondes, puisse descendre dans la matière pour qu'il crée une nouvelle civilisation.

 

 

RG : Un jour, en me situant au rôle du personnage de 1983 qui parle à vous de l'au-delà, de l'au-delà du monde, demande au monde (aux gens) de l'Humanité : Pourquoi être obligé de vivre dans notre corps physique... Tensions ? Pourquoi s'être incarné à cette époque ? Pourquoi consciemment n'avons-nous pas choisi l'après-demain, être fils de gens de la sixième race ?

 

 

BdM : Parce que d'abord, les évolutions ne sont pas terminées et aujourd'hui, en 1983, dans cette période finalitaire ou finale, si vous voulez, de l'involution, c'est la meilleure période d'incarnation pour l'Homme parce que c'est la période de plus grande expérience. C'est dans cette période intense, dans cette période chaude et froide où le sentiment romantique a disparu, où la normalisation des relations humaines, où les grandes formes idéales de l'Humanité, où le beau qu'a construit la civilisation commence à dépérir, donc l'Homme est laissé de plus en plus seul, et l'Homme est laissé de plus en plus avec son désespoir. 

 

Et l'Homme est amené à travers notre énergie, à travers notre travail, à pouvoir petit à petit reconquérir son droit, c'est-à-dire reconquérir son pouvoir sur la vie, c'est-à-dire reconquérir son pouvoir sur l'évènement, c'est-à-dire reconquérir son droit à ne pas vivre la condition humaine. Donc pour que l'Homme le vive ceci, il faut qu'il naisse dans une période qui est propice, et les meilleurs périodes pour l'évolution, les meilleures périodes pour l'expérience de l'Homme, les meilleures périodes pour l'agrandissement de sa relation entre lui et nous à travers les expériences de l'âme, ce sont les périodes difficiles, douloureuses, les plaies, les guerres, les famines.

 

 

RG : Alors je me situe encore au niveau du personnage de 1983 qui vous regarde et qui dit : La manipulation ou la tolérance que vous avez vis-à-vis le désordre nous laisse perplexe quant à votre bonne conscience devant ce qu'on appelle le bien, et par conséquence, on s'interroge sur la nature même de vos intentions, vous voulez notre bien ou vous voulez vous amuser encore longtemps avec nous ?

 

 

BdM : Non. Les êtres qui font partie de la Hiérarchie sont des Êtres de lumière, ce sont des Êtres d'Intelligence, et le bien qu'ils connaissent, autrement dit l'avenir du bien de l'Homme, l'avenir de l'évolution de l'Homme, tout ce qui est bon pour l'Homme, doit être amené à l'Homme petit à petit. L'Homme a l'impression, à cause de ses sentiments, à cause de ses illusions, à cause des voiles qui couvrent son mental et son émotionnel, il a l'impression d'être fort. L'Homme est faible, l'Homme est très faible !

 

Regardez les histoires initiatiques, regardez les vies de ceux qui ont connu la souffrance mystique, regardez les vies de ceux qui ont connu le passage d'un plan à un autre. L'Homme ne peut pas connaître, comprendre et voir sans être racé, sans avoir en lui cette force, cette puissance, donc l'Homme... Ce n'est pas par sentiment, par bonne volonté, que l'Homme peut en arriver à nous amener à ce que nous pouvons lui donner.

 

Pour que l'Homme reçoive de nous, il faut que l'Homme puisse prendre de nous. Si l'Homme peut prendre de nous, s'il est suffisamment fort pour prendre de nous, s'il est suffisamment racé dans son émotion et racé dans son mental, il pourra prendre de nous, d'ailleurs de là, la fusion avec nous. Alors, s'il prend de nous, automatiquement, naturellement, il dépassera la condition humaine et il deviendra un de nous.

 

Mais s'il ne peut pas prendre de nous, c'est parce qu'il n'est pas suffisamment fort dans l'émotionnel, dans le mental ou dans le physique, il y a en lui des principes qui ne sont pas suffisamment évolués, et automatiquement il sera obligé d'attendre dans un autre temps, dans d'autres conditions, où il n'aura pas à souffrir la grande souffrance de l'initiatique moderne, où il n'aura pas à souffrir la grande souffrance du fils de la Lumière, où il sera plongé dans une civilisation qui pourra lui donner les conditions suffisantes pour aller plus loin dans son évolution.

 

C'est la condition, c'est une condition cosmique, c'est une condition qui relève du 

fait que, sur la Terre, il y a des Hommes qui sont prêts et il y a des Hommes qui ne le sont pas, mais tous les Hommes ont de la valeur devant nous, donc tous les Hommes dans le temps doivent être amenés à réaliser leur lien avec nous par leur Intelligence. Et s'ils réalisent leur lien avec nous par leur Intelligence, puisque nous leur donnons aujourd'hui à la fin du vingtième siècle la capacité de communiquer avec nous, à ce moment-là, ils pourront éventuellement comprendre leur relation avec nous et ils sortiront de la condition humaine. 

 

Les autres devront évoluer sur d'autres plans, sur d'autres planètes, mais nous ne pouvons rien parce que jamais, dans l'histoire du cosmos local, ou dans l'histoire du cosmos en général, il n'a été donné à une population raciale les outils dont elle avait besoin simplement parce que nous aimions la race. Lorsque nous avons donné aux races les outils dont elles avaient besoin, nous avons toujours testé la Volonté de la race, nous avons toujours testé l'Intelligence de la race pour voir si elle pouvait utiliser ces outils sans qu'elle se détruise. 

 

 

RG : Sans qu'elle s'autodétruise !

 

 

BdM : Voilà ! 

 

 

RG : Mais sur la planète Terre, on a différentes races et vous nous avez souligné dans la première heure, que c'est là un grand problème pour l'Humanité de la Terre, d'avoir à supporter des plans différents par rapport aux présences de races différentes !

 

 

BdM : Oui. Le problème racial sur la Terre, c'est un grand problème, non pas seulement pour nous, mais aussi pour les Hommes. Nous le voyons sur le plan des Nations unies, nous le voyons sur le plan de la politique, nous le voyons sur le plan de la relation entre les blancs et les noirs. Donc il y a sur la Terre un grand problème racial qui sera atténué, altéré dans le temps. Mais nous ne pouvons rien contre ça parce que pour neutraliser les conflits entre les races, nous serions obligés d'apparaître sur la Terre, et nous ne pouvons pas apparaître sur la Terre parce que le temps n'est pas venu. 

 

Lorsque le temps sera venu, nous apparaîtrons sur la Terre, et la présence sur la Terre de notre énergie, de nos corps, de notre Lumière, sera l'autorité mondiale. Donc cette autorité servira à conserver l'équilibre, à maintenir l'équilibre, et à donner un essor nouveau à l'Homme. Mais d'ici à ce temps-là, les Hommes doivent être préparés parce que nous ne permettrons pas que les Hommes sur la Terre, dans l'avenir, après la fin de votre cycle, soit assujetti à nos personnes comme ils l'ont été dans le passé.

 

Dans le passé les Hommes avaient de l'émotion, dans le passé les Hommes avaient des voiles, dans le passé l'ego n'avait pas été transpercé par notre Intelligence. Dans l'avenir l'ego sera transpercé par notre Intelligence, donc les Hommes sauront quelle est leur relation intelligente avec nous. Les Hommes auront la capacité mentale de communiquer avec nous, les Hommes ne pourront pas être influencés par nous. Les Hommes ne pourront pas être neutralisés dans notre ambiance, les Hommes seront dans leur énergie, ils feront partie de la Hiérarchie, donc nous devons les préparer. Et c'est pourquoi, sur le plan matériel aujourd'hui, nous ne pouvons pas aider les Hommes avant le temps. Il y a un temps. L'Homme regarde toujours le ciel à partir de la Terre, nous regardons la Terre à partir du ciel.

 

 

RG : Mais au début de cette rencontre avec vous, j'ai bien souligné le fait que nous exigeons que vous nous rendiez ce que nous avions il y a fort longtemps ? Et à cela...

 

 

BdM : Ce que l'Homme avait il y a fort longtemps, ce n'était rien, il avait simplement une enveloppe de lumière, il avait la capacité d'utiliser cette énergie dans son domaine planétaire qui était très très peu développé. Ce que l'Homme recevra, ce que l'Homme sera donné dans les siècles qui viennent, dans les années, les générations qui viennent sera, fera partie de la plus grande part qu'il n'a jamais utilisée dans son évolution cosmique.

 

Autrement dit, il sera donné à l'Homme, non pas seulement ce qu'il a eu pendant la période ancienne, mais il sera donné à l'Homme ce qu'il a eu aussi pendant d'autres périodes, donc l'Homme récoltera non pas les fruits simplement de son ancienneté sur cette planète Terre, il récoltera aussi les fruits de son ancienneté sur d'autres planètes. Donc l'Homme sera redonné au centuple, mais selon le taux vibratoire de sa conscience, selon la capacité de son Intelligence et de sa Volonté de travailler avec cette énergie parce que nous sommes énergie, nous n'avons pas de forme, nous créons des formes pour nous manifester dans le cosmos.

 

Donc l'Homme travaillera avec cette énergie, il sera donné les outils dont il a besoin pour se créer une nouvelle civilisation. Mais ce sera sous le regard des Hommes qui font partie de leurs rangs et qui ont été élevés au statut universel d'une consience qui est égale à la nôtre. Nous ne pouvons pas travailler sur la Terre avec les Hommes parce que nous avons dépassé le stage de l'immortalité, mais nous pouvons travailler sur la Terre avec des Hommes qui sont immortalisés. Et ce sont ces Hommes immortalisables qui seront le pont entre nous et l'Humanité et c'est à partir de ces Hommes, à travers ces Hommes, que se planifera l'évolution de la nouvelle civilisation.

 

 

RG : Est-ce que c'est d'eux dont on parle lorsqu'on dit les 144 000 “justes” ?

 

 

BdM : Les 144 000 “justes” représentent un nombre qui est fractionné dans une étape éventuelle de dissolution. Parmi les 144 000 “justes”, il y a des petits groupes de plus “justes” et d'autres petits groupes de plus “justes”, il y a une pyramide dans les 144 000 “justes”, mais ces 144 000 “justes” font partie de ceux qui seront élevés du sol de la Terre et amenés dans les vaisseaux qui font partie de notre science.

 

Et ceux qui font partie des “justes” sont tout partout dans le monde, le Bédouin est un “juste”, le Mormon est un “juste”, le Témoin de Jéhovah est un “juste”, le Chrétien est un “juste”, le Bouddhiste est un “juste”... Être “juste”, nous savons ce qui est juste, et la précision de notre science élevera ceux qui sont “justes”, non pas parce qu'ils auront cru qu'ils sont “justes”, mais parce qu'ils auront été conscients. Être “juste” veut dire être conscient.

 

Que vous soyez justes dans vos mœurs, que vous soyez justes dans vos manières, dans vos habitudes religieuses, que vous soyez justes dans vos habitudes culturelles, cette justice fait partie de votre expérience astrale, elle fait partie de votre expérience d'âme, il y a beaucoup d'Hommes justes dans le monde. Ce n'est pas parce qu'un Homme est juste d'après son ego qu'il est conscient. 

 

Être conscient n'a rien à faire avec le fait d'être juste vis-à-vis son ego. Il y a beaucoup d'Hommes sur la Terre qui se croient être justes vis-à-vis leur ego, mais qui sont ignorants vis-à-vis nous, donc nous n'avons aucune sympathie pour la justesse ou la justice spirituelle, psychologique, philosophique, théologique, de l'Homme. Nous n'avons intérêt que pour la conscience de l'Homme, et à la fin du cycle, dans ces temps où vous vous situez en 1983, nous travaillons au niveau vibratoire, nous ne travaillons plus au niveau psychologique.

 

 

RG : Qu'est-ce que vous entendez précisément par ça ?

 

 

BdM : Le travail au niveau vibratoire veut dire que nous agirons sur les Hommes par la parole, nous n'agirons pas sur les Hommes par le symbole. Nous détruirons tous les symboles qui font partie de la conscience de l'Humanité, de la mémoire de l'Humanité, et nous n'utiliserons que la vibration de la parole. C'est par la parole que les Hommes sauront ce qu'ils savent, c'est par la parole que les Hommes comprendront ce qu'ils savent. C'est par la parole que les Hommes pourront communiquer ce qu'ils savent et c'est dans le mental supérieur qu'ils pourront communiquer avec nous. Et le mental supérieur sera égal à leur parole. 

 

 

RG : Est-ce un fossé qui nous sépare entre 1983 et ces gens de la sixième race ou ce n'est qu'un très long corridor ?

 

 

BdM : Ce n'est pas un fossé, c'est une période de transition. Il y a un temps. Tous les Hommes de la planète qui viennent à nous et vers lesquels nous allons sont marqués. Tous ! Qu'ils soient de n'importe quelle nation, qu'ils soient cachés dans n'importe quel bâtiment de votre planète, tous ces Hommes sont connus et marqués. Et tous ces Hommes seront reconnus dans le temps, mais ils vivront la transformation de leur conscience pour qu'ils passent de l'état de l'inconscience, c'est-à-dire du mort-vivant au vivant réel.

 

 

RG : Ces gens de la sixième race m'ont l'air très peu matériels, beaucoup plus éthériques que matériels ?

 

 

BdM : C'est avec l'évolution du pouvoir de l'Homme que la conscientisation des atomes de son corps matériel changera. Mais ce qui est important pour la sixième race, c'est la conscience. Le reste, le pouvoir, la liaison, autrement dit, entre notre énergie et eux, sera leur pouvoir, sera proportionnel à leur évolution dans le temps et les différentes nécessités de la civilisation.

 

 

RG : Mais lorsqu'on commence à sentir la conscience cosmique en soi...

 

 

BdM : Vous parlez de conscience cosmique, que vous parliez de conscience planétaire ou que vous parliez de conscience cosmique, cela n'a rien d'importance pour nous parce que même le concept de la conscience cosmique, c'est un concept que vous ne connaissez pas, que vous ne comprenez pas. Vous comprenez la conscience planétaire parce que vous êtes des êtres inconscients sur la planète, mais la conscience cosmique pour vous, ça n'a rien de réel, ce n'est qu'une dimension idéale projetée, manifestée par votre Esprit philosophique, pour essayer de capter l'essence de votre devenir. 

 

Lorsque l'Homme sera dans sa conscience, lorsque l'Homme sera dans son Intelligence, lorsque l'Homme aura réuni en lui le principe de l'Amour, de l'Intelligence, de la Volonté, lorsqu'il aura une identité parfaite, autrement dit lorsqu'il sera en parfaite harmonie avec nous, l'Homme sera automatiquement un être créateur. Donc que vous appeliez sa conscience cosmique ou que vous donniez un autre nom à sa conscience, pour nous ça n'a aucune importance parce que ce sont des mots. 

 

Et nous n'avons aucun intéret dans les mots, nous n'avons aucune signification dans les mots, nous donnons aux mots une signification afin d'aider l'Homme à comprendre ce que nous voulons dire, mais l'Homme ne peut pas comprendre ce que nous voulons dire parce que ce que nous voulons dire n'est pas de l'ordre psychologique, intellectuel, cérébral, il est totalement de l'ordre vibratoire.

 

 

RG : Alors si on place les choses à leur place, cette forme de concience cosmique qui n'en est pas une, nous amène quand même à remettre en question les interventions de Yahvé comme étant une espèce de curieux personnage, autoritaire, intransigeant, nous permet de remettre en question des données qu'on retrouve dans des textes... ?

 

 

BdM : Je vais vous dire une chose, quand vous regarderez l'Histoire avec d'autres yeux, vous comprendrez l'Histoire d'une autre façon, vous remettrez tout ! Un Homme qui n'est pas capable de tout remettre en question n'est pas capable de comprendre tout. Pour comprendre tout, il faut tout mettre en question parce que tout ce qui a été donné à l'Homme fait partie de la question de l'Homme. Donc tant que l'Homme a une question, il ne peut pas remettre tout en question parce qu'il n'a pas la réponse. 

 

Pour remettre tout en question, il faut avoir la réponse à tout. Pour avoir la réponse à tout, il faut être dans notre énergie. Lorsque l'Homme est dans notre énergie, à ce moment-là il n'a plus de sentiment dans sa mémoire, donc il n'est plus intéressé à ce qui s'est passé, il n'est même plus intéresssé à Yahvé. Il se sert de Yahvé pour expliquer le phénomène humain, il se sert de Yahvé pour expliquer l'Histoire de l'Homme, il se sert de Yahvé pour expliquer la relation entre le cosmique mal compris de l'Homme, mais pour lui, Yahvé fait partie du passé, et le Yahvé réel, l'aspect réel, autrement dit de ce phénomène sur la Terre, il le comprend dans une conscience autre qui est cette conscience que l'Homme de la sixième race aura.

 

 

RG : En se servant justement des éléments du passé, l'Homme arrive à dire que l'Humanité est le produit de Lucifer, celui qui descend du Paradis ou de la nature divine, et dans la matière amène la lumière, et nous sommes un produit lumineux de la matière, nous sommes dans la matière ?

 

 

BdM : Oui, mais même l'Homme ne connaît pas le profond de ce mot. Ce que veut dire Lucifer pour l'Homme n'est simplement qu'un aspect ésotérique ou théologique qui lui a été infusé, l'Homme ne sait pas, n'a pas d'idée, ne comprend pas le principe luciférien. L'Homme ne peut même pas comprendre le principe du mal dans sa propre conscience, comment voulez-vous qu'il comprenne le principe du mal créateur dans le cosmos !

 

Avant que vous vous intéressiez à comprendre ce qu'est Lucifer, avant que vous vous intéressiez à comprendre la rébellion, avant que vous vous intéressiez à comprendre ce que vous voulez dire par le mot “Dieu”, commencez à vous comprendre vous-mêmes. Et lorsque l'Homme se sera compris lui-même, il n'y aura plus de borne dans son Intelligence, il n'y aura plus de limite dans son Esprit parce que son Esprit et le nôtre fera UN.

 

Et à ce moment-là, il comprendra Tout ce qui fait partie de la cosmogénèse, tout ce qui fait partie des mystères de sa civilisation qui ont servi à endoctriner son Esprit pour lui créer de l'espoir, pour lui créer une structure psychologique, philosophique, théologique ou religieuse, lui permettant de s'orienter de plus en plus pour terminer son involution à la fin du vingtième siècle, où il est maintenant de plus en plus prêt à entrer en contact avec nous. 

 

Tout ce qui s'est fait dans le passé a servi pour l'évolution de l'Homme, tout ce qui s'est fait dans le passé a servi pour perfectionner les plans inférieurs de l'Homme. Ce qui se fera dans l'avenir sera ajouté aux plans inférieurs de l'Homme perfectionné, ce sera le Surhomme de la sixième race.

 

 

RG : Mais l'Homme qui veut vivre bien dans sa peau, bien se comprendre lui-même, se rend compte d'une chose en étudiant attentivement son environnement, c'est que dans sa maison, il s'est embourbé dans des statues de Ste Vierge, de Sacré Cœur, de Bouddha, de Lao Tseu, de paquets de livres poussiéreux, et à un moment donné, il en souffre, il en est malade de la poussière qui l'environne, et il commence à jeter dehors statue après statue, livre après livre. Mais on ne doit pas lui reprocher de commencer par mettre Lucifer dehors, mettre Yahvé dehors, mettre Bouddha dehors, mettre les autres dehors, parce que le jour où sa maison sera nettoyée, il vivra en santé ?

 

 

BdM : Oui, évidemment, lorsque vous avez trop d'amis, il y en a qui sont bons, il y en a qui ne sont pas bons, donc vous mettez ceux qui ne sont pas bons dehors, et ensuite si vous en avez trop qui sont bons, vous les mettez dehors aussi parce que vous ne serez jamais en paix. 

 

Le meilleur ami de l'Homme c'est lui-même. Alors si l'Homme ne se réalise pas en tant que lui-même, en tant qu'identité, et qu'il a besoin d'amis,  donc il ne pourra jamais être bien dans sa peau. Et une fois qu'il est bien dans sa peau, qu'il a mis Lucifer dehors, qu'il a mis toutes les différentes sortes d'amitiés dehors, ensuite il peut les rappeler de temps à autre pour leur parler, pour voir ce qu'ils ont à dire, mais à ce moment-là il n'est plus intéressé à bavarder avec eux, il est capable de bien s'asseoir avec eux et de parler avec Intelligence parce qu'il est déjà bien dans sa peau. 

 

Donc à ce moment-là, l'Homme est neutre, il a fait la synthèse du bien et du mal, et de temps à autre il est intéressé de savoir ce qui se passe dans le camp du mal, de temps à autre il s'intéresse à ce qui se passe dans le camp du bien, et ça fait un peu de changement dans sa vie.

 

 

RG : Essentiellement, cet Homme doit toujours être sur ses gardes vis-à-vis ce qu'on appele “l'establishment” de la psychologie des masses ?

 

 

BdM : Un Homme qui est bien dans sa peau n'a pas à combattre “l'establishment”, il est suffisamment intelligent pour bien s'intégrer à ce qui existe. La qualité... D'ailleurs j'ai déjà dit, le discernement, le fameux discernement qui est plus grand que la sagesse parce que la sagesse fait partie de l'intelligence du cœur, le discernement fait partie de la qualité même de l'intelligence, un Homme qui est dans son Intelligence et qui ne laisse pas son Intelligence contaminée, affectée, peut très bien bénéficier de ce qui existe aujourd'hui sur le plan matériel.

 

Donc l'Homme peut très bien facilement s'intégrer à “l'establishment”, mais il est suffisamment bien dans sa peau, suffisamment conscient dans son Intelligence pour ne pas être abasourdi, assujetti à “l'establishment”. Ça ne vous dérange pas d'avoir une automobile de “l'establishment”, c'est bien que vous ayez une automobile de “l'establishment” ? Si vous voulez aller nu-pieds dans le monde, ben allez-y, mais achetez-vous des “bandages” (pansements) (rires du public).

 

 

RG : Fournis par l'establishment !

 

 

BdM : Fournis encore par “l'establishment”, effectivement ! Je me rappelle, il y a plusieurs années, lorsqu'il y avait ce fameux mouvement de jeunesse que vous avez appelé le mouvement “hippie”, alors ce mouvement il était merveilleux parce qu'il manifestait la séparation entre une vieille racine et la pousse d'une nouvelle, mais ça faisait toujours partie du même arbre, l'inconscience !

 

 

RG : Est-ce qu'on pourrait dire que la conscience est la sève qui monte dans l'arbre ?

 

 

BdM : Non, non. La conscience c'est le vent qui déchire l'arbre, qui le déracine. 

 

 

RG : Vous nous parlez de haine, vous nous parlez d'arbre déraciné, il ne reste pas grand chose au bout de la ligne ?

 

 

BdM : Non effectivement, il ne reste rien, il ne reste simplement que le vide de la conscience mentale de l'Homme. Si l'Homme est vide, c'est-à-dire qu'il est vide de subjectivité, il est plein d'énergie, donc il est plein de Volonté, il est plein d'Amour, il est plein d'Intelligence. Mais il faut qu'il soit vide de subjectivité.

 

 

RG : Ou il est plein de rien ?

 

 

BdM : Plein de rien, ça n'existe pas, c'est simplement une affabulation sémantique, on est toujours plein de quelque chose... de merde... (rires du public), on est toujours plein de quelque chose ! On ne peut pas être plein de rien. 

 

 

RG : Parce qu'à partir du moment où l'arbre est déraciné, et ben, il ne donne plus de fruits, et je reviens à...

 

 

BdM : Ça, c'est le vieil arbre, le viel arbre donne des fruits, mais ce sont des fruits qui sont amers. L'arbre nouveau qui sera planté après le déracinement de l'autre créera des fruits qui sont neufs. Vous savez, la conscience c'est nouveau pour l'Homme, c'est une nouvelle évolution, Nous ne pouvons pas juger la conscience en fonction de l'ancienne inconscience, c'est nouveau. De là, la souffrance de l'ego. De là, la difficulté de l'Homme de la bien comprendre, ainsi de suite.  

 

La conscience, ça fait partie du rapprochement entre les forces universelles et l'Homme. Et il n'y a pas de conditionnement à la conscience, ce n'est pas l'ego qui se peut conscientiser, l'ego ne se conscientise pas, l'ego peut améliorer son état psychologique, spirituel, il peut améliorer son arbre, il peut “patcher” si vous voulez, son arbre, mais la transformation de son arbre qui nécessite un déracinement pour une replantation dans une terre nouvelle qui est la conscience, ne peut pas être faite par l'Homme.

 

Aucun Homme ne peut se donner une initiation. Un Homme peut aller vers une initiation astrale parce qu'il est dans l'ego, mais un Homme ne peut pas se donner une initiation qui relève du pouvoir de la conscience universelle sur son ego. Ce sont les forces en lui qui initient l'Homme, qui font monter l'Homme en vibration, qui l'amènent à dépasser les conditions psychologiques de son involution. 

 

 

RG : Se pourrait-il que la façon dont vous nous parlez depuis tantôt, soit sensiblement la même que concernant Adolf Hitler, très conscient un beau jour, par des méthodes hallucinantes, arrive au pouvoir dans un pays, par des méthodes aussi hallucinantes et conscientes, réussit à maîtriser les masses ?

 

 

BdM : Oui, mais il faut reconnaître qu'Adolf Hitler était un Homme qui travaillait avec les forces, il travaillait avec des forces astrales négatives, iI travaillait avec des forces. Ce n'est pas surprenant qu'Adolf Hitler ait pu faire ce qu'il a fait parce qu'il travaillait avec des forces, c'était un Homme qui était possédé par ces forces, et ces forces astrales négatives ont fait à travers lui le travail, ont créé les conditions que nous connaissons. Aussitôt qu'un Homme est traversé par des forces, que ce soit des forces créatives, ou que ce soit des forces retardataires, ce sont des forces, et automatiquement sa personnalité est en fonction de ces forces, est en relation avec ces forces, ainsi de suite.

 

 

RG : En quoi diriez-vous qu'il est retardataire, il voulait faire une race parfaite sur la Terre, le problème de la race, il la comprenait ?

 

 

BdM : Oui, il voulait faire une race parfaite sur la Terre parce qu'il voulait, il était, il avait été amené par les forces astrales à interpréter le matériel ésotérique de l'Orient pour le bénéfice de la Germanie occidentale. Le mouvement nazi en Allemagne était un mouvement occulte, ce n'était pas un mouvement d'abord politique, c'était d'abord un mouvement occulte qui a eu une fonction politique.

 

Donc le lien occulte avec le Tibet était un lien qui faisait partie de la grande germination dans la conscience du peuple allemand à travers son chef, d'une conscience astrale atlantéenne. Hitler faisait partie des grands maîtres de Bélial de l'Atlandide, donc sa reconstruction, sa redescente dans la matière du monde occidental, à la fin du vingtième siècle, était une continuité de sa magie ancienne à travers des mécanismes et des outils nouveaux et modernes, et puissants. 

 

 

RG : Il voulait aussi éliminer la race ou le peuple choisi par Yahvé ?

 

 

BdM : Mais oui, mais oui parce que sur le plan des forces, sur le plan astral, il y a un combat entre les forces dites “de Lumière” et les forces dites “des Ténèbres”. Donc les forces dites “de Lumière” qui ont été responsables pour la conception, pour le développement, pour la résurrection, pour la maintenance du peuple Juif, sont en conflit avec les forces opposées, et c'est normal que ces forces-là à travers Hitler, aient utilisé le peuple Juif comme bouc-émissaire pour le détruire.

 

Mais jamais le peuple Juif ne sera détruit par les forces politiques astrales, anciennes, des Atlantes. Jamais ! Jamais aucune nation ne réussira à détruire les Juifs, jamais, parce que les Juifs, hormis leur inconscience en tant que peuple, ont une fonction occulte à cause des grands initiés qui ont passé dans leurs rangs. 

 

Le peuple Juif est un des grands peuples de la Terre, et aucun peuple ne pourra le détruire, aucun ! Il y aura conflit, il y aura mise en garde, il y aura altercation, mais il y aura une science, une aide scientifique, des données manifestées par ce peuple qui renversera toute attaque contre eux, et regardez l'Histoire du peuple Juif depuis 47, sans parler des années antécédentes, et vous verrez que le peuple Juif ne peut pas être renversé et il est supporté par la puissance occidentale qui est la plus près de nos forces, et ce sont les États-Unis.

 

Jamais les États-Unis ne laisseront le peuple Juif détruit, comme jamais les États-Unis ne permettront que l'Angleterre soit détruite, jamais les États-Unis permettront que l'Allemagne soit détruite, jamais. Ce sont des liens karmiques au niveau des nations... Jamais ! Regardez le combat entre l'Angleterre et l'Argentine il y a quelques mois. L'Argentine représente un peuple en Amérique du Sud qui a hébergé les nazis Allemands, donc il y a des liens karmiques entre l'Argentine et le passé. Et à travers le premier ministre anglais, la guerre a été conquise. 

 

Les forces qui dirigent l'évolution des nations, les forces de Lumière qui dirigent l'évolution des nations permettent qu'il y ait altercation entre les nations parce que ça fait partie de l'inconscience de l'Humanité, mais ces forces ne permettront pas que l'astral négatif représenté dans sa plus grande consistance par la Russie puisse détruire et rendre esclave l'Humanité, jamais ! Jamais !

 

 

RG : Dans le livre : Le protocole des sages de Sion, le mouvement sioniste, il est entendu et très clair, et je dois souligner que c'est un livre qui est interdit, que quelqu'un qui dit qu'il l'a en sa possession va se le faire subtiliser ou que quelqu'un qui veut le vendre, il est même dans les lois du gouvernement canadien, interdiction de vendre le livre : “Le protocole des sages de Sion”, et que quelqu'un qui le vendrait sera passible d'emprisonnement ou d'amende ; que dans ce livre qui nous montre la prise en main de l'Humanité par les Juifs, avec tout ce qui se produit depuis 1950, dans les moindre détails, tout ce qui avait été écrit dans ce livre se réalise, y incluant la vague de suicides, y incluant la drogue, y incluant le crash économique qui s'en vient pour très bientôt, y incluant la crise du pétrole, tout est organisé, tout est prévu, planifié par...

 

 

BdM : Ce sont des opinions, ce sont vos opinions, je ne veux pas parler de ces choses.

 

 

RG : C'est aux gens à vérifier par eux-mêmes s'ils peuvent mettre la main sur ce livre-là !

 

 

BdM : Je ne suis pas intéressé, je ne suis pas intéressé à  parler de ces choses, je ne suis pas intéressé. Vous ne m'avez jamais forcé à parler de ces choses et vous ne pouvez pas me forcer à parler de ces choses, et même si vous ne me forcez pas à parler de ces choses, je ne parlerai jamais de ces choses. Lorsque je parlerai de ces choses, je ne serai plus ici. Je ne dis pas que je ne parlerai pas de ces choses, parce que j'ai un livre, moi, à écrire, mais je ne serai plus ici.

 

Je suis intéressé au monde, je suis intéressé à l'Homme de la rue, je ne suis pas intéressé à diagnostiquer les grandes conventions hermétiques des sociétés principales de la planète, je ferai ça dans d'autres temps. Ce qui m'intéresse aujourd'hui, c'est de faire comprendre à l'Homme que la vie c'est très vaste, très grand, très occulte, et que la conscience de l'Homme est très grande et qu'il y a beaucoup d'Intelligence dans l'Homme, s'il réussit une fois pour toutes à mettre la clé dans ses mémoires.

 

Je déteste le sensationnalisme, je déteste tout ce qui sensationnalise. Si j'étais avec vous, je parlerais de ces choses à condition que vous n'en parliez jamais, mais comme vous êtes un homme à parler, je n'en parlerai jamais (rires du public), mais dans le public, je ne parle pas de ces choses. Il y a assez de problèmes dans le monde, il y a assez de choses dans le monde qui font rêver ceux qui veulent réellement exploiter, je ne parle pas de vous, exploiter ce qui est réellement hermétique, c'est extraordinaire la vie d'une planète, l'organisation, les trucages, ainsi de suite. Et il y a tellement de soucis que l'Homme qui se conscientise, l'Homme qui va vers l'Intelligence, l'Homme qui va vers la Lumière, il doit aller vers la paix.

 

Il ne doit pas se casser trop la tête avec ces choses, ces manigances monstrueuses qui font partie encore des activités souvent trop astrales. Il faut savoir qui a écrit tel livre, qui a dit tel livre, qui a dit telle chose, et l'Homme n'a pas le moyen de vérifier par lui-même qui est derrrière ceci, qui était derrière “Mein Kampf”, qui a dicté à Hitler “Mein Kampf”, un bonhomme qui est reconnu comme n'ayant ou très peu d'éducation, qui était le dictateur ? Était-ce Hitler ou était-ce une autre personne ? 

 

Donc il y a des choses qui seront dites dans le temps, c'est inévitable parce qu'il y a des choses que moi je dois dire, je dois dire beaucoup de choses et je les dirai. Mais je les dirai dans un temps qui convient à ma personne, et je le dirai dans un temps qui convient aussi à l'Homme parce que les choses qui seront dites ne seront pas intéressantes, parce que ces choses feront partie du vent qui déracine l'arbre. 

 

Donc ceux qui verront, qui comprendront, qui puiseront quelque chose, puiseront quelque chose. Les autres seront abasourdis par le livre, mais ça fera partie de l'expérience de l'Humanité. Nous sommes arrivés à un stage où l'Homme ne peut plus jouer avec lui-même, l'Homme ne peut plus jouer avec les forces qui conditionnent sa conscience humaine, parce que nous sommes trop puissants dans l'Homme, nous sommes en lui maintenant et nous demeurerons en lui pendant des siècles, parce que l'Homme doit retourner à la Lumière, il doit reprendre ce qu'il avait auparavant, mais d'une façon qui est élevée au centuple.

 

Les forces de la Lumière ou les forces des Ténèbres seront fracturées, mais il y aura un combat, et le combat est déjà commencé. L'Homme doit par lui-même individuellement savoir. Si l'Homme, et je vous le dis, je le répète, je l'ai dit à maintes reprises, si l'Homme croit un Homme, il est fini, dans les années qui viennent. C'est pourquoi j'ai déjà dit, je l'ai dit souvent dans mes séminaires : “ne me croyez même pas, parce que vous ne me connaissez pas”.

 

Donc je me prends comme cible, je me fais l'avocat du diable, je vous dis : “ne me croyez pas”, écoutez, peut-être c'est intéressant, peut-être c'est moins intéressant, demain vous saurez, vous comprendrez par vous-mêmes, mais si vous croyez, à ce moment-là vous vous mettez sous les lois de l'involution, et automatiquement vous vous empêchez un jour d'être dans votre propre inteligence.

 

Le plus grand danger de l'Humanité, c'est de croire, et regardez ce qui se passe dans le monde, il y a toujours une croyance qui est derrière ce qui se passe, derrière le mouvement. Et ce n'est pas parce que nous croyons qu'un mouvement est spirituel ou bon qu'il ne peut pas être autre chose. Le danger de l'Homme, c'est que l'Homme ne sait pas faire la différence entre le vrai et le faux, et comme il est humain, comme il pense, il croit que le vrai est plus vrai que le faux et que le faux est plus faux que le vrai. Lorsque souvent le vrai est faux et le faux est vrai. 

 

Et lorsque l'Homme sera dans son Intelligence, il verra exactement ce qu'est le faux et il verra exactement où est le vrai, et à cause de la synthèse de son Intelligence, sa capacité de s'élever au-delà de la valeur sentimentale, émotive, significative, de la forme, il comprendra parfaitement le faux, il comprendra parfaitement le vrai et il saura la fonction du faux, il saura la fonction du vrai, et lui il sera libre du vrai et du faux, il sera dans l'Intelligence cosmique, l'Intelligence Pure.

 

 

RG : Après six ans, Bernard de Montréal qui donnez des conférences à travers cette série de cassettes, j'ai l'impression que nous atteignons presque la limite de ce que Bernard dit en public, sinon ça revient en arrière, sur ce que vous avez répété souvent comme vous venez de nous dire.

 

 

BdM : Il s'agit à ce moment-là, à vous, de me faire parler d'une autre façon, je continue, je parle toujours selon vos questions, c'est vous qui êtes le moniteur, c'est vous qui avez le travail de me faire parler. Moi je peux parler indéfiniment, alors je réponds selon ce qu'on me demande, vous altérez... D'ailleurs, vous avez fait une expérience ce soir au niveau de l'an 2023, donc j'ai parlé d'une autre façon, j'ai trouvé ça intéressant.

 

 

 

 

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